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- Après-match
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Le 6ème match de préparation estivale du RCS l'opposait hier à la réserve du FC Metz (CFA) à Achenheim. Le match précédent, contre Oberlauterbach avait laissé un sentiment d'inachevé aux suiveurs du Racing ; a-t-il su hausser son niveau de jeu contre les Mosellans ?
Le stade d'Achenheim accueillait hier le match amical du RCS face à la réserve Messine (CFA) en remplacement d'Epinal, affiche initialement prévue en début de la préparation. Entre temps, le Racing a été officiellement repêché en National. Les dirigeants spinaliens ont préféré ne pas affronter en match amical un futur adversaire en championnat et ont renoncé à participé au match.
Du coup, il y avait un petit parfum de rivalité historique Strasbourg - Metz autour de ce match à en juger par le public nombreux présent. Environ 700 personnes dont des Lorrains, se sont déplacés dans ce stade proche de Strasbourg ainsi que le speaker Jean-Luc Filser.
L'heure du match approchant, le parking du stade est très vite saturé. Du coup, on se gare sur le bord de la route, où l'on peut et on se dirige vers les entrées. En prévision de la grosse affluence, les organisateurs ont aménagé deux entrées. Les spectateurs prennent leurs places autour de la main courante, aux grillages, à la buvette où d'autres se procurent l'abonnement et/ou la nouvelle tunique bleue et blanche. La boutique du RCS continue sa tournée des stades alsaciens, évidemment plus pratique qu'une boutique en ligne...
19h00 : Le coup d'envoi est donné, le match est l'occasion pour les Alsaciens d'appliquer les enseignements distillés lors du stage à Niederbronn commencé en début de semaine. Jacky Duguépéroux aligne presque la même équipe que contre Oberlauterbach, en y incluant quelques retouches (Munch pour Donzelot et Liénard pour Ieraci).
Le Racing commence le match timidement, c'est d'ailleurs le FCM qui prend l'initiative par un centre, dégagé par Sikimic (2'). La période d'observation continue, il faut attendre une perte de balle de la défense messine pour voir le premier tir du RCS, non-cadré, par l'intermédiaire de Frédéric Marquès (10'). Les Bleus et blancs obtiennent deux corners coups sur coups et qui tous les deux ne donnent rien - La préparation physique d'avant-saison est-elle la cause de ces coups de pieds arrêtés mal tirés ? - Le RCS poursuit avec une relative bonne circulation de balle face au FC Metz qui lui, a de plus en plus de mal à dépasser la ligne médiane malgré une assise défensive intéressante. Pourtant les Alsaciens ont du mal à se procurer des actions nettes et tranchantes.
Après 20 minutes de jeu, on peut constater que le côté gauche porté par Liénard et Sabo s'est illustré lors de quelques phases intéressantes tandis que le duo Aguemon - Munch a du mal à se trouver du côté droit. Les actions dangereuses restent les phases arrêtées, les corners notamment (25') ou les coups francs. Le nouvel arrivant Yannick Aguemon, droitier, s'occupe de presque tous les coups de pieds arrêtés (Lienard tirant les corners de la droite vers la gauche), c'est donc sur un coup-franc à 20 mètres qu'Amofa ouvre le score, après que le gardien messin n'a pu saisir le ballon fermement (27'). Racing 1 - 0 FC Metz.
Après l'ouverture du score, le Racing baisse le rythme, Metz en profite pour s'offrir un coup franc qui ne donne rien (36'), et enchaîne les imprécisions techniques, les mauvais choix (44') et quelques fulgurances dans la construction avec certaines phases intéressantes à une touche de balle (40', 42').
La mi-temps arrive à point nommé pour des organismes strasbourgeois éprouvés, les spectateurs en profitent pour se restaurer et de débattre de la valeur du futur 9, Bahoken.
La reprise est sifflée, Jacky Duguépéroux ne change pas son équipe profondément, Bah est le seul à entrer en jeu, en lieu et place de Brian Amofa. Ce remplacement a-t-il un lien avec le niveau affiché désormais ? Difficile de la dire, mais en tout cas, la prestation strasbourgeoise laisse à désirer. Le onze messin parvient à se présenter un peu plus souvent aux abords de la surface mais sans danger, les frappes sont hors-cadres (55', 59'). Duguépéroux, agaçé, par le niveau de son équipe et surtout par une vilaine faute non-sifflée, échange quelques amabilités avec l'arbitre.
20h20 : Aguemon frappe un coup-franc sur la tête à Sikimic qui dévie pour Marquès, qui croit avoir marqué, les spectateurs derrière le but idem mais les Messins dégagent le ballon et le jeu se poursuit, 1-0. Mais que fait la Goal-line Technology ?
67', Sabo hérite du ballon au milieu de terrain et effectue un rush dont il a le secret pour centrer vers Marquès mais c'est intercepté par le gardien grenat.
Metz effectue deux changements (68') et profite des espaces, sans être dangereux néanmoins(69').
Les changements strasbourgeois interviennent tard, Enest Seka laisse sa place à Salmier, Aguemon à Ieraci, Sikimic à Karasahin.
En réponse à quelques banderilles lorraines, le Racing se montre sur des corners tirés par Liénard, certains dangereux d'autres non (82', 84').
