Rugby Club de Strasbourg
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tomifanLe festival offensif du RC Strasbourg : 72-3 !
Les rugbymen strasbourgeois ont régalé leur public face à la lanterne rouge Clamart. Dix essais inscrits, un 10/10 au pied pour Romain Lombard : un véritable festival.
Entre un leader, de surcroît vexé par une première défaite concédée le match d’avant et un dernier de la classe, le gouffre peut être abyssal. La preuve.
Pour Clamart, ce match tombait au plus mal. Battus à Suresnes, les Strasbourgeois voulaient se faire pardonner. Pas question de céder à la facilité. Ils ont donc livré un match sérieux de bout en bout.
Au bout de dix minutes, Naisilisili et Allard étaient déjà allés à l’essai. D’où, tout de même, un relachement d’un quart d’heure durant lequel les Bleu ont été privés de ballons et ont concédé un drop.
Celui-ci eut le don de les réveiller, de gagner en agressivité en défense et, dès lors, de se gaver de ballons de récupération. C’est ainsi que Costa et Bonjean avant la pause, Costa encore, Wavrin, Naisilisili et Bonjean à nouveau, ont donné à la marque des proportions jamais atteintes à Strasbourg.
Sans oublier les deux groupés pénétrants venus récompenser le travail des avants, conclus par Bronquard et Loth.
Entre transformations et pénalités, Romain Lombard s’est offert un 10/10 au pied, corsant l’addition un peu plus.
72-3 : le RCS a résolument remis la marche avant. À confirmer néanmoins à Arras, un déplacement délicat en perspective, afin de – définitivement ? – remettre la main sur cette poule 1 de Fédérale 2.
Source : http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2014/11/16/le-festival-offensif-du-rc-strasbourg-72-3
Rg Equipes Pts J G N P P. C. +/- BO BD CB 1 Strasbourg 28 7 6 0 1 270 80 190 3 1 16 2 Gennevilliers 26 7 6 0 1 159 114 45 2 0 14 3 Dijon 25 7 5 0 2 261 96 165 4 1 13 4 Suresnes 24 7 5 0 2 174 89 85 2 2 12 5 Arras 19 7 4 0 3 168 155 13 2 1 3 6 PUC 17 7 4 0 3 91 100 -9 0 1 1 7 MLSGP 11 7 2 1 4 118 189 -71 0 1 -5 8 Compiègne 7 7 1 0 6 99 175 -76 0 3 -9 9 Antony 5 7 1 1 5 80 287 -207 0 1 -9 10 Clamart 1 7 0 0 7 84 219 -135 0 1 -11 -
Tout va bien pour le club jusqu'à présent, pourvu que ça dure...
Si les résultats de l’équipe fanion décident du niveau de compétition du club, n’oublions pas que les règlements FFR nous font participer également au championnat de France « fédérale B » . Cette fédérale B est en fait pour beaucoup de clubs , le réservoir de l’équipe fanion, avec des joueurs soit plus jeunes , soit en retour de forme, ou tout simplement en complément de formation senior. A Strasbourg, cette saison , nos deux équipes, à ce jour , tiennent la tête de leur poule respective . Remarquons , notamment que la fédérale B , invaincue, possède aujourd’hui sept points d’avance sur le second . Remarquable résultat qui est dû à des joueurs qui « jouent le jeu » lorsqu’ils descendent de l’équipe 1, mais aussi à la progression régulière des plus jeunes qui jouaient encore en junior il y a deux à trois saisons . Cet ensemble d’homogénéité des résultats illustre la volonté du club d’amener ses équipes le plus loin possible dans la compétition . (Site officiel) -
Très large victoire cet après midi à Arras 3-47
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1 Strasbourg 33 2 Gennevilliers 30 3 Dijon 29 4 Suresnes 28 5 PUC 22 6 Arras 19 7 MLSGP 11 8 Compiègne 7 9 Antony 3 10 Clamart 2 -
Voilà qui est clair
Les concurrents directs rêvaient de voir le RCS trébucher à Arras. Les Strasbourgeois leur ont définitivement fait comprendre qu’ils sont les patrons de la poule.
Venus avec beaucoup d’ambition dans le Pas-de-Calais, les Strasbourgeois ont réalisé une très grosse performance.
«Après la défaite de Suresnes, on sait dit les choses»
Après une première mi-temps très engagée, l’excellent Frédéric Pujo récompensa son équipe par trois pénalités. Ce dernier réalisera d’ailleurs un 100 %. La réaction du champion, après sa partie en demi-teinte devant Clamart. Une semaine après le 10/10 de Romain Lombard, voici le 9/9 de Pujo. Heureux Strasbourgeois. Avec une telle paire de buteurs, ils peuvent voir venir. D’autant que le reste est à l’avenant.
