Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Rugby Club de Strasbourg

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Flux RSS 504 messages · 146.589 lectures · Premier message par racingrugby · Dernier message par androsz


  • Rugby : Strasbourg 24-3 Nantes (16ème finales playoff 2014) par www.StrasTv.com

    La vidéo d'analyse du match par StrasTV

    Tiens sinon au niveau de la nouvelle tribune, on a remarqué qu'elle était orientée plein soleil à l'heure des matchs... Bon on ne peut pas dire qu'il gène souvent...
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  • Le RCS est tout proche d'un retour en F1 après sa victoire (23-25) à Niort !

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  • En ballottage favorable
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    Tout l'engagement du trois-quarts centre Arnaud Duvernois ici face à Nantes il y a une semaine et auteur hier à Niort du 2 e essai strasbourgeois. Photo DNA - Cédric Joubert



    « Gagner à Niort, c'est un gros, un très gros exploit, savoure Benjamin Schaub, le directeur sportif du RC Strasbourg. Seul Angoulême a pu le faire ici, c'est dire. La match a été âpre, difficile, et s'est joué à rien.»

    Il est vrai que la mission des Alsaciens était compliquée. Revenus l'autre jour de leur 16e de finale aller à Beaune avec plus de 30 points d'avance, les Niortais devront cette fois aller batailler ferme dimanche pour un retour déterminant quant à la montée en Fédérale 1.

    Niort a subi, est revenu, a semblé pouvoir dépasser son adversaire, mais s'est incliné. De deux points. Pas grand-chose, certes, mais il faudra savoir aller défier cette équipe strasbourgeoise qui a commencé son parcours de poule devant 300 spectateurs et qui en attend cinq fois plus à Hautepierre le 25 mai.

    Les Deux-Sévriens avaient pourtant manifesté d'emblée toute leur bonne volonté pour faire reculer leur adversaire.

    Un essai de Briatte (3e ) fut finalement refusé, Chauvet (sorti très tôt sur une contracture) et Sapparrart manquant par la suite (7e , 22e , 36e ) trois pénalités.

    Le temps de se retourner, il était déjà quasiment trop tard : les Alsaciens avaient pris sept points d'avance dans une mi-temps, où ils avaient enfin dévoilé leurs intentions. C'est-à-dire la pratique d'un rugby sainement agressif, en poussant sans aucunement s'affoler l'adversaire à la faute.

    « Deux points, ça ne veut rien dire »

    Mieux organisés, hermétiques, systématiquement bien replacés, les Strasbourgeois inscrivaient alors un essai heureux par Duvernois (42e , 3-15) sur le petit coup de pied à suivre de Zinck, alors que le premier était un modèle du genre : renversement de jeu sur toute la largeur du terrain, et passe millimétrée de Naisilisili pour Ananin.

    Strasbourg connut un deuxième écart maximal de 12 points (6-18, 50e sur une pénalité de Lombard), puis le Stade niortais embraya la bonne vitesse pour revenir non pas au grand galop, mais en puissance avec deux essais collectifs qui bonifièrent ses temps forts.

    À tel point que les locaux crurent partir en Alsace nantis de cinq points d'avance (23-18, 75e ), mais un oubli coupable envoya le demi d'ouverture Lombard sous les perches.

    « Strasbourg était à la hauteur de ce que l'on pouvait en attendre, et n'a rien volé dans cette rencontre, reconnaît Rémi Lescalmel, l'entraîneur de Niort. C'est une équipe de bon niveau, et quand on fait des erreurs face à elle, on les paye cash. On a pris trop de points en première période, on est revenus dans le match, mais on ne l'a pas gagné. Mais rien n'est encore définitif.»

    La “vraie” finale pour la montée aura donc lieu dimanche à Strasbourg (14h), à l'occasion du 8e de finale retour, mais bien malin qui pourrait distinguer aujourd'hui le favori de l'outsider. « Il y a beaucoup de solidarité chez nous, le sens de la famille, et on ne lâche rien, dit Benjamin Schaub. Mais le score est étroit, on repart même avec les compteurs à zéro, parce que deux points, ça ne veut rien dire. Et on s'attend dimanche prochain à un drôle de match- couperet...»

