La SIG
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mediasocJe ne pense pas que le tirage au sort ait déjà été fait. En tout cas voici les autres résultats :
Coupe de France masculine – 8e de finale
Samedi 10 janvier
Denain (Pro B) – Nantes (Pro B) : 92-43
Provence Basket (Pro B) – Pau-Lacq Orthez (Pro A) : 71-64
Nancy (Pro A) – Nanterre (Pro A) : 93-79
Paris-Levallois (Pro A) – Strasbourg (Pro A) : 76-93
Suite des 8e de finale
Dimanche 11 janvier – 15h00
Poitiers (Pro B) – Limoges (Pro A) – En direct sur France 3 Limousin
Dimanche 11 janvier – 17h00
Le Portel (Pro B) – Le Havre (Pro A)
Mardi 13 janvier – 20h00
Chalon-sur-Saône (Pro A) – Lyon-Villeurbanne (Pro A)
Mardi 24 février – 20h00
Vichy (NM1) – Dijon (Pro A) -
Comme indiqué sur le site officiel, le Zénith Saint-Pétersbourg prochain adversaire de la SIG en EuroCoupe (ce mardi à 18h00 et en direct sur Eurosport) est redoutable sur son parquet. Un ratio de 81,5 % de victoires à domicile pour cet habitué de la scène européenne, avec 53 succès en 65 réceptions, ce qui est remarquable. Bref un gros test pour la SIG après sa victoire contre Kazan, un de plus en cette saison..
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La SIG peut avoir des regrets avec une défaite (après prolongation) en Russie, ce qui l'oblige à s'imposer contre Nymburk au Rhenus lors de la prochaine journée. En attendant il faudra négocier au mieux un déplacement compliqué en championnat lundi prochain, à Gravelines.
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La fille de Crawford Palmer vient de nous sortir une de ces prestations de fou dans The Voice !!! :o
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Grosse pression demain soir, toutes les équipes du top 4 s'étant imposées ce week-end, ce qui signifie que la SIG est 3e à l'heure actuelle avec une seule victoire d'avance sur Dijon.
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Deux visages pour un joli succès (Gravelines - SIG : 62-76)
Avec 28 points d’avance en fin de première mi-temps (14-42), la SIG s’était mise rapidement à l’abri en pratiquant un basket de très haut niveau des deux côtés du terrain. Mais la suite sera plus inquiétante. Heureusement, les Strasbourgeois repoussaient les Nordistes, revenus à huit points, dans une fin de match contrôlée, rejoignant Nanterre et Limoges en tête, offrant par la même occasion le dernier ticket pour la Leaders Cup au Mans : 62-76. Contre Nymburk, mercredi (20h00),il faudra être plus constant.
Dès le début, Gravelines ne donnait pas l’impression de jouer une « finale » pour une place à la Leaders Cup. Sans rythme, étouffés par la défense alsacienne, le BCM était rapidement dans les cordes : 0-8 (3e’). Leloup, Diot et Campbell avaient porté l’équipe et seul Traoré était hors du coup. Les espaces laissés à Roberts et Edwards donnaient des proportions plus acceptables au score (7-13, 5e’) mais Jérémy Leloup était chaud brûlant : 12 points à 5 sur 5, 15 d’évaluation en moins de dix minutes. Monschau avait multiplié les changements. En vain. Après une seule période, le match semblait plié : 9-21…
1 à 64 à l’évaluation à la 19e minute
La SIG était sur un nuage, en place défensivement, plutôt euphorique en attaque, à l’image de Bangaly Fofana (une interception suivie d’un dunk, un alley-oop sur un caviar de Dobbins), construisant sur les interceptions (6 en première mi-temps). Monschau grillait même deux temps morts sans que rien ne change : 11-34 (16e’). Collet, lui, faisait confiance à son second cinq (Lacombe, Dobbins, Toupane, Dragićević et Fofana), remarquable. Une bévue de Toupane offrait trois lancers à Albicy en fin de possession mais Dragićević était performant derrière l’arc : 14-42 (19e’). A l’évaluation, c’était un « massacre » : 1 à 64…
Gravelines prend feu et grappille
Comme à Nanterre, comme à Paris en Coupe, la SIG revint des vestiaires en ayant oublié ce qu’elle sait faire de mieux : défendre dur et se passer le ballon. Secoués dans les vestiaires, les Gravelinois mirent davantage d’intensité et surtout, se mirent à prendre feu derrière l’arc. Oublié le misérable 1 sur 13 de la première période. Albicy ouvrait le feu, Harris (4 sur 4) lui emboîtait le pas et l’écart se mit à fondre : 34-52 puis 43-57 à la fin d’une période au cours de laquelle Gravelines n’avait marqué qu’une fois à deux points, mais… sept fois à plus de 6,75m, quelques fois en toute fin de possession !