William Wavrin trouva enfin la faille à la demi-heure de jeu. Menés 3-19 à la mi-temps, les locaux envoyèrent beaucoup de jeu pour revenir au score. Mais la défense des Alsaciens fut excellente, le manager sportif Julien Chastanet le soulignait: «C’est très encourageant, on n’a rien lâché, les joueurs ont fait preuve de beaucoup d’abnégation car Arras s’est envoyé jusqu’au bout. C’est une très grosse satisfaction, car nous également, on a été au bout de nous-même et on est même récompensé par ce dernier essai dans les arrêts de jeu».
Avant ce gros temps fort arrageois, les visiteurs imposèrent leur jeu et inscriront trois essais en un quart d’heure pour tuer le match et obtenir le bonus offensif. « Ce fut pratiquement un match parfait, mais il faut encore régler quelques points, notamment la discipline, avec trois cartons.
Objectif dix sur dix
Après la défaite de Suresnes, on sait dit les choses. Et je crois que cette défaite a été bénéfique pour nous. Maintenant on va recevoir deux fois pour finir l’année et l’objectif est un dix sur dix. Devant notre public, on se doit de prendre le bonus offensif », conclut le coach.
Premier de la poule, Julieu Chastanet estime: «Aujourd’hui on fait un gros coup. Car Arras est à domicile et était dans l’obligation de réagir après sa défaite à Dijon. De plus, cette équipe prétendante aux phases finales. Donc on se devait d’être au rendez-vous. On est sur la spirale offensive de la semaine dernière où l’on met 70 points à Clamart qui n’avait jamais pris plus de trente points. Et là on accomplit encore un gros match.»
Tout va pour le mieux au RC Strasbourg. L’entente Maisons-Laffitte/St-Germain/Poissy, de même que le PUC, qui débarqueront à Hautepierre dimanche prochain, puis le 14 décembre, savent à quoi s’attendre…
Source : http://www.dna.fr/sports/2014/11/24/voila-qui-est-clair -
Citation: «Après la défaite de Suresnes, on sait dit les choses»
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un massacre que dis je une tuerie
cette apres midi 92-0!!!! -
1 Strasbourg 38 2 Dijon 34 3 Gennevilliers 34 4 Suresnes 32 5 PUC 22 6 Arras 19 7 Compiègne 11 8 MLSGP 11 9 Antony 6 10 Clamart 2 -
La même en couleur
Deux semaines après le 72-3 infligé à Clamart, le RC Strasbourg a frappé plus fort encore devant une entente yvelinoise qui l’a pourtant gêné aux entournures pendant une mi-temps. Avant la démonstration.
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Thomas Sylvestre a tantôt attaqué le premier rideau, tantôt éjecté les ballons pour ses compères à la conclusion, à l’image de Justin Zinck (à droite), auteur du 8 e des… treize essais ! PHOTO DNA – Marc ROLLMANN
Le souci de la perfection. À la pause, les Strasbourgeois avaient beau mener 31-0, tous faisaient la grimace. « On leur a demandé s’ils prenaient du plaisir », témoigne le directeur sportif, Benjamin Schaub. La question appelait la réponse.
L’entraîneur des trois-quarts, Marc Gourrier, ne cachait pas son agacement. « Ils font n’importe quoi. Chacun fait son show. C’est quoi, ces tentatives de passes hasardeuses. Et autour du porteur de balle, il ne se passe rien. »
« Ils en étaient conscients, renchérit Benjamin Schaub. Ils ont eux-mêmes pointé ce qui n’allait pas. » Et ils ont rectifié le tir. Conséquence, les pauvres Franciliens en ont pris le double – 61 – en seconde période.
« Ils ont eux-mêmes pointé ce qui n’allait pas »
Jusque-là, ceux-ci avaient quasiment fait jeu égal en termes de possession et leur pressing défensif contraria bien des lancements strasbourgeois. Il était toutefois évident que chaque attaque pouvait faire mouche.
Comme sur le déboulé de Vinaya Wakanivuga ponctué d’une feinte de passe qui décalait Nicolas Kaiser dès la 2e ’, et sur la percée plein axe de Giorgi Tskitishvili qui aboutissait à l’aile pour Clément Costa, via la passe sautée de Romain Lombard (16e ’).
La classique pénaltouche à 5 m engendrant un groupé pénétrant conclu par le pilier droit géorgien validait avant la demi-heure un bonus offensif assuré peu après par l’autre pilier Johann Bourhis. Wakanivuga lui avait servi l’offrande après avoir franchi un rideau défensif ébréché dans l’axe par une offensive menée d’une aile à l’autre.
