Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Notre belle Alsace

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Flux RSS 1381 messages · 380.319 lectures · Premier message par meinauboys · Dernier message par sebi

  • Ton analyse des manifs est bonne, à tel point que je me suis permis de copier une grande partie et de la transmettre aux mouvements qui vont poursuivre la protestation (pas les 10 clampins qui mettent des cagoules pour porter une banderole noire, ceux un peu plus sérieux qui ont de véritables arguments).

    Le problème c'est que JAMAIS la classe politique alsacienne n'a joué la carte de la défense de l'Alsace. Dès le début, le leader pourtant de droite que représente Richert est parti faire sa réunion avec Masseret sans prévenir personne. S'en est suivi des débats en interne avec ceux qui voulaient suivre le chef, d'autres qui trouvaient cette décision complètement folle. L'Alsace-Lorraine a été une bonne idée du gouvernement car elle a foutu la merde entre nos propres élus. Si le gouvernement était immédiatement venu avec l'ALCA, on aurait certainement eu un mouvement unitaire. Je ne compte pas la manif du 11 octobre où tout le monde semblait soudé, car c'était de la poudre aux yeux. Tout le monde s'est mis en avant, et quelques jours après ils disparaissaient.

    Partant de là, si on enlève les ténors politiques alsaciens, que reste-t-il ? des seconds couteaux comme Stéphane Bourhis qui a organisé les manifs de juin mais qui a payé son parcours chaotique. Aucune personnalité ne s'est élevée du PEUPLE, aucun n'était prêt à assumer ça et quand bien même, la pression médiatique reste énorme pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude. Ceux qui avaient un peu de charisme et de relations médiatiques étaient soit en fin de carrière (un Buttner chef de file ça aurait eu de la gueule malgré tout ce qu'on dit sur 2013), soit mis de côtés car encartés et donc considérés par le "peuple" comme des jacobins (je pense à Christian Chaton). C'est aussi pour ça que je disais qu'heureusement que les manifs se finissaient samedi, car ça commence à prendre des tournures qui ne me plaisent pas avec un populisme excessif (on a même pas salué la présence des élus alors qu'il y en avait qui soutiennent depuis la première heure...).

    Donc on se retrouve en novembre sans leader, sans véritable organisation, et là des gens proposent des manifs sur les réseaux sociaux. Ils l'ont tout fait une fois mais pas deux. Les 4 dernières manifs c'était quelque chose de très spontané, comme dit sans l'organisation il est impossible de cadrer les banderoles et de préparer des discours forts. On en attendait rien, personnellement je les ai toutes faites en sachant pertinemment que ça ne changerait rien à Paris. Mais j'ai espéré un réveil de l'Alsace, une prise de conscience. Et surtout envoyer un début de signal envers nos instances dirigeantes dans le cas où elles auraient l'idée de s'attaquer à nos acquis.
  • mediasoc a écrit, le 18/12/2014 09:14 :
    D'ici 2016, on verra peut-être la réapparition de l'Alsace en tant que fusion du CG67 et du CG68, si les Haut-Rhinois le veulent bien, cette fois-ci (pas sûr non plus).



    Mouais, c'est oublier un peu vite que les bas-rhinois non plus n'en voulaient pas. :-B
    Les conditions pour que le référendum passe n'étaient réunies ni dans le Haut-Rhin, ni dans le Bas-Rhin...
    Mais on ne retient que ce qui nous arrange ;)
  • Le bas-rhin a voté oui. Le Norhin non. Par contre il est judicieux de préciser que les 2 départements se sont majoritairement abstenus, rendant la consultation nulle qu'elle qu'en soit le résultat.