    Source : dna.fr
  • Le jour J est arrivé, Allez les bleus !

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  • Défaite 9-12
    Ils ne montent pas :(
  • + 2 à l'aller, - 3 au retour, que c'est cruel de louper la montée pour 1 petit point... Félicitations à Niort d'y avoir cru malgré sa défaite à domicile et rdv la saison prochaine pour le RCS qui retrouvera la F1 tôt ou tard.
  • Les yeux pour pleurer


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    La joie des Niortais et le désarroi des Strasbourgeois incarné par Émile Bronquard. Photo dna – Cédric Joubert

    Le RC Strasbourg était en Fédérale 1 jusqu'à quatre minutes de la fin et une incroyable pénalité de 57 mètres de l'arrière niortais Sapparrart. Au bout de 160 minutes d'une bataille féroce, il manque un misérable point. Un point qui anéanti les efforts consentis au cours d'une saison entière.
    « Cela se jouera sur des détails », estimait le directeur sportif Benjamin Schaub en amont. Le pauvre ne croyait pas si bien dire. Même pas un point de détail. Un point tout court !

    Le RCS échoue pour des broutilles. Pour un point, pour quatre minutes, pour une dizaine de centimètres. Ceux qui ont manqué à Romain Lombard, à l'entame des arrêts de jeu, sur une pénalité délicate, du bord de touche, à 45 mètres et vent contraire.

    Mais tout ne s'est pas joué là-dessus non plus. Par rapport à l'aller, Niort a rectifié le tir, plus agressif en défense, colmatant cette fois les brèches au large, plus propre dans le jeu au pied avec moins de ballons rendus. Niort a fait du Niort, solide et sans fioriture.

    « On n'arrive pas à enfoncer le clou »

    En face, Strasbourg a raté le coche en première période, avec l'appui du vent. « Comme plusieurs fois cette saison, on n'arrive pas à enfoncer le clou, regrettera Nicolas Tisané. Notamment lorsqu'on était en supériorité numérique. Avec l'avantage de l'aller, si on fait le trou d'emblée, ils doutent et ne reviennent pas. »

    Pour profiter du vent, les Bleus ont usé de chandelles en dessous desquelles les Niortais ne se sont pas brûlés. Intraitable, Romain Lombard a bien sanctionné les deux premières fautes visiteuses, à 45 mètres en coin et 48 mètres pourtant (6-0, 13e ).

    Niort s'est retrouvé à 14, puis à 13. Peut-être aurait-il fallu porter le ballon pour fatiguer un adversaire ainsi handicapé. À l'inverse, Niort restait impeccable dans les airs et revenait même, toujours à 14, par Sapparrart déjà (6-3, 27e ).

    Sous pression face au vent

    Sur chaque impact, chaque point de fixation, le combat était féroce. Du cousu main pour Niort qui n'eut qu'une action au large à juguler sur un cadrage parfait de Zinck pour Zambelli, repris à 10 mètres (40e ).

    À 6-3 au repos et une seconde période contre le vent en perspective, sans Bonjean sorti sur béquille et Schoonbee bientôt dans le brouillard, l'affaire se corsait.

    Sous pression, les Strasbourgeois ne parvenaient guère à sortir de leur moitié de terrain. Dès lors, les fautes se payaient cash. Encore heureux que Sapparrart ne parvenait à dompter les caprices d'Eole aux 46e et 58e.

    Entre-temps, son ouvreur Simon Piaud avait tapé un drop plein d'opportunisme de près de 40 mètres, et Lombard avait redonné de l'air aux siens, dans une position à peine meilleure que dans les arrêts de jeu, un peu plus tard (9-6, 55e ).

    Les mains sur sa proie, Niort allait finir par s'en saisir. Sapparrart rétablissait la parité face aux perches, sanctionnant une faute au sol (71e ), avant de décocher sa frappe de mammouth assommant les Strasbourgeois.

