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- Côté tribunes
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- Par guigues
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Retour vers le futur, vendredi soir le Racing et son terrible cortège revenaient sur les lieux du crime pour s’offrir une victoire expiatrice.
Stade Gaston Petit, Châteauroux. Une destination qui a de quoi faire trembler les supporters du Racing. A jamais ce stade, à première vue sympathique enceinte, représente le tombeau du Racing. D’un Racing en tout cas, celui qui fut professionnel, celui qui connut une fin tragique et chaotique dont la préfecture de l’Indre restera le symbole.
C’est donc dans ces conditions que les gars à Dugué allaient tenter de décrocher une cinquième victoire consécutive. Pour cela, ils auront évidemment besoin d’encouragements et cela tombe bien car c’est justement le match qui a été choisi par les UB90 pour continuer la célébration de leur 25ème anniversaire. Deux bus ultras sont donc au rendez-vous, complétés par un bus organisé en commun par la FSRCS et le KCB. Ajoutons à cela les téméraires supporters qui viennent par n’importe quel moyen là où le Racing joue; et nous obtenons environ 200 fans alsaciens dans la tribune visiteurs. Beau score pour un vendredi soir automnal.
La soirée débute avec l’arrivée remarquée du cortège ultra au stade. En effet, les Ultra Boys ont décidé de faire les derniers kilomètres en train, puis de se rendre au stade à pied. Pourquoi ? Pour le plaisir évidemment ! Et c’est accompagnés de pétards et de fumigènes qu’ils débarquent à Gaston Petit. La police encadre les supporters, tout se passe dans le calme et la bonne humeur. A peine le temps d’entrer en tribune que le match démarre sur les chapeaux de roues, et non sur les Châteauroux. La petite balade en ville semble avoir échauffé les organismes et une partie de la tribune se met torse nu dans une joyeuse et frénétique mêlée qui chantent avec entrain.
Après une mi-temps peu excitante sur le terrain, on reprend en fanfare en tribune avec une animation anniversaire à base d’étendards bleu, blanc, noir et évidemment d’une inscription 25 ans. Pour accompagner le tout, on lance des papelitos, ou confettis, en fait du papier passé à la broyeuse mais qui crée un « joyeux bordel en tribune ». C’est le carnaval berrichon, les supporteurs s’en donnent à cœur joie. On ne voit plus rien même pas le but de Jérémy Blayac. Qu’importe, une fois la vision éclaircie les chants reprennent de plus belle. Le Racing tient, les supporters aussi et on assiste à belle communion entre un parcage encore en pleine hystérie et une équipe qui n’en finit plus de gagner et qui fête cela avec un plaisir non dissimulé.
Le signe indien serait il vaincu ? Le Racing a-t-il enfin pris le coup de pied au cul qui doit le re-propulser dans le football professionnel ? Rien n’est encore moins sûr mais en tout cas pour les fans des Bleus et Blancs, il fait de nouveau bon suivre son équipe à travers toute la France. Pourvu que ça dure !
C’est donc dans ces conditions que les gars à Dugué allaient tenter de décrocher une cinquième victoire consécutive. Pour cela, ils auront évidemment besoin d’encouragements et cela tombe bien car c’est justement le match qui a été choisi par les UB90 pour continuer la célébration de leur 25ème anniversaire. Deux bus ultras sont donc au rendez-vous, complétés par un bus organisé en commun par la FSRCS et le KCB. Ajoutons à cela les téméraires supporters qui viennent par n’importe quel moyen là où le Racing joue; et nous obtenons environ 200 fans alsaciens dans la tribune visiteurs. Beau score pour un vendredi soir automnal.
La soirée débute avec l’arrivée remarquée du cortège ultra au stade. En effet, les Ultra Boys ont décidé de faire les derniers kilomètres en train, puis de se rendre au stade à pied. Pourquoi ? Pour le plaisir évidemment ! Et c’est accompagnés de pétards et de fumigènes qu’ils débarquent à Gaston Petit. La police encadre les supporters, tout se passe dans le calme et la bonne humeur. A peine le temps d’entrer en tribune que le match démarre sur les chapeaux de roues, et non sur les Châteauroux. La petite balade en ville semble avoir échauffé les organismes et une partie de la tribune se met torse nu dans une joyeuse et frénétique mêlée qui chantent avec entrain.
Après une mi-temps peu excitante sur le terrain, on reprend en fanfare en tribune avec une animation anniversaire à base d’étendards bleu, blanc, noir et évidemment d’une inscription 25 ans. Pour accompagner le tout, on lance des papelitos, ou confettis, en fait du papier passé à la broyeuse mais qui crée un « joyeux bordel en tribune ». C’est le carnaval berrichon, les supporteurs s’en donnent à cœur joie. On ne voit plus rien même pas le but de Jérémy Blayac. Qu’importe, une fois la vision éclaircie les chants reprennent de plus belle. Le Racing tient, les supporters aussi et on assiste à belle communion entre un parcage encore en pleine hystérie et une équipe qui n’en finit plus de gagner et qui fête cela avec un plaisir non dissimulé.
Le signe indien serait il vaincu ? Le Racing a-t-il enfin pris le coup de pied au cul qui doit le re-propulser dans le football professionnel ? Rien n’est encore moins sûr mais en tout cas pour les fans des Bleus et Blancs, il fait de nouveau bon suivre son équipe à travers toute la France. Pourvu que ça dure !