    D'ailleurs assez cocasse de demander un référendum contre quelque chose, alors que les futurs consultés n'ont pas été foutu de voter quand on leur demander leurs avis. Bien que ce ne soit pas spécificité alsacienne, cette plaie qui consiste à n'exprimer son avis que pour s'opposer à quelque chose, est pour le moins inquiétante. Si les seules causes qui rassemblent sont négatives, que nous réserve l'avenir.
  • mediasoc a écrit, le 18/12/2014 09:14 :
    @noma6768 : "tout ce qui est excessif est insignifiant"
    Ce qui est terrible c'est l'utilisation de mots comme "viol" "mariage forcé" "annexion" (et son corrolaire "résistance") qui tiennent dans ce cas de l'exagération et doit probablement irriter voire choquer ceux qui ont véritablement subi ces drames.
    La démocratie parlementaire dite représentative a décidé une chose, qui a été maintes et maintes fois discutée. Ce n'est pas parfait certes, mais pour la plupart des lois c'est comme ça. Une fois le Conseil Constitutionnel passé (pas sûr), la loi s'appliquera et les nouvelles régions seront créées début 2016. Il peut encore se passer beaucoup de choses en un an, on verra bien. D'ici 2016, on verra peut-être la réapparition de l'Alsace en tant que fusion du CG67 et du CG68, si les Haut-Rhinois le veulent bien, cette fois-ci (pas sûr non plus).

    Comme cette réforme ne concerne pas l'identité des territoires et encore moins l'identité des individus qui la composent, je suppose que le regain démocratique de l'Alsace que l'on voit actuellement va remplir les cours d'Alsacien et que les parents transmettront encore plus et mieux le dialecte et l'histoire de l'Alsace aux nouvelles générations. Sans attendre tout de l'Etat.

    @axis j'ai presque envie de te prendre dans mes bras, j'approuve largement ce que tu dis dans ce message (jusqu'au prochain qui fera retomber le soufflé, ou pas). Mais le terreau sur lequel repose "le mouvement alsacien" n'est pas très bon il faut avouer...


    Quelle naïveté de ta part que de croire que les institutions et les pouvoirs qui leurs sont attibués n'a pas d'incidence sur la vie des gens : c'est pour une large part la politique légicentriste jacobine qui est à l'origine du déclin des divers particularismes dont l'Alsace est porteuse. Si tu t'en réjouis, libre à toi, mais respete au moins ceux qui souhaitent tout simplement l'enrayer et évite tes indignations politiquement correctes.
  • Un peu de lecture pour recentrer un peu le débat : Les quatre erreurs de la nouvelle carte des régions
  • C'est consternant qu'on traite les manifestants de fachos, alors que c'est plutôt l’action de l'État français qui, depuis 1918, n'a rien à envier à celle des fascistes italiens dans le Südtirol : http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_de_Tolomei
  • samh a écrit, le 18/12/2014 16:25 :
    Un peu de lecture pour recentrer un peu le débat : Les quatre erreurs de la nouvelle carte des régions


    Cet article est tout simplement excellent.
  • goeft a écrit, le 19/12/2014 10:59 :
    C'est consternant qu'on traite les manifestants de fachos, alors que c'est plutôt l’action de l'État français qui, depuis 1918, n'a rien à envier à celle des fascistes italiens dans le Südtirol : http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_de_Tolomei


    C'est exactement là, dans cet argumentaire là, que la mobilisation actuelle s'égare et se discrédite totalement. La francisation des habitudes linguistiques ou culturelles alsaciennes au siècle dernier - et dans une certaine mesure avant - est un fait. Tout comme l'est la germanisation des coeurs très majoritairement francophiles de l'Alsace de 1871. Mais vivez avec votre temps ! Il y a bien longtemps maintenant que l'Alsace est francophile et francophone, qu'elle accepte et, parfois, agit comme un moteur pour les valeurs de la République française. Nier cela, c'est nier un demi-siècle de dynamiques sociales et politiques.
  • Je ne vois pas où est le discrédit ou le déni.
    On peut très bien être francophone et francophile tout en étant critique envers la version officielle de l'histoire où la France a toujours le beau rôle.
  • goeft a écrit, le 19/12/2014 10:59 :
    C'est consternant qu'on traite les manifestants de fachos, alors que c'est plutôt l’action de l'État français qui, depuis 1918, n'a rien à envier à celle des fascistes italiens dans le Südtirol : http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_de_Tolomei