    Assommer, c'est beaucoup dire puisque deux chances se sont encore offertes à eux. La pénalité de la 80e +1, puis une autre, transformée en pénaltouche sur laquelle l'attaque au large voyait l'arrière Peter Ananin mal ajuster sa passe pour l'ailier Justin Zinck en bout de ligne.

    Le rêve était passé. Les larmes coulaient. Les joueurs, abattus, et le staff, prostré sur son banc, accusaient le coup. Le tour d'honneur, réclamé par un public record, ne pouvait qu'attiser la plaie.

    dna.fr


    Le RC Strasbourg échoue à un point !

    À quatre minutes et finalement un point près au bout de deux matches, donc de 160 minutes, le RC Strasbourg a laissé échapper la montée en Fédérale 1 face à Niort. Vainqueur à l'aller (25-23), il a été battu chez lui (12-9).

    Le RC Strasbourg était donc en Fédérale 1 pendant 76 minutes. Jusqu'à cette incroyable pénalité, de 57m avec vent favorable c'est vrai, de l'arrière niortais Sapparrart (12-09).

    À l'entame des arrêts de jeu, l'ouvreur strasbourgeois Romain Lombard a eu l'occasion d'égaliser, mais son coup de pied était au moins aussi difficile. Du bord de touche, à 45m et contre le vent, Lombard ratait la cible... pour quelques centimètres.

    Les Strasbourgeois eurent même une dernière occasion d'essai. En bout de ligne, la passe de Peter Ananin n'était hélas pas assez bien ajustée pour permettre à l'ailier Justin Zinck de réceptionner la balle et d'aller aplatir quelques mètres plus loin.

    Niort retrouve la Fédérale 1 un an après l'avoir quitté. Strasbourg devra attendre un an de plus au moins.

    Source : dna.fr


    Et un repêchage, comme le Racing ?


    Pas de repêchage

    En rugby aussi, les clubs ne pouvant pas tenir leurs engagements financièrement ne manquent pas et les repêchages sont légion. Il est fort probable qu'après avoir échoué de si peu, le RC Strasbourg soit invité par la Fédération à monter tout de même en Fédérale 1. Quand on se souvient qu'elle avait, l'an passé, proposé de maintenir l'équipe dans cette même Fédérale 1 malgré une saison sans la moindre victoire...

    Toutefois, le président Christian Loth a été clair hier après la rencontre. « Je l'ai dit aux joueurs auparavant. La montée se gagne sur le terrain. Ici, on n'est pas au foot. On ne monte pas sur tapis vert. À ce jour, c'est ma position. »

    Pas sûr qu'elle évolue ces prochaines semaines. Beaucoup évoquaient hier soir un mal pour un bien, estimant qu'une année – au moins – de plus en Fédérale 2 ne serait pas de trop pour continuer à solidifier les structures du club.

    dna.fr
  • Un club qui refuse une montée sur tapis vert, pour le plaisir de monter sur le terrain, ce n'est pas si courant que ça...

    Objectif Fédérale 1

    C’est dit, et très clairement. Le Rugby Club de Strasbourg veut monter en Fédérale 1 au printemps prochain. Il s’en donne les moyens, et c’est peu de le dire.


    «C’est évidemment un groupe de Fédérale 1 qu’on construit là. On ne pourra le faire tous les ans, mais on fait un effort très conséquent cette année car c’est le moment, pour accompagner l’évolution des structures du club. Au moment de monter en Fédérale 1, on ne rajoutera plus que deux ou trois éléments au maximum.»

    En la personne de Christian Loth, on avait découvert un président passionné et volontariste lors de sa première AG voici un an au golf de La Wantzenau. Douze mois plus tard, au même endroit, il a enfoncé le clou.

    Un groupe quasi intact… et 16 recrues !