Dobbins sauve la mise
Le début du dernier quart sera tout aussi poussif. Près de six minutes avant le premier panier… Les lancers-francs avaient permis de survivre mais Gravelines s’était rapproché à huit points : 51-59 (34e’). C’est Tony Dobbins (11 points avec un joli 3 sur 3 derrière l’arc et 19 d’évaluation) qui maintiendra le BCM à distance pour une fin de match plus tranquille : 54-68 et finalement 62-76.
La SIG devra vite retrouver son collectif (5 passes seulement en deuxième mi-temps après les 13 de la première) et plus de constance pour battre Nymburk mercredi. En espérant que la cheville de Traoré, sorti à quelques minutes de la fin, tienne bon.
(Jean-Claude Frey)
Classement
1 Limoges 31 2 Nanterre 31 3 Strasbourg 31 4 Dijon 29 5 Nancy 27 6 Paris-Levallois 26 7 Le Mans 26 8 Le Havre 26 9 Gravelines-Dunkerque 25 10 Chalon/Saône 25 11 Rouen 25 12 Lyon-Villeurbanne 25 13 Pau-Lacq-Orthez 25 14 Châlons-Reims 24 15 Cholet 24 16 Orléans 21 17 Boulogne-sur-Mer 19 18 Bourg-en-Bresse 19
Les réactions
Vincent Collet (dans les vestiaires à ses joueurs) : « Le match le plus important est dans deux jours. Ce soir, on a été bons en première mi-temps, mais faudra être plus constant en défense même s’ils ont mis des shoots incroyables. On a trop ralenti le jeu en attaque mais heureusement nous avons retrouvé notre passing-game en fin de match ».
Antoine Diot (au micro de Sport+) : « La première mi-temps était très bonne. On se relâche malheureusement en deuxième mi-temps et Gravelines a joué sur l’euphorie. Il faudra corriger ça à l’avenir ».
Tony Dobbins (au micro de Sport+) : « Je suis très content de cette victoire. C’était difficile parce qu’on pensait déjà un peu au match très important contre Nymburk mercredi. C’était bien qu’on soit à dix ce soir… »
Andrew Albicy (au micro de Sport+) : « Notre première mi-temps a été abominable. Quand on a mis de l’intensité, on est revenu. Pas évident d’intégrer trois nouveaux joueurs. Strasbourg a joué à fond pendant 40 minutes… »
Espoirs (Gravelines - SIG : 58-64)
Formidable exploit des espoirs chez le champion en titre. La SIG a ainsi conforté sa première place et compte deux victoires d’avance sur Nanterre, trois sur son adversaire du jour. Serrée jusqu’au début du dernier quart temps (44-44), la partie a basculé dans le final en faveur d’une équipe à la défense irréprochable qui a trouvé en Labanca (24pts, 20 d’évaluation), Bah et Laporal (10 rebonds chacun) des leaders de choix.
(Site officiel) -
Howard toujours présent, Dragicevic confirme son retour en forme, Diot sur une autre planète.. Prochain rdv face au Havre (d'un certain Ricardo) ce samedi au Rhenus.