    de toute façon , vue que le propriétaire (Jean Michel RITTER) qui a déposé hier la marque "ELSASS FREI" à l'INPI est un démocrate dans la longue lignée des humanistes rhénans et résistant de la 1ère heure contre le fascisme franco-jacobin ... on ne pourras plus traiter les scandeurs de ce même slogan comme étant des fachos ... un amalgame douteux en moins pour les pro-annexions... cqfd :-B
  • Quand on pense que cette manifestation partait de la place de Bordeaux, à côté de la rue Jacques-Kablé... Lui n'était peut être pas un résistant contre le "fascisme franco-jacobin", mais au moins il dénonçait une véritable "annexion".

    ( "fascisme franco-jacobin"... Putain on lit de ces trucs par ici)

    Sinon, quel rapport entre le Süd Tirol devenu italien du fait du démantèlement du Grand Reich (on a le droit de les punir un peu, quand même ?) et l'Alsace française depuis 1648 ?

    Et ça fait pas trop mal au cul de rédiger des posts dans la langue de l'occupant-fasciste-colonial-stalino-jacobin ? (c'est une vraie question, hein, je me fais du souci)

    Et enfin : pourquoi se réveiller aujourd'hui ? L'absence de soutien des gouvernements de tous bords à l'affirmation de Strasbourg capitale de l'Europe n'est-elle pas 1000 fois plus préjudiciable à l'Alsace que la fusion ? MM. Meyer et Buttner ne méritent-ils pas le peloton d'exécution pour s'être opposés à ce qui aurait été un début d'émancipation vis-à-vis du pouvoir trotsko-crypto-fasco-jacobin ?

    Ou bien faut-il y chercher une opposition entre urbains et ruraux ? (c'est encore une question, hein)
  • wendling a écrit, le 19/12/2014 17:03 :


    de toute façon , vue que le propriétaire (Jean Michel RITTER) qui a déposé hier la marque "ELSASS FREI" à l'INPI est un démocrate dans la longue lignée des humanistes rhénans et résistant de la 1ère heure contre le fascisme franco-jacobin ... on ne pourras plus traiter les scandeurs de ce même slogan comme étant des fachos ... un amalgame douteux en moins pour les pro-annexions... cqfd :-B

    Il ne suffit pas d'avoir déposé une marque pour pouvoir en user et en abuser. L'antériorité de l'utilisation du slogan compte également beaucoup. Il ne peut donc se considérer comme l'unique propriétaire. N'importe quel vendeur de vêtements pourrait lui faire un procès (exemple).

    echouafni a écrit, le 19/12/2014 11:37 :
    samh a écrit, le 18/12/2014 16:25 :
    Un peu de lecture pour recentrer un peu le débat : Les quatre erreurs de la nouvelle carte des régions


    Cet article est tout simplement excellent.


    C'est donc possible d'avoir des propos intelligents et compréhensibles sans entrer dans l'identitaire ? Sacrebleu.
  • matteo a écrit, le 19/12/2014 18:31 :

    Sinon, quel rapport entre le Süd Tirol devenu italien du fait du démantèlement du Grand Reich (on a le droit de les punir un peu, quand même ?) et l'Alsace française depuis 1648 ?


    La politique d'assimilation à gros sabots menée dans les années 20 et 30.

    (Sinon l'empire austro-hongrois a été démantelé au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ce qui en toute logique a résulté en le rattachement d'une contrée germanique à une autre contrée germ..., euh non, à l'Italie :D)
  • mediasoc a écrit, le 19/12/2014 20:20 :

    I
    echouafni a écrit, le 19/12/2014 11:37 :
    samh a écrit, le 18/12/2014 16:25 :
    Un peu de lecture pour recentrer un peu le débat : Les quatre erreurs de la nouvelle carte des régions


    Cet article est tout simplement excellent.