Dit comme ça, ça semble pas mal. Mais oui, des scories, il y en a eu, et pas qu’un peu. Sous l’effet de l’auto mise au point de la pause, celles-ci disparaissaient comme par enchantement. Dès lors, les Bleus pouvaient s’en donner à cœur joie face à des Yvelinois qui avaient déjà usé tout leur carburant.
211 points marqués en trois matches !
S’en suivaient la bagatelle de neuf essais, pour le plus grand plaisir des acteurs et des spectateurs. Sur le mode solo, à l’image de Louis Fourie (45e ’), Alexandre Bonjean et Léo Moussa, qui faisaient le boulot, respectivement pour Justin Zinck (55e ’) et William Wavrin (65e ’), ou encore de Wakanivuga (69e ’) et Frédéric Pujo (79e ’). En force, avec Émile Bronquard (49e ’) et Loth (63e ’) pour valider le labeur du pack. Sur jeu déployé avec Costa en bout de ligne (71e ’), ou enfin, en mode gag, Wakanivuga exploitant une cagade visiteuse (52e ’).
Au passage, les buteurs – 10/11 pour Lombard, 3/3 pour Pujo – ont poussé à l’extrême ce souci de la perfection évoqué d’emblée.
Celui qui anime les Strasbourgeois depuis leur unique défaite à Suresnes. Un coup de semonce terrible pour les adversaires des Bleus qui, depuis, ont inscrit 211 points en trois matches.
Celui qui devra animer les Strasbourgeois tout au long d’un cycle retour qui, sans cela, leur paraîtra interminable, d’ici aux phases finales au mois de mai, lorsque tous les compteurs seront remis à zéro.
Source : http://www.dna.fr/sports/2014/12/01/la-meme-en-couleur -
La trêve va leur faire du bien
Coup de mou cet aprè midi
Seulement une victoire 54-0 -
Coup de mou, c'est vite dit. Ils recevaient le 5ème et pas un des 3 derniers.
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Certainement une touche d'humour devant l'écrasante domination du RCS...
1 Strasbourg 43 2 Dijon 39 3 Gennevilliers 39 4 Suresnes 37 5 PUC 22 6 Arras 19 7 Compiègne 12 8 MLSGP 11 9 Antony 6 10 Clamart 2 -
Atomique RCS
Le RCS a encore été époustouflant, hier, pour écrabouiller le PUC. Plus que jamais leaders de leur championnat, les Strasbourgeois ont terminé l’année en beauté.
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Baude, Kapseu, Gaborit (de d à g) n’ont pas laissé le PUC s’exprimer, hier. Les Franciliens en ont été quittes pour une lourde défaite. Photo DNA – Cédric Joubert
Les Strasbourgeois ont été impressionnants pour leur dernière de l’année 2014. Puissants devant, virevoltant à l’arrière, décapants sur leurs temps forts, ils n’ont même pas laissé des miettes à des adversaires méritants mais complètement impuissants quand la mécanique s’est mise en route.
Les protégés du duo Staub-Chastanet ont bien fait les choses en installant tranquillement leur organisation, en faisant peser un danger diffus pour s’engouffrer dans une béance qui a pris la forme d’un carton jaune. L’arrière du PUC, Jayle, est bêtement parti contester un ballon impossible. Il a pris jaune et le RCS a franchement mis la marche avant. Au terme d’un mouvement au large d’école (21e ), puis d’une contre-attaque lancée par Naisilisi (26e ), Bonjean a conclu à l’aile et le PUC a été renvoyé à ses chères études.
D’autant que le 3e ligne centre Wavrin a continué à appuyer là où ça faisait mal. Ultradominateur en mêlée, le RCS a corsé l’addition sur une percée de mammouth de son n°8. L’affaire était dans le sac à la pause (28-0). Au grand plaisir d’un public nombreux pour la saison, Sylvestre et ses copains ne se sont pas contentés de gérer.
« Il se passe quelque chose »
Ils ont insisté et Wavrin a encore été à la conclusion de jolis mouvements quand Naisilisi et Kaiser ont nourri la marque d’essais de coquins, le PUC rentrant fanny à Paris.
À l’heure de basculer sur une nouvelle année, le bilan n’était pas loin d’être parfait. « Avec du public, c’était un plaisir aujourd’hui, a conclu Julien Chastanet. Le but était de faire craquer le PUC et on a su faire mouche presque sur chaque ballon d’attaque. Il y avait de l’opposition et on a pu s’appuyer sur notre groupe énorme pour travailler. Il se passe quelque chose au RCS, avec nos résultats, notre jeu et la nouvelle tribune. »
2015 s’annonce alléchant au regard des bases sur laquelle cette année s’est conclue.