    Il a donné trois maîtres mots: spectacle, victoire, émotion. Il a fixé trois objectifs: 1er de poule, comme cette saison, gagner cette fois le 8e de finale et obtenir la montée – «pour voir cette fois des larmes de joie, et c’est pour vivre ça que nous avons refusé la montée sur tapis vert» –, décrocher le titre de champion de France de Fédérale 2.

    Il commente: «N’y voyez aucune prétention. Je ne dis pas qu’on sera champion de France, c’est juste notre objectif. Nous sommes des compétiteurs.» Avec l’annonce, dans la foulée, du recrutement opéré, on constate surtout que ce ne sont pas des paroles en l’air.

    Le groupe actuel reste quasiment intact. Christophe Machu, qui a eu droit à l’hommage qu’il mérite, arrête sa carrière et est sollicité pour prendre des fonctions au sein du club. Jason Huss, Patrice Maystre et Christopher Legon n’ont pas été conservés.

    « Le biscuit, c’est notre projet, et rien d’autre »

    S’y ajoutera l’équivalent d’une équipe, et même mieux. Et quelle équipe. Seize nouveaux joueurs. «25 ans de moyenne d’âge, précise le président, avec toujours notre volonté de faire revenir au bercail des jeunes talentueux qui ont tenté leur chance plus haut et adhèrent aujourd’hui à notre projet.»

    Ce projet, ambitieux mais structuré qui sur lequel se sont appuyés les coaches Julien Chastanet et Benjamin Schaub pour renforcer leur effectif. Une centaine de joueurs ont été contactés depuis janvier. Ceux qu’ils voulaient vraiment seront là, convaincus par le projet, le discours.

    «Entre le vent mou de la Fédérale 1 et jouer la montée en Fédérale 2, ils ont choisi, révèle Christian Loth. Je vous l’assure, le biscuit, c’est notre projet, et rien d’autre.»

    La recrue phare n’est autre que le trois-quarts centre du LOU, le Fidjien Vinaya Wakanivuga, trois saisons en Pro D2, une en Top14 à son actif à Lyon. À 35 ans, le LOU ne voulait pas le conserver en remontant en Top 14. Il a refusé plusieurs offres en Fédérale 1 pour rejoindre Strasbourg.

    Les ex-coéquipiers de Chastanet et Schaub

    Le pilier gauche Johann Bourhis et le 3e ligne centre William Wavrin, international à 7, quittent Bobigny et la Fédérale 1 pour l’Alsace. Avec le Montluçonnais Fred Pujo, que le tandem Chastanet-Schaub a côtoyé à Nevers, le RCS récupère un ouvreur et buteur patenté dont l’expérience fera grandir un Romain Lombard enthousiaste à l’idée. Par la même filiation, le duo a convaincu l’ailier neversois Olivier Bertro et le 2e ligne de Vienne, Jérémy Allard.

    Le Sud-Africain Louis Fourie, 2e /3e ligne de 23 ans, fait partie de ces opportunités que le club strasbourgeois est parvenu à saisir.

    Au rayon des retours en Alsace, et pas des moindres, voici le centre Nicolas Kaiser, 41 matches en Pro D2 avec Albi, l’ouvreur et arrière Hugo Rapp, venu de Bourg après être passé par les espoirs du Racing Métro, le 2e /3e ligne Jérémy Helmbacher, de retour Brive, le pilier Karim Ghodbane, 21 ans, de retour de Bourg.

    Le 3e ligne Emmanuel Herbin, 29 ans dont 5 en Fédérale 1 et un en Pro D2, sera un leader de touche avec ses 2,04m. Le talonneur d’origine russe Michal Tyumener, 23 ans, international allemand, arrive de Mont-de-Marsan.

    L’ailier Mickaël Ferrari 21 ans, Metz), le talonneur Rémi gaborit (22 ans, Massy), le 2e ligne Julien Michel (26 ans, St-Jean-de-Luz) complètent ce recrutement haut de gamme, en phase avec les ambitions affichées.

