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- Côté tribunes
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- Par fremen-bleu
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Google Maps est formel, ce premier déplacement strasbourgeois de la saison était placé sous le signe de la bête, l'épicentre dijonnais étant situé à la fatidique distance de 333 km du paradis meinauvien. Alors, apocalypse or no ?
GG ?
GG, oui, pas Geoffroy Guichard ou Génération Grenadine, tout juste Gaston Gérard, mais Good Game tout de même. GG donc est en pleine reconstruction, il se murmure même que, il y a deux saisons de ça, des Strasbourgeois en avaient jeté la première pierre, tout à leur enthousiasme de promu, apportant leur modeste contribution au remaniement de cette vétuste enceinte de 10 000 places.
Achevé, le nouveau Gaston Gérard (en hommage à feu cet ancien sous-secrétaire d'Etat aux travaux publics et auteur de classiques de la littérature française tels que Voyage autour de ma chambre) devrait ressembler au stade des Alpes de Grenoble. C'est en tous cas ce que nous en dit Wikipédia parce que, pour le moment, il ne ressemble vraiment à rien, même pas à Saint-Symphorien !
Alors qu'une imposante tribune a déjà émergé derrière les buts, tranchant singulièrement avec des latérales de petit poucet de coupe de France, les travaux vont tout juste débuter à l'emplacement de l'ancien parcage visiteur.
Trois petits buts et puis s'en vont
La petite centaine de supporters strasbourgeois à avoir fait le déplacement dont un bus des UB90 prendra donc place à droite de la tribune d'honneur, juste à droite de la toiture. Bâcheront les Ultras, le Kop Ciel et Blanc ainsi que ce qui n'est certes pas un groupuscule allemand au nom illisible mais bel et bien les PG06.
C'est sous la pluie que les visiteurs font (paisiblement) leur entrée, aimablement accueillis par le sourire rassurant des CRS. Il aurait cependant fallu plus que quelques gouttes pour doucher l'enthousiasme des Alsaciens qui égayent déjà l'avant-match de divers chants. Ceux plus spécialement dédiés au regretté Haykel Gmamdia seront diversement appréciés.
Si les débuts du Racing sont laborieux sur le terrain, ce sont bien les Strasbourgeois qui font l'ambiance dans les tribunes dès l'entrée des joueurs agrémentée de moult étendards. Même le but adverse ne viendra pas démentir la bonne forme d'un bloc motivé et regroupé qui finira par être récompensé.
Pas très visionnaires, les supporters dijonnais se permettent de huer le premier « Aux armes » lancé depuis le parcage. Trois pions plus tard ils ont compris...
Côté dijonnais
4637 spectateurs annoncent les chiffres officiels. Et bien l'ambiance locale est proportionnelle à l'affluence, autant dire que les amateurs de tribunes n'auront pas eu grand chose à se mettre sous la dent. Les paisibles Téméraires essayent d'animer leur partie de tribune située en face du parcage, ils déploieront ainsi un maillot à l'entrée des joueurs, agiteront régulièrement des drapeaux et se feront entendre sur quelques blancs, le score aidant. Pas trace des Dogues dijonnais vraisemblablement présents mais invisibles car situés à l'autre bout de la tribune d'Honneur.
Apparition enfin d'une bâche estampillée « supporters antiracistes » accompagnée des drapeaux de l'URSS et de la Jamaïque. Une dizaine de personnes derrière, juste de quoi faire s'interroger certains Dijonnais sur l'ironie ou la sincérité du message vu la longueur douteuse de leurs cheveux.
Prochaine étape à Brest pour le plus long déplacement de la saison.
GG, oui, pas Geoffroy Guichard ou Génération Grenadine, tout juste Gaston Gérard, mais Good Game tout de même. GG donc est en pleine reconstruction, il se murmure même que, il y a deux saisons de ça, des Strasbourgeois en avaient jeté la première pierre, tout à leur enthousiasme de promu, apportant leur modeste contribution au remaniement de cette vétuste enceinte de 10 000 places.
Achevé, le nouveau Gaston Gérard (en hommage à feu cet ancien sous-secrétaire d'Etat aux travaux publics et auteur de classiques de la littérature française tels que Voyage autour de ma chambre) devrait ressembler au stade des Alpes de Grenoble. C'est en tous cas ce que nous en dit Wikipédia parce que, pour le moment, il ne ressemble vraiment à rien, même pas à Saint-Symphorien !
Alors qu'une imposante tribune a déjà émergé derrière les buts, tranchant singulièrement avec des latérales de petit poucet de coupe de France, les travaux vont tout juste débuter à l'emplacement de l'ancien parcage visiteur.
Trois petits buts et puis s'en vont
La petite centaine de supporters strasbourgeois à avoir fait le déplacement dont un bus des UB90 prendra donc place à droite de la tribune d'honneur, juste à droite de la toiture. Bâcheront les Ultras, le Kop Ciel et Blanc ainsi que ce qui n'est certes pas un groupuscule allemand au nom illisible mais bel et bien les PG06.
C'est sous la pluie que les visiteurs font (paisiblement) leur entrée, aimablement accueillis par le sourire rassurant des CRS. Il aurait cependant fallu plus que quelques gouttes pour doucher l'enthousiasme des Alsaciens qui égayent déjà l'avant-match de divers chants. Ceux plus spécialement dédiés au regretté Haykel Gmamdia seront diversement appréciés.
Si les débuts du Racing sont laborieux sur le terrain, ce sont bien les Strasbourgeois qui font l'ambiance dans les tribunes dès l'entrée des joueurs agrémentée de moult étendards. Même le but adverse ne viendra pas démentir la bonne forme d'un bloc motivé et regroupé qui finira par être récompensé.
Pas très visionnaires, les supporters dijonnais se permettent de huer le premier « Aux armes » lancé depuis le parcage. Trois pions plus tard ils ont compris...
Côté dijonnais
4637 spectateurs annoncent les chiffres officiels. Et bien l'ambiance locale est proportionnelle à l'affluence, autant dire que les amateurs de tribunes n'auront pas eu grand chose à se mettre sous la dent. Les paisibles Téméraires essayent d'animer leur partie de tribune située en face du parcage, ils déploieront ainsi un maillot à l'entrée des joueurs, agiteront régulièrement des drapeaux et se feront entendre sur quelques blancs, le score aidant. Pas trace des Dogues dijonnais vraisemblablement présents mais invisibles car situés à l'autre bout de la tribune d'Honneur.
Apparition enfin d'une bâche estampillée « supporters antiracistes » accompagnée des drapeaux de l'URSS et de la Jamaïque. Une dizaine de personnes derrière, juste de quoi faire s'interroger certains Dijonnais sur l'ironie ou la sincérité du message vu la longueur douteuse de leurs cheveux.
Prochaine étape à Brest pour le plus long déplacement de la saison.
