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- Après-match
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- Par gatien67
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Une bonne dynamique suite à une belle victoire à Sochaux en Coupe de France. Un public ragaillardi par ce déplacement victorieux et la perspective d'accrocher le podium. Un adversaire pas dans la meilleure des formes. Tous les signaux étaient au vert avant d'accueillir Fréjus hier soir.
Le Racing se présente dans son 4-4-2 d’usage actuellement. Un seul changement à signaler avec la rentrée de Bahoken en pointe aux côté de Liénard ce qui a pour conséquence de faire reculer N'diaye en ailier. Le côté gauche qui avait si bien fonctionné la semaine dernière est reconduit tout comme Salmier, Seka ou Donzelot en défense. En bref, la même équipe avec Belhameur en moins !
Du côté adverse une formation défensive typique du National venu pour tenir le point du match nul, marquer sur coup franc et rentrer à la maison en sifflotant.
Lorsque le match démarre on sent que le Racing n’est pas dans la forme de sa vie et qu’il faudra lutter pour ne pas se faire punir en contre. L’animation côté Alsaciens est globalement faible et malgré quelques coups d’éclat, la dernière passe est souvent ratée ou le dernier geste mal effectué. C’est ce qu’on appelle un "manque d’efficacité".
Comme "prévu" Fréjus marque sur coup de pied arrêté après que l’hydre à trois têtes N'diaye, Donzelot et N'doye rate le ballon, trois fois. Ce but aurait pu réveiller les Strasbourgeois et insuffler un état d'esprit rageur.
Que nenni, le Racing n’arrive pas à faire le jeu et manque cruellement de vitesse devant !
Comme tout supporter optimiste on se dit que ça va s’arranger et que malgré le regroupement en formation tortue des Fréjussiens, nos valeureux Alsaciens qui résistent encore et toujours à l’envahisseur, placeront l’attaque fatale qui leur permettra de revenir au score.
Ça y est, elle arrive, l'égalisation (croit-on) ! Passe de Bahoken pour N'doye qui remet intelligemment à Marques qui file en profondeur, tout est parfait. Quand tout est parfait, la stratégie doit fonctionner. A la manière d’un Péplum, du Cheval de Troie, des buts de la tête de Corentin Martins ou des roulettes de Zidane, rien n’est là pour contrarier l'ordre des choses et le perfection.
Marques est donc face au but, il est déterminé, excentré sur la droite, il va frapper, marquer, c’est sûr !
Patatras, il frappe, 2 mètres à côté, la chance est passée.
Le reste du match est ponctué d’occasions plus ou moins franches, de plongeons fréjussiens et d’actions litigieuses qui permettent au public de râler auprès de l’arbitre comme si c’était sa faute que NOTRE Racing ne marque pas.
Coup de sifflet final, le match est perdu ! Rentrons à la maison, le Père Noël n’a servi à rien et nous pouvons retourner modestement vers ce ventre mou qui nous attire incontestablement.
Le National n’est pas glamour, même en hiver on peut perdre contre des gens qui ne connaissent pas le froid.
Du côté adverse une formation défensive typique du National venu pour tenir le point du match nul, marquer sur coup franc et rentrer à la maison en sifflotant.
Lorsque le match démarre on sent que le Racing n’est pas dans la forme de sa vie et qu’il faudra lutter pour ne pas se faire punir en contre. L’animation côté Alsaciens est globalement faible et malgré quelques coups d’éclat, la dernière passe est souvent ratée ou le dernier geste mal effectué. C’est ce qu’on appelle un "manque d’efficacité".
Comme "prévu" Fréjus marque sur coup de pied arrêté après que l’hydre à trois têtes N'diaye, Donzelot et N'doye rate le ballon, trois fois. Ce but aurait pu réveiller les Strasbourgeois et insuffler un état d'esprit rageur.
Que nenni, le Racing n’arrive pas à faire le jeu et manque cruellement de vitesse devant !
Comme tout supporter optimiste on se dit que ça va s’arranger et que malgré le regroupement en formation tortue des Fréjussiens, nos valeureux Alsaciens qui résistent encore et toujours à l’envahisseur, placeront l’attaque fatale qui leur permettra de revenir au score.
Ça y est, elle arrive, l'égalisation (croit-on) ! Passe de Bahoken pour N'doye qui remet intelligemment à Marques qui file en profondeur, tout est parfait. Quand tout est parfait, la stratégie doit fonctionner. A la manière d’un Péplum, du Cheval de Troie, des buts de la tête de Corentin Martins ou des roulettes de Zidane, rien n’est là pour contrarier l'ordre des choses et le perfection.
Marques est donc face au but, il est déterminé, excentré sur la droite, il va frapper, marquer, c’est sûr !
Patatras, il frappe, 2 mètres à côté, la chance est passée.
Le reste du match est ponctué d’occasions plus ou moins franches, de plongeons fréjussiens et d’actions litigieuses qui permettent au public de râler auprès de l’arbitre comme si c’était sa faute que NOTRE Racing ne marque pas.
Coup de sifflet final, le match est perdu ! Rentrons à la maison, le Père Noël n’a servi à rien et nous pouvons retourner modestement vers ce ventre mou qui nous attire incontestablement.
Le National n’est pas glamour, même en hiver on peut perdre contre des gens qui ne connaissent pas le froid.