    Il doit permettre, selon les propos présidentiels, de faire du Rugby Club de Strasbourg un club qui compte dans le paysage sportif alsacien. «Pour être écouté auprès des institutionnels, il faut du monde au stade. Ce n’est qu’ainsi qu’on en aura.» Démonstration à la rentrée. On a hâte d’y être…

    par Rémy Sauer, publiée le 29/06/2014 à 05:00

    Source : http://www.dna.fr/sports/2014/06/29/objectif-federale-1
  • Gros, énorme recrutement, encore un ancien mulhousien avec Hugo Rapp, c'est un excellent joueur, peut-être un peu trop limite pour le Top 14 et la proD2, il redescend en Fed 2, et ça pourrait faire mal.

    Je ne parle même pas de Nicolas Kayser formé à Ensishem et qui lui jouait régulièrement à Albi en proD2.

    Ils construisent une équipe solide de Fed 1, et étant donné qu'apparemment ils conservent leur meilleurs atouts ( Zambelli, Lombard...) ça risque de faire très très mal sachant qu'ils étaient à deux doigts ( un point en fait) de monter l'année dernière.
  • Après une victoire au PUC (6-19)*, le RCS disputera sa première rencontre à domicile ce dimanche :

    *14-09-2014PUCStrasbourg
    21-09-2014StrasbourgAntony
    28-09-2014DijonStrasbourg
    12-10-2014CompiègneStrasbourg
    19-10-2014StrasbourgGennevilliers
    26-10-2014SuresnesStrasbourg
    16-11-2014StrasbourgClamart
    23-11-2014ArrasStrasbourg
    30-11-2014StrasbourgMLSGP
    14-12-2014StrasbourgPUC
    11-01-2015AntonyStrasbourg
    18-01-2015StrasbourgDijon
    01-02-2015StrasbourgCompiègne
    08-02-2015GennevilliersStrasbourg
    22-02-2015StrasbourgSuresnes
    01-03-2015ClamartStrasbourg
    29-03-2015StrasbourgArras
    19-04-2015MLSGPStrasbourg
  • Ils devraient logiquement survoler le groupe, même si il faudra un peu de temps pour souder un groupe agrémenté de 16 nouveaux éléments.

    Les choses sérieuses commenceront en championnat de France.
  • Large victoire contre Antony (51-3) pour le RCS qui se déplacera à Dijon dimanche prochain.

    1DIjon102
    2Strasbourg92
    3Suresnes92
    4Gennevilliers92
    5Arras52
    6Compiègne42
    7Clamart12
    8PUC12
    9MLSGP02
    10Antony02

    LE CHOC DES AMBITIONS A DIJON

    Regardons le prochain match qui nous opposera à DIJON le dimanche 28 septembre. DIJON vient de descendre de F1 sans pour autant y avoir été ridicule, l’objectif du club étant la remontée immédiate, afin de revenir à un niveau habituel dans la terre de rugby bourguignonne. Pour cela les dijonnais ont pour eux les restes d’habitudes de jeu de la F1 , l’organisation collective et le sens indispensable de l’efficacité . Nous voilà prévenu s’il en était besoin . Et, cerise sur le gâteau, les bourguignons auront l’honneur d’effectuer leur premier match à domicile : important pour le moral et la crédibilité.

    Notre capacité à élever notre niveau de jeu , de concentration, et d’efficacité sera mis à l’épreuve . Certaines erreurs , fautes, ou hésitations, imputables aux imperfections de début de saison ne seront plus de mise. Tout se payera cash .

    Les ambitions de Strasbourg et de Dijon sont clairement affichées ; cette rencontre désignera déjà le potentiel leader des matches de cette première phase. Cette semaine , nos joueurs , en plus des perfectionnements techniques indispensables, doivent être prêts pour un combat des plus acharné en terrain hostile et passionné, où la venue des Strasbourgeois drainera un public entièrement acquis à la cause bourguignonne . Oublions la dernière victoire ; la plus belle est toujours la prochaine : il va falloir s’en donner tous les moyens, le vouloir par-dessus tout, en un mot être en phase avec nos ambitions.