    C'est donc possible d'avoir des propos intelligents et compréhensibles sans entrer dans l'identitaire ? Sacrebleu.



    Assez fasciné par ta mauvaise foi constante dans ce débat ou tu alors tu n'as pas lu l'article.

    Extrait : il dit on aurait pu "créer des régions identitaires, en partant du principe que des habitants partageant un sentiment d'appartenance définissent plus facilement des objectifs communs et acceptent plus volontiers des sacrifices pour y parvenir. On aurait alors pu revenir aux frontières historiques de la Bretagne et laisser l'Alsace seule".

    http://www.lexpress.fr/region/les-quatre-erreurs-de-la-nouvelle-carte-des-regions_1625799.html?xtmc=reforme_territoriale&xtcr=4#zfV96xyHq6vHGVUj.99
  • Citation:
    En Alsace, la peur de la perte du Droit Local d’Alsace-Moselle est la première préoccupation des manifestants. Et les propositions récentes du Grand Orient de France pour supprimer petit à petit le Concordat viennent attiser ces craintes. De la même façon, des voix se lèvent en Lorraine et en Champagne-Ardenne pour supprimer le droit local dans son ensemble, par jalousie.

    A çà j’ajoute que l’Alsace subit une profonde acculturation depuis toujours à cause du centralisme français. Son dialecte est maitrisé par moins de 3% des moins de 17 ans en raison d’une politique d’après guerre visant à le supprimer, alors qu’il était quasiment impossible de trouver un alsacien ne le comprenant pas il y a encore 20 ans.

    J’ajoute qu’un alsacien se fait traiter d’allemand, de boche voir de nazi par des français qui le voient toujours comme un étranger, tout au long de sa vie, ce qui a pour effet de forger son amour propre face à temps de racisme inter-français.

    Beaucoup d’alsaciens tiennent plus à leur région qu’à la France, même si leur amour pour la France n’est plus à démontrer. Etant donné qu’aucun français ne voudrait voir France disparaitre dans une fusion avec un pays voisin, on peut comprendre la mobilisation alsacienne.

    Oui le maintient de l’identité alsacienne a un rôle central dans cette opposition.

    (...) La région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne assemble de force, deux bassins économiques totalement distincts séparés par les Vosges et le peu d’axes de communications les franchissant et que c’est un non-sens économique, qui n’aidera pas l’Alsace à travailler avec ses partenaires économiques naturels que sont le Pays de Bade et la région Bâloise.

    Aujourd’hui la colère monte surtout à cause du passage en force. 9 alsaciens sur 10 opposés d’après des sondages en ligne, 96% des élus locaux, 1 mairie sur 4 a déposé une motion contre, 13 députés sur 15 ont défendu l’Alsace seule.

    Un passage en force, pour une réforme qui ne devrait pas rapporter grand-chose, de l’aveu de ses promoteurs.
    Citation:


    (+)
  • originalcrew a écrit, le 19/12/2014 15:07 :
    Nier cela, c'est nier un demi-siècle de dynamiques sociales et politiques.

    Dommage que tu n'aies pas été là pour le dire à Clemenceau en 1919 ;)
  • goeft a écrit, le 19/12/2014 21:02 :
    matteo a écrit, le 19/12/2014 18:31 :

    Sinon, quel rapport entre le Süd Tirol devenu italien du fait du démantèlement du Grand Reich (on a le droit de les punir un peu, quand même ?) et l'Alsace française depuis 1648 ?

    La politique d'assimilation à gros sabots menée dans les années 20 et 30.

    Pour plus de détails sur cette période et les circonstances ayant entouré le retour de l'Alsace à la France, tu peux visionner la vidéo ci-après (sauf si tu connais déjà les faits, dans ce cas désolé d'en rajouter une couche).
    Elle dure environ un quart d'heure et traite de ce qu'on oublie de nous apprendre à l'école.

