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- Après-match
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- Par marc
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Menés 1 à 0 à la pause, le Racing a trouvé les ressources pour prendre l'avantage en seconde période. Les Lillois, réduits à 10, ont profité de la naïveté des Strasbourgeois pour égaliser à la dernière seconde. Un match bien terne.
Les 11000 spectateurs ayant bravé le froid alsacien ont du passé une triste fin de soirée. La raison? Un match terne, très terne. Les Racingmen n'ont jamais convaincu hier soir. Même si prendre l'avantage au score était une belle prouesse, les coéquipiers de Christian Bassila, promu capitaine en l'absence de Corentin Martins, ont rendu une triste copie.
35ème minute de jeu, une incursion ratée de Ljuboja qui ne trouve personne en relais aux abords de la surface lilloise, se transforme en contre attaque meurtrière. Manchev, le Bulgare du LOSC, file vers le buts strasbourgeois entourés par deux Alsaciens. Il réalise le geste parfait en ramenant son ballon de la tête pour dribbler un Vincent Fernandez mal inspiré venu à sa rencontre. Le but est grand ouvert et le Lillois ne se fait pas prier pour marquer son neuvième but de la saison.
Les choses commencent à devenir inquiétantes, d'autant plus que les Strasbourgeois n'ont rien montré jusqu'alors qui laissait penser qu'ils seraient capables de revenir au score. Tout le monde regrette déjà cette occasion en or de Le Pen qui a trouvé le moyen de tirer sur Wimbée, le portier nordiste, alors qu'une belle combinaison lui avait permis de se retrouver seul à 6 mètres du but. Les Strasbourgeois rentrent aux vestiaires sur le score de 1 à 0, sous les sifflets d'un public abasourdi par cette spirale de contre-performances que connait son club favori.
Au retour des vestiaires, Antoine Kombouaré décide de lancer Salim Arrache en remplacement de Pontus Farnerud, très brouillon pendant la première période dans un rôle plus offensif qu'à l'accoutumée. Le Racing va alors revenir au score, sur un coup franc excentré à 20 mètres tiré par Le Pen. C'est Christian Bassila qui place sa tête en sautant plus haut que tout le monde. Le public n'y croyait plus. Il se met alors à espérer.
La suite, c'est une expulsion directe du Lillois Chalmé pour un tacle impressionnant sur Le Pen, c'est un nouveau but de Christian Bassila à la 88ème minute de jeu sur le seul corner correctement tiré par un Ulrich Le Pen qui a beaucoup gaché au cours de cette partie, c'est de longs arrêts de jeu et une dernière action lilloise qui leur permet d'égaliser sur un corner de Brunel dans une Meinau devenue complètement muette.
Les Strasbourgeois étaient euphoriques, ils ont voulu marquer un 3ème but se croyant en sécurité à quelques secondes de la fin du match et jouant à 11 contre 10. Ils n'ont pas su garder le ballon, casser le rythme, tuer le match, jouer avec les poteaux de corner adverses. Bref, ils ont voulu trop bien faire alors que ce score de 2-1 leur tendaient les bras.
Des regrets? Sans doute... peut être même plus du côté des hommes de Claude Puel qui ne méritaient vraiment pas de perdre ce match et qui auraient pu empocher les 3 points sans que cela n'étonne personne.
Mercredi, c'est Paris, samedi c'est Bastia, puis viendra Monaco. Le Racing est dans le ventre mou et cela risque d'être dur d'y rester compte tenu des performances actuelles de l'équipe. Certains diront que c'est la faute à "pas de chance", d'autres peuvent leur répondre que la chance ça se provoque...
35ème minute de jeu, une incursion ratée de Ljuboja qui ne trouve personne en relais aux abords de la surface lilloise, se transforme en contre attaque meurtrière. Manchev, le Bulgare du LOSC, file vers le buts strasbourgeois entourés par deux Alsaciens. Il réalise le geste parfait en ramenant son ballon de la tête pour dribbler un Vincent Fernandez mal inspiré venu à sa rencontre. Le but est grand ouvert et le Lillois ne se fait pas prier pour marquer son neuvième but de la saison.
Les choses commencent à devenir inquiétantes, d'autant plus que les Strasbourgeois n'ont rien montré jusqu'alors qui laissait penser qu'ils seraient capables de revenir au score. Tout le monde regrette déjà cette occasion en or de Le Pen qui a trouvé le moyen de tirer sur Wimbée, le portier nordiste, alors qu'une belle combinaison lui avait permis de se retrouver seul à 6 mètres du but. Les Strasbourgeois rentrent aux vestiaires sur le score de 1 à 0, sous les sifflets d'un public abasourdi par cette spirale de contre-performances que connait son club favori.
Au retour des vestiaires, Antoine Kombouaré décide de lancer Salim Arrache en remplacement de Pontus Farnerud, très brouillon pendant la première période dans un rôle plus offensif qu'à l'accoutumée. Le Racing va alors revenir au score, sur un coup franc excentré à 20 mètres tiré par Le Pen. C'est Christian Bassila qui place sa tête en sautant plus haut que tout le monde. Le public n'y croyait plus. Il se met alors à espérer.
La suite, c'est une expulsion directe du Lillois Chalmé pour un tacle impressionnant sur Le Pen, c'est un nouveau but de Christian Bassila à la 88ème minute de jeu sur le seul corner correctement tiré par un Ulrich Le Pen qui a beaucoup gaché au cours de cette partie, c'est de longs arrêts de jeu et une dernière action lilloise qui leur permet d'égaliser sur un corner de Brunel dans une Meinau devenue complètement muette.
Les Strasbourgeois étaient euphoriques, ils ont voulu marquer un 3ème but se croyant en sécurité à quelques secondes de la fin du match et jouant à 11 contre 10. Ils n'ont pas su garder le ballon, casser le rythme, tuer le match, jouer avec les poteaux de corner adverses. Bref, ils ont voulu trop bien faire alors que ce score de 2-1 leur tendaient les bras.
Des regrets? Sans doute... peut être même plus du côté des hommes de Claude Puel qui ne méritaient vraiment pas de perdre ce match et qui auraient pu empocher les 3 points sans que cela n'étonne personne.
Mercredi, c'est Paris, samedi c'est Bastia, puis viendra Monaco. Le Racing est dans le ventre mou et cela risque d'être dur d'y rester compte tenu des performances actuelles de l'équipe. Certains diront que c'est la faute à "pas de chance", d'autres peuvent leur répondre que la chance ça se provoque...