Source : http://www.dna.fr/sports/2014/12/15/atomique-rcs -
C'est dommage quand même de faire des articles sans le score final :s
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Le score figurait dans l'en-tête que je n'ai pas copié.
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Au bout de l’effort
En revenant victorieux d'Antony, le RCS s’est sorti d’un piège et consolide un peu plus son avance en tête de la poule, une semaine avant le sommet devant Dijon.
L’interception de Romain Lombard, ici devant Clément Costa face à Arras au printemps dernier, a ouvert la voie du bonus offensif à quatre minutes de la fin. Photo archives DNA - cEDRIC Joubert
Un match abordable sur le papier. En se déplaçant chez le dernier de la poule, le leader strasbourgeois avait les faveurs des pronostics. Seulement, c’était un match de reprise, qui plus est sur un terrain extrêmement gras où l’herbe se faisait rare.
«On savait qu’ils allaient nous poser des problèmes»
Si on rappelle le précédent fâcheux de Drancy l’an dernier à pareille époque, le point de bonus offensif ramené d’Antony par le RCS est une véritable plus-value.
Lombard débloque
la situation
Surtout que les Bas-Rhinois ont peiné devant l’abnégation des locaux et qu’ils n’ont jamais réellement su se mettre à l’abri. Jusqu’à l’interception de Lombard, suivie d’une course de plus de 60 m qui a crucifié des Franciliens en train de courir après le bonus défensif (6-20, 77e ’).
Et à la suite d’un nouveau déboulé alsacien, de Degasquet le long de la ligne de touche, l’essai de Bonjean rendait l’après-midi encore plus belle (6-27, 78e ’).
Les hommes de Benjamin Schaub et Julien Chastanet n’ont donc pas disputé une partie de plaisir. Bousculés par l’agressivité et l’envie des locaux, les visiteurs ont dû attendre une mi-temps pour prendre l’ascendant sur leurs adversaires.
Ragaillardis par les entrées de Baude, Fourie, Sylvestre et Bonjean, ils ont démarré le second acte tambour battant et ont rapidement été récompensés grâce à Herbin, propulsé dans l’en-but par son pack après s’être imposés sur une touche aux 25 m (3-13, 44e ’).
Pluie de cartons
Auparavant, les Strasbourgeois avaient dû batailler ferme, n’ayant pas réussi à se détacher en première période (3-6). Sachant que le buteur local avait loupé deux pénalités durant ce premier acte (31e ’, 40e ’), contre un seul échec pour Lombard (4e ’).
Finalement, les Alsaciens ont su trouver la parade en reprenant leurs esprits après quarante premières minutes tendues où l’homme en noir a dû sortir deux cartons jaunes et deux cartons blancs pour calmer les esprits.
Le RCS s’est donc finalement extirpé du piège et cela lui permet de consolider un peu plus son avance en tête de la poule.
Une reprise satisfaisante pour Benjamin Schaub: «C’est toujours notre objectif de marquer des essais, quelles que soient les conditions climatiques. Un match de reprise n’est jamais facile, on savait qu’ils allaient nous poser des problèmes. On a pu s’appuyer sur une conquête efficace et on a bien maîtrisé nos transmissions. Heureusement, vu qu’on a été quelque peu déficient sur l’engagement, notamment en première période!» -
Toujours pas de score ?
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6-27.
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Face à l actuel 3e, Dijon, , victoire 28-3
L essentiel étant de finir 1er pour jouer à domicile les eventuels barrages d accession -
Ben c'est aller-retour donc assez peu d'intérêt, mais vu qu'ils poutrent tout le monde et même Dijon ancienne grosse équipe de fed 1, ça sent quand même plutôt bon pour le RCS.
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Se souvenir de Niort, la montée semblait aussi acquise la saison dernière.. Le RCS est armé pour remplir ses objectifs mais on attendra que ce soit officiel pour faire les comptes.
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Même s'il est hasardeux de faire des comparaisons entre les groupes, dont les niveaux peuvent être différents, on peut quand même noter que le RCS a le 2ème total de points, derrière Rouen.
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Large victoire contre Compiègne ce dimanche (61-5)
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Dans le match au sommet victoire à Genneviliers 6-7
C est à moins ,de quelques grosses contres performances ,la 1ere place assurée du groupe -
1 Strasbourg 61 2 Gennevilliers 54 3 Suresnes 50 4 Dijon 45 5 Arras 29 6 PUC 28 7 Compiègne 20 8 Clamart 18 9 MLSGP 13 10 Antony 5
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