    (Site officiel)
  • https://scontent-b-cdg.xx.fbcdn.net/hphotos-xpa1/v/t1.0-9/s720x72...
  • Voilà qui fait plaisir. D'autant plus que Dijon avait inscrit 99 points à Antony, là où Strasbourg n'en a mis que la moitié à domicile.

    Un long fleuve tranquille vers la fédérale 1 ?
  • C'est bien parti mais on attendra que ce soit officiel pour se réjouir, en se souvenant de la saison dernière...
  • certes.
    mais cette année, l'équipe a apparemment déjà été sacrément renforcée, ce qui est une bonne chose dans l'optique d'une montée souhaitée. Cela permettra en cas de montée de ne pas avoir à bouleverser la moitié de l'équipe, mais de faire des retouches ciblées pour éviter l'ascenseur.

    Et n'empêche que je m'attendais pas à une victoire à Dijon, donc ne boudons pas notre plaisir.
  • https://fbcdn-sphotos-f-a.akamaihd.net/hphotos-ak-xpa1/t31.0-8/s7...


    1Strasbourg184
    2Suresnes184
    3Gennevilliers184
    4Arras144
    5Dijon114
    6PUC54
    7Compiègne44
    8MLSGP44
    9Clamart14
    10Anthony14

    RCS - Gennevilliers dimanche prochain à Hautepierre.
  • Voilà qui fait plaisir.
    Que ça continue comme ça.
  • Fédérale 2
    Rugby RC Strasbourg – Gennevilliers 37-10

    Devant un bon millier de spectateurs, le Rugby Club de Strasbourg a livré une première période en tous points remarquables. Après 35 minutes, les Strasbourgeois menaient déjà 30-0, bonus offensif en poche, grâce aux trois essais signés Wavrin, Zambelli et Fourie.

    Ce fut plus poussif ensuite. Quelques erreurs de concentration et un essai refusé pour un en-avant peu évident ont ensuite ralenti la machine.

    À l’heure de jeu, l’essai en force de Kapseu offrait de la marge aux siens. Une marge réduite à néant dans les six dernières minutes lorsqu’un essai collectif et un autre en contre des Franciliens privaient un peu bêtement les Strasbourgeois du bonus offensif.

    Ne soyons toutefois pas plus royalistes que le roi. « Au départ, on signait de suite pour un 37-10, a commenté justement l’arrière Zambelli. Maintenant, vu le déroulement, c’est dommage. À nous de gagner dimanche prochain à Suresnes. Dès lors, on ne parlera plus de ce point de bonus. »

    Dijon ayant battu Suresnes (21-19), Strasbourg est même seul leader, avec trois points d’avance sur son prochain adversaire.

    DNA
  • Et une de plus !
    Heureusement qu'il y a le rugby dans ce weekend sportif morose pour les équipes que je suis...


    Presque parfait


    http://s-www.dna.fr/images/1E6A1FA9-8353-42FD-B96F-4B93FF7176BD/D...

    Vinaya Wakanivuga échappe à la charnière visiteuse avant de servir William Wavrin, au premier plan, qui ira inscrire le premier essai strasbourgeois. Photo DNA – Michel Frison


    Privés in extremis du bonus offensif, les Strasbourgeois font la fine bouche. Vu la suprématie affichée, il y a de quoi. N’empêche, le constat est là. Ils disposent d’une belle marge sur un de leur concurrent les plus sérieux. Et les voilà seuls en tête.


    « Au départ, on aurait signé de suite pour un 37-10, avoue Thibault Zambelli. Mais vu le scénario, il est dommage de perdre ce point de bonus. »

    En termes de scénario, l’arrière évoque cette première demi-heure de rêve et même une heure entière sans que Gennevilliers n’a eu voix au chapitre ou presque.

