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- Date
- Catégorie
- Après-match
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- Auteur(s)
- Par athor
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Sans jamais vraiment être pleinement investi dans la rencontre, le Racing s'est fait sortir de la coupe de la ligue par une équipe d'Auxerre pas forcément plus motivée, mais plus réaliste.
Cela avait été plus ou moins annoncé en avant match, cette rencontre de deuxième tour de coupe de la ligue à Auxerre, coincée en pleine semaine entre deux matchs de L2, n'allait pas inciter Thierry Laurey à lancer son équipe type. Le turn over de l'entraîneur à la chemise blanche a ainsi même été plus important que prévu, avec les premières titularisations de Dimitri Liénard, de retour de blessure, et du jeune Anthony Caci, aligné dans un rôle de numéro 6 relanceur. Autre nouveauté, en l'absence de Seka, suspendu, et de Saad, préservé, c'est Abdallah N'Dour qui forme la charnière défensive avec Salmier.
Dans un stade de l'Abbé Deschamps très peu garni, où seule la cinquantaine de Strasbourgeois se fait entendre, les deux équipes semblent afficher un niveau de motivation égal au niveau de prestige de la coupe de la ligue. Autant dire qu'il ne se passe pas grand chose sur le terrain. Il faut tout de même attendre une vingtaine de minutes pour voir la première opportunité pour les locaux, avec une reprise de Fournier sur un corner de Courtet. Ce même Gaëtan Courtet s'illustrera cinq minutes plus tard. Sur un centre anodin du jeune Florian Ayé, champion d'Europe U19, Landry Bonnefoi se troue totalement. Au second poteau, l'avant centre auxerrois ne manque pas l'occasion de conclure de la tête.
Le RCS ne sort pas vraiment la tête de l'eau, et ne s'illustre que sur une belle frappe de Vincent Gragnic, cadrée, mais trop sur le gardien. En face, Auxerre profite du manque flagrant d'automatismes de l'arrière garde alsacienne pour se montrer dangereux, mais sans concrétiser. La pause est sifflée sur ce constat que les Strasbourgeois ont livré là sans nul doute leur pire mi-temps de la saison.
Au retour des vestiaires, Laurey procède à un changement tactique au milieu de terrain, en faisant entrer Jérémy Grimm à la place de Mayoro N'Doye. L'impact du Haut-Rhinois se fait rapidement sentir et le Racing hausse le ton, dans le sillage également d'un bon Stéphane Bahoken. La première grosse occasion n'arrive toutefois qu'à la 69ème, par un autre entrant, Ihsan Sacko, dont la frappe soudaine est difficilement repoussée par Boucher dans les pieds de Bahoken qui bute à son tour sur le gardien.
Globalement, le niveau de jeu des deux équipes reste relativement faible, avec un abus de longs ballons et un festival d'approximations techniques. Au fil des minutes, le résultat semble acquis et les Strasbourgeois semblent déjà résignés dans les dix dernières minutes. Auxerre en profite pour tenter d'enfoncer le clou, d'abord sur un joli retourné acrobatique de Gaëtan Courtet, magnifiquement détourné par Bonnefoi. Ce dernier ne peut toutefois rien faire dans les arrêts de jeu, sur la frappe de Brahim Konaté, que Laurent Dos Santos ne parvient pas à sortir du cadre.
Battu 2-0, le Racing n'aura donc pas la possibilité d'affronter un club de L1 en 16èmes de finale, mais s'allège un peu son calendrier. Au passage, cette courte aventure en coupe de la ligue aura permis d'amasser environ 240 000€.
Dans un stade de l'Abbé Deschamps très peu garni, où seule la cinquantaine de Strasbourgeois se fait entendre, les deux équipes semblent afficher un niveau de motivation égal au niveau de prestige de la coupe de la ligue. Autant dire qu'il ne se passe pas grand chose sur le terrain. Il faut tout de même attendre une vingtaine de minutes pour voir la première opportunité pour les locaux, avec une reprise de Fournier sur un corner de Courtet. Ce même Gaëtan Courtet s'illustrera cinq minutes plus tard. Sur un centre anodin du jeune Florian Ayé, champion d'Europe U19, Landry Bonnefoi se troue totalement. Au second poteau, l'avant centre auxerrois ne manque pas l'occasion de conclure de la tête.
Le RCS ne sort pas vraiment la tête de l'eau, et ne s'illustre que sur une belle frappe de Vincent Gragnic, cadrée, mais trop sur le gardien. En face, Auxerre profite du manque flagrant d'automatismes de l'arrière garde alsacienne pour se montrer dangereux, mais sans concrétiser. La pause est sifflée sur ce constat que les Strasbourgeois ont livré là sans nul doute leur pire mi-temps de la saison.
Au retour des vestiaires, Laurey procède à un changement tactique au milieu de terrain, en faisant entrer Jérémy Grimm à la place de Mayoro N'Doye. L'impact du Haut-Rhinois se fait rapidement sentir et le Racing hausse le ton, dans le sillage également d'un bon Stéphane Bahoken. La première grosse occasion n'arrive toutefois qu'à la 69ème, par un autre entrant, Ihsan Sacko, dont la frappe soudaine est difficilement repoussée par Boucher dans les pieds de Bahoken qui bute à son tour sur le gardien.
Globalement, le niveau de jeu des deux équipes reste relativement faible, avec un abus de longs ballons et un festival d'approximations techniques. Au fil des minutes, le résultat semble acquis et les Strasbourgeois semblent déjà résignés dans les dix dernières minutes. Auxerre en profite pour tenter d'enfoncer le clou, d'abord sur un joli retourné acrobatique de Gaëtan Courtet, magnifiquement détourné par Bonnefoi. Ce dernier ne peut toutefois rien faire dans les arrêts de jeu, sur la frappe de Brahim Konaté, que Laurent Dos Santos ne parvient pas à sortir du cadre.
Battu 2-0, le Racing n'aura donc pas la possibilité d'affronter un club de L1 en 16èmes de finale, mais s'allège un peu son calendrier. Au passage, cette courte aventure en coupe de la ligue aura permis d'amasser environ 240 000€.