  • je suis loin d'avoir l'érudition de certains par rapport à l'histoire de l'Alsace, me contentant de connaissances basiques sur le sujet. Mais j'ai du mal à comprendre pourquoi et comment un simple redécoupage administratif de la carte des régions de France mettrait en péril l'"identité alsacienne". Pourquoi et comment, par je ne sais quelle "opération du saint esprit", les traditions, coutumes ou meme le dialecte alsacien serait en quoi que ce soit menacés par cette réforme territoriale. Une seule chose compte à mes yeux, cette réforme sera t'elle oui ou non efficace ?
  • Je doute que La Défense de la langue régionale , le bilinguisme ,soient des priorités pour la nouvelle region , bien au contraire.
    Idem pour le racing et bien d autres sujets
  • Ca fait partie des quelques subventions distribuées qui vont devenir plus faibles non par la fusion mais surtout que les collectivités vont devoir se serrer la ceinture dans les prochaines années.

    Sinon aujourd'hui, les principales compétences du conseil régional sont :

    - les aides à l'économie et au développement ;
    - l'aménagement du territoire : élaboration du contrat de projet État-région avec l'État et du schéma régional d'aménagement et de développement du territoire (SRADT), schémas interrégionaux de littoral et de massif, gestion des fonds européens (en Alsace) ;
    - l'enseignement : construction et gestion des lycées et de leurs TOS ;
    - l'environnement : plan régional pour la qualité de l'air, parcs naturels régionaux et réserves naturelles régionales ;
    - l'organisation des transports ferroviaires régionaux ;
    - la formation professionnelle : élaboration de la politique et de la carte des formations professionnelles, concernant les lycées professionnels, polyvalents, et les centres de formation par apprentissage (CFA), gestion des crédits AFPA, professions sociales et paramédicales, apprentissage ;
    - les équipements structurants : certains ports et aéroports.
  • Comment peux tu décréter que les aides à l économie et au développement sont plus importants que le bilinguisme qui permet d ailleurs de trouver un travail?
  • @mediasoc ne décrète rien, c'est la loi qui dit cela. Il a cité les compétences obligatoires actuelles des conseils régionaux, il y en a d'autres facultatives comme la culture et c'est ici qu'entrent le bilinguisme et le dialecte.

    Le bilinguisme ou apprentissage de l'allemand pour faire clair, concernera là encore l'Alsace, la Moselle et un peu de Meurthe-et-Moselle. Il faudra faire entendre raison à nos amis champenois.
  • Inutile de déclamer la loi chers amis jacobins
    Je voulais simplement dire qu aujourd'hui la région Alsace privilégié certains axes comme le bilinguisme qui relèvent bien de la région
    Demain ils relèveront toujours de la région mais ce sera beaucoup plus difficile
    Or ce sujet majeur pour l'Alsace
  • Comme si on apprenait pas de langues étrangers ailleurs, et ça sert aussi pour l'emploi oui oui ! Mais il faut aussi avoir des compétences dans quelque chose, la langue ne suffit pas par elle-même. Par contre la formation professionnelle est vraiment entrain de crever et partout. Et ça c'est vraiment plus important.

    Sinon le Racing c'est environ 0,6 million d'euros de subvention sur un budget total de la région de 800 millions environ. Culture et sports représentent 23 millions d'euros en 2014, ils n'apparaissent même pas dans le budget primitif 2015. C'est généralement le domaine que l'on rabote en cas de difficulté budgétaires.
  • kitl a écrit, le 21/12/2014 22:58 :

    Le bilinguisme ou apprentissage de l'allemand pour faire clair, concernera là encore l'Alsace, la Moselle et un peu de Meurthe-et-Moselle. Il faudra faire entendre raison à nos amis champenois.


    En même temps, ce sont bien des Allemands qui ont fait connaître les vins de Champagne dans le monde entier et qui ont souvent fondé les plus grandes marques : Bollinger, Deutz, Krug, Piper-Heidsieck, Mumm, etc.
    De toute façon, tout le nord-est de la France est tourné vers l'Allemagne et le Luxembourg. Apprendre l'allemand devrait être une priorité dans les programmes scolaires, même en Champagne.
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