    Les Strasbourgeois n’ont été bousculés qu’une fois, au quart d’heure. Défensivement, ils ont habilement contré les deux mauls menaçant dans leurs 5m. Pour le reste, la feuille de route relève déjà du classique : des avants qui font mal, des arrières qui donnent le tournis à l’opposant, mis à la faute. Pujo sanctionne sans coup férir – 7/7 pour lui après le 7/8 de Lombard à Compiègne – et une fois les Bleus bien installés dans la partie, ils portent l’estocade.

    19e ’: après un maul maîtrisé au milieu du terrain, Zambelli met les cannes, sert le Fidjien Wakanivuga après contact qui échappe aux demis Ribeiro et Brichet pour envoyer Wavrin à l’essai.

    31e ’: Gennevilliers est pénalisé dans ses 22m pour un maul écroulé. Le staff strasbourgeois indique de tenter la pénalité mais Pujo tape rapidement au pied à l’opposé pour Zambelli qui recueille l’offrande et aplatit.

    36e ’: Bertro se fend d’un slalom sur plusieurs dizaines de mètres avant de servir le caviar au Sud-Africain Fourie.

    Face à un adversaire majeur, à 30-0, le bonus est déjà en poche et c’est un minimum, tant les Strasbourgeois produisent du jeu devant un millier de personnes ravies.

    Après la pause, un rien de déconcentration, un surplus de fautes de main et pas mal de coup de sifflets intempestifs ont ralenti le train bleu. « Il est regrettable que les arbitres pénalisent les équipes qui s’évertuent à porter le ballon, à produire du jeu », devait renâcler le manager sportif Julien Chastanet.

    Pas la meilleure des nouvelles pour Suresnes…

    « Il a haché le jeu, renchérissait le directeur sportif Benjamin Schaub. On a l’impression que les arbitres préfèrent du jeu plus simple. »

    On retiendra essentiellement une décision, celle privant Zambelli du doublé, à la 53e’, pour un en-avant préalable peu évident. À l’heure de jeu, Kapseu, poussé par son pack suite à une pénaltouche, pensait cependant avoir offert aux siens une marge suffisante.

    Mais à dix minutes du terme, Gennevilliers faisant enfin parler sa principale force. Face à un pack qui se rebiffe, les Strasbourg ont tenu un temps avant de céder. Puis une passe au pied de Lombard était interceptée par le centre Ouassiero qui, en contre, privait de ce fameux bonus offensif un RCS qui aurait pu le récupérer sur une dernière touche à 5m, hélas mal négociée.

    Profitant de la défaite à Dijon de Suresnes (21-19), où ils se rendront dimanche pour un nouveau choc, les Strasbourgeois n’ont plus à partager le fauteuil de leader. En plus de l’impression de supériorité laissée, la journée fut tout bénéfice. Quant au point échappé, pas sûr que ce soit la meilleure des nouvelles pour Suresnes…
  • 1Strasbourg225
    2Suresnes195
    3Gennevilliers185
    4Dijon155
    5Arras145
    6PUC95
    7MLSGP85
    8Compiègne55
    9Antony35
    10Clamart25
  • PAS DE GRAND CHELEM CETTE SAISON
    Rugby Fédérale 2
    Un de chute pour Strasbourg
    Suresnes à l’extérieur aura été un obstacle un tantinet trop pour le Rugby Club de Strasbourg. En région parisienne, celui-ci a arraché in extremis le point du bonus défensif (25-20) qui lui permet de partager la tête avec son vainqueur du jour.
    Le Rugby Club de Strasbourg a chuté après cinq victoires consécutives dont trois à l’extérieur et après avoir dominé deux de ses trois concurrents directs, dont l’un, Dijon, sur sa propre pelouse.

    À Suresnes, les Strasbourgeois se sont engagés dans une course-poursuite incessante et finalement vaine. Menés 6-0, ils ont pris la tête grâce à un essai transformé suivi d’une pénalité (6-10). Un avantage de courte durée, Suresnes répondant par un essai transformé aussi : 13-10 puis 19-13 à la pause, par le jeu des pénalités.

    Les Franciliens, pragmatiques, portaient l’estocade après la reprise, grâce à deux drops (25-13, 50e’).