Le match s'achève de manière décousue. Les spectateurs ont vu un Racing solide défensivement, un milieu de terrain qui se cherche et une attaque à la peine. L'arrivée de Bahoken et peut être un autre renfort offensif ne fera pas de mal dans ce futur championnat de National. La préparation se poursuit pour les hommes de Duguépéroux, qui affronteront Schiltigheim le 02 août à Still.
Du coup, il y avait un petit parfum de rivalité historique Strasbourg - Metz autour de ce match à en juger par le public nombreux présent. Environ 700 personnes dont des Lorrains, se sont déplacés dans ce stade proche de Strasbourg ainsi que le speaker Jean-Luc Filser.
L'heure du match approchant, le parking du stade est très vite saturé. Du coup, on se gare sur le bord de la route, où l'on peut et on se dirige vers les entrées. En prévision de la grosse affluence, les organisateurs ont aménagé deux entrées. Les spectateurs prennent leurs places autour de la main courante, aux grillages, à la buvette où d'autres se procurent l'abonnement et/ou la nouvelle tunique bleue et blanche. La boutique du RCS continue sa tournée des stades alsaciens, évidemment plus pratique qu'une boutique en ligne...
19h00 : Le coup d'envoi est donné, le match est l'occasion pour les Alsaciens d'appliquer les enseignements distillés lors du stage à Niederbronn commencé en début de semaine. Jacky Duguépéroux aligne presque la même équipe que contre Oberlauterbach, en y incluant quelques retouches (Munch pour Donzelot et Liénard pour Ieraci).
Le Racing commence le match timidement, c'est d'ailleurs le FCM qui prend l'initiative par un centre, dégagé par Sikimic (2'). La période d'observation continue, il faut attendre une perte de balle de la défense messine pour voir le premier tir du RCS, non-cadré, par l'intermédiaire de Frédéric Marquès (10'). Les Bleus et blancs obtiennent deux corners coups sur coups et qui tous les deux ne donnent rien - La préparation physique d'avant-saison est-elle la cause de ces coups de pieds arrêtés mal tirés ? - Le RCS poursuit avec une relative bonne circulation de balle face au FC Metz qui lui, a de plus en plus de mal à dépasser la ligne médiane malgré une assise défensive intéressante. Pourtant les Alsaciens ont du mal à se procurer des actions nettes et tranchantes.
Après 20 minutes de jeu, on peut constater que le côté gauche porté par Liénard et Sabo s'est illustré lors de quelques phases intéressantes tandis que le duo Aguemon - Munch a du mal à se trouver du côté droit. Les actions dangereuses restent les phases arrêtées, les corners notamment (25') ou les coups francs. Le nouvel arrivant Yannick Aguemon, droitier, s'occupe de presque tous les coups de pieds arrêtés (Lienard tirant les corners de la droite vers la gauche), c'est donc sur un coup-franc à 20 mètres qu'Amofa ouvre le score, après que le gardien messin n'a pu saisir le ballon fermement (27'). Racing 1 - 0 FC Metz.
Après l'ouverture du score, le Racing baisse le rythme, Metz en profite pour s'offrir un coup franc qui ne donne rien (36'), et enchaîne les imprécisions techniques, les mauvais choix (44') et quelques fulgurances dans la construction avec certaines phases intéressantes à une touche de balle (40', 42').
La mi-temps arrive à point nommé pour des organismes strasbourgeois éprouvés, les spectateurs en profitent pour se restaurer et de débattre de la valeur du futur 9, Bahoken.
La reprise est sifflée, Jacky Duguépéroux ne change pas son équipe profondément, Bah est le seul à entrer en jeu, en lieu et place de Brian Amofa. Ce remplacement a-t-il un lien avec le niveau affiché désormais ? Difficile de la dire, mais en tout cas, la prestation strasbourgeoise laisse à désirer. Le onze messin parvient à se présenter un peu plus souvent aux abords de la surface mais sans danger, les frappes sont hors-cadres (55', 59'). Duguépéroux, agaçé, par le niveau de son équipe et surtout par une vilaine faute non-sifflée, échange quelques amabilités avec l'arbitre.
20h20 : Aguemon frappe un coup-franc sur la tête à Sikimic qui dévie pour Marquès, qui croit avoir marqué, les spectateurs derrière le but idem mais les Messins dégagent le ballon et le jeu se poursuit, 1-0. Mais que fait la Goal-line Technology ?
67', Sabo hérite du ballon au milieu de terrain et effectue un rush dont il a le secret pour centrer vers Marquès mais c'est intercepté par le gardien grenat.
Metz effectue deux changements (68') et profite des espaces, sans être dangereux néanmoins(69').
Les changements strasbourgeois interviennent tard, Enest Seka laisse sa place à Salmier, Aguemon à Ieraci, Sikimic à Karasahin.
En réponse à quelques banderilles lorraines, le Racing se montre sur des corners tirés par Liénard, certains dangereux d'autres non (82', 84').
Le match s'achève de manière décousue. Les spectateurs ont vu un Racing solide défensivement, un milieu de terrain qui se cherche et une attaque à la peine. L'arrivée de Bahoken et peut être un autre renfort offensif ne fera pas de mal dans ce futur championnat de National. La préparation se poursuit pour les hommes de Duguépéroux, qui affronteront Schiltigheim le 02 août à Still.