La SIG met les pendules à l’heure…
Portée par un nouveau sponsor horloger « européen », Pierre Lannier, portée par un trio exceptionnel (Diot, Howard et… Dragićević) à 70 points et 92 d’évaluation, la SIG a fait le job contre Nymburk : 87-80. Il faudra confirmer la semaine prochaine à Prague avant de chercher la qualification dans une campagne de Russie excitante.
La SIG savait avant le coup d’envoi que l’énorme victoire de Kazan sur Saint-Pétersbourg (103-67) l’obligeait à vaincre Nymburk pour voir les 8es de finale de l’Eurocup. Et elle mit d’entrée beaucoup d’ardeur à défendre, et d’application en attaque. Privée de Traoré, il fallait bien que tous les autres morceaux de puzzle s’emboîtent. Diot donnait le ton d’entrée avec deux réussites dans le périmètre (4-0) mais malgré les trois rebonds de Fofana, la suite sera plus serrée. Hruban, Burns et Washington prouvaient en effet que les Tchèques n’avaient pas fait le déplacement pour du beurre : 4-8 (3e’).
Un Diot de gala
Peu à peu, toutefois, le jeu collectif de la SIG se mit en place, la défense restant la base solide de la performance. Leloup redonnait l’avantage (11-10), Diot (12pts, 14 d’évaluation dans le premier quart) s’était mis en mode MVP et les changements que Collet avaient opéré n’avaient pas fait baissé l’intensité. De 21-14, Benda ramenait à 21-18 avant les « primés » de Diot et Hruban.
Un Dragićević hors normes !
Le début de la seconde période sera marqué par la 3e faute de Jiri Welsch (12e’) qui compliquait la tâche de Kemzura. La SIG montait en régime et Tadija Dragićević prenait feu ! Critiqué, sur la sellette en décembre, le Serbe offrait un quart temps de gala : 17pts à 6 sur 7 dont 4 sur 5 à trois poit, 20 d’évaluation en 10 minutes pour un total respectif de 20 et 23 ! Le public du Rhenus se frottait les yeux, Collet se frottait les mains… L’écart avait forcément enflé (37-27, 17e’, 46-32 et 49-36 à la pause) malgré les efforts de Darius Washington.
Nymburk se rapproche…
On aurait pu croire alors à une promenade de santé, illustrée par l’écart conséquent à l’évaluation (69 à 32). D’autant que la SIG maintenait l’écart malgré le 3 sur 3 de Burns derrière l’arc : 57-44 (23e’) et même 65-49 (27e’) avec un Antoine Diot à 20 points à 100%. Howard, toujours aussi vaillant (12pts, 11 rbds, 22 d’éval à ce moment) semait la panique chez les Tchèques mais ils ne cédaient pas. Welsch, Washington et Simmons, s’appuyant sur une défense match-up, infligeaient même un 2-13 qui pouvait compliquer la fin de match : 68-62 (30e’).
Mais c’est en défense une fois encore, que la SIG ira chercher sa victoire. Durcissement indispensable, pour dérouler en attaque sur les épaules d’un Diot exceptionnel (30pts, 36 d’évaluation) et d’un Howard (18pts, 11rbds, 32 d’éval) vaillant guerrier. L’écart était remonté à 13 points (79-66, 34e’ et 86-73, 38e’) mais jusqu’au bout, Nymburk enverra le message qu’au retour, mercredi prochain, rien ne sera facile. Mais chaque chose en son temps…
(Jean-Claude Frey)
Les réactions
Vincent Collet : « Je voudrais d’abord rétablir une vérité : la présence de Nymburk au Last32 n’est pas une surprise. Ils y sont depuis plusieurs saisons et étaient en quart de finale il y a deux ans. Et il ne fallait pas faire un petit match pour gagner. Il y avait sans doute des imperfections mais l’adresse, les passes, nous ont permis de gagner. Hormis ses balles perdues, Antoine a été exceptionnel mais notre secteur intérieur a été décisif aussi. On ne peut pas passer sous silence la première mi-temps de Tadija et la domination de Matt au rebond. Malgré l’absence d’Ali, nous avons tenu dans la raquette. La match-up dans le 3e quart temps nous a posé quelques problèmes et Darius Washington a régulièrement trouvé le chemin du panier. Le match a été compliqué jusqu’au bout. L’idéal serait de gagner à Nymburk mais il faudrait aussi que Kazan s’impose à Saint-Pétersbourg. Cela nous donnerait deux chances de nous qualifier ».
Tadija Dragićević : « C’était un match ouvert. J’ai bien débuté et j’en ai profité. Collectivement, on les a bien arrêté en première mi-temps mais la deuxième a été plus difficile. Globalement c’était un bon match même si l’écart final est faible. Nous aurions mérité de l’emporter plus nettement. Je sais que j’ai n’ai pas joué comme j’aurais dû dans la première partie de saison et j’espère vraiment que c’est un nouveau départ. Mais l’équipe gagnait. J’ai joué dans beaucoup de clubs mais je n’ai jamais vu une telle alchimie, des coéquipiers qui vous encouragent autant. L’Eurocup est une compétition étrange. On aurait dû gagner à Saint-Pétersbourg et en perdant ce soir on pouvait être éliminés… »
Kestutis Kezmura : « Félicitations à Strasbourg. Nous n’avons pas mal joué mais ce n’était pas assez. On connaissait leur talent mais nous n’avons pas été capables de faire les stops quand il fallait. Nous avons eu des problèmes pour contenir Dragićević en première mi-temps et Diot a fait un match énorme. Nous sommes revenus en deuxième mi-temps en changeant de défense. Nous devons encore y croire même avec trois défaites. Nous nous sommes promis dans les vestiaires de jouer tous les matches à fond pour gagner le plus de matches possibles. Le sport est l’endroit où les miracles arrivent le plus souvent dans la vie… »
(Site officiel) -
Bonne prestations d'ensemble de la SIG, même si le scoring fut alimenté par trois joueurs seulement. Il faudra gagner à Prague, ce qui risque d'être coton.
On connaît le programme de la Leader's Cup, qui se tiendra dans un mois dans un hangar près de Disneyland. La SIG se retrouve dans une partie de tableau plutôt favorable !
Quarts de finale (20 février)
Nanterre - Le Mans (13h)
Limoges - Nancy (15h30)
Dijon - Paris-Levallois (18h00)
Strasbourg - Le Havre (20h30)
Demi-finales (21 février)
Les vainqueurs des deux premiers et des deux derniers quarts s'affrontent
Finale (22 février) -
MERCI kitl! Je pensais que le match était à Nymburk, du coup je peux espérer aller voir la SIG à Prague mercredi (si je suis de retour à temps de mon déplacement).
Youhou :-) -
demain le rhénus sera presque complet! c'est très bien , par contre je ne comprend pas que contre des équipes Européennes on arrive pas à le remplir plus , il faut aussi se bouger les jours de semaines les vrais supporters viennent tout les jours de la semaine ! De plus les matchs ne sont pas très tard ( 20h)!
Alors contre St Petersboug , le rhénus rempli et en feu!! -
Devant une belle affluence la SIG a remporté face au Havre son 15e succès (63-54) en 18 journées, avec au passage 20 points de Diot et des sifflets d'une partie du public pour Ricardo, son départ du club à coups de fausses excuses.. n'ayant visiblement pas été digéré. Bref avant son déplacement à Prague la SIG prend seule la tête de la Pro A, en attendant le choc entre Limoges et Nanterre.
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toine67 a écrit, le 23/01/2015 20:55 : demain le rhénus sera presque complet! c'est très bien , par contre je ne comprend pas que contre des équipes Européennes on arrive pas à le remplir plus , il faut aussi