    Les Strasbourgeois n’ont toutefois rien lâché, arrachant finalement le point du bonus défensif sur essai transformé peu avant la fin.

    Le RCS a désormais trois semaines pour recharger les batteries, avant de recevoir le promu Clamart et de réenclencher la marche avant, le 16 novembre à Hautepierre
  • Premier accroc


    (APL) – Auréolés d’un parcours sans faute au moment de venir défier leur dauphin suresnois, les Strasbourgeois n’ont pu repartir du Mont Valérien qu’avec le point du bonus défensif, arraché de haute lutte en toute fin de partie.

    Bousculés d’entrée par des Franciliens conquérants, ils étaient rapidement punis par la botte de Bajart, impeccable au pied tout au long de la rencontre (6-0, 10e ).

    Touchés mais pas coulés, les Bas-Rhinois répondaient par un splendide essai de près de 70 mètres.

    Récupérant le ballon devant ses 22 mètres, Zambelli perçait sur 40 mètres à gauche avant de servir Traoré aux 22 mètres locaux. Ce dernier résistait au retour des défenseurs et, plongeait au pied des perches. Pujo bonifiait (6-7, 18e ), avant d’amplifier sur une pénalité à 15 mètres à gauche (6-10, 23e ).

    Rattrapés en infériorité numérique

    En infériorité numérique, le RCS ne pouvait empêcher Perfettini d’aplatir à gauche en coin. Malgré la position, Bajart transformait, redonnant l’avantage aux Locaux (13-10, 27e ).

    Hélas pour les Strasbourgeois, profitant du bon travail en conquête de ses avants, l’arrière suresnois ne devait pas en rester là. Avant la pause, il faisait fructifier ses statistiques en ajoutant deux nouvelles pénalités, seulement entrecoupées par celle de 40 mètres de Pujo (19-13).

    Au retour sur le pré, des 25 mètres en face, ce diable de Bajart passait deux drops qui repoussaient loin les Bas-Rhinois (25-13, 53e ). Un peu moins bien que d’habitude dans de nombreux domaines et, notamment dans le jeu au pied, les Alsaciens laissaient six points en route en deuxième période, suite aux deux pénalités manquées par Pujo (48e et 72e ).

    La fin de match était totalement strasbourgeoise. Assiégeant les 22 mètres locaux et poussant les banlieusards parisiens à la faute, les Alsaciens voyaient leurs efforts récompensés.

    Suite à un énième hors-jeu et à la pénaltouche qui s’en suivait, Fourie captait le ballon. Un groupé pénétrant s’organisait autour de lui dont s’extrayait Traoré qui inscrivait à gauche en coin l’essai synonyme de bonus. Avec la transformation de Pujo, la défaite alsacienne certes logique était ramenée à un écart plus conforme à la physionomie du match.

    « Perdre à Suresnes n’est pas une honte »

    « Perdre à Suresnes n’est pas une honte car, il n’y en a pas beaucoup qui viendront gagner ici, retenait Benjamin Schaub, le co-entraîneur du RC Strasbourg. Bravo à eux qui nous ont bien pris. On n’a pas su imposer notre jeu, notamment en conquêtes. Nous avons mal occupé le terrain. Notre jeu au pied a été déficient. Néanmoins, on finit très fort et, on prend un point de bonus mérité ! »

    Source : http://www.dna.fr/sports/2014/10/27/premier-accroc

    Et au classement :

    RgEquipesPtsJGNPP.C.+/-BOBDCB
    1Strasbourg236501198771212115
    2Suresnes23650116579862111
    3Gennevilliers226501149105442014
    4Dijon206402221931283112
    5Arras19640216511550213
    6PUC1363037690-14011
    7MLSGP96204108179-7101-7
    8Compiègne6610589160-7102-10
    9Antony3610570277-20701-7
    10Clamart1600681147-6601-11
  • Face à la lanterne rouge, Clamart, , victoire très large 72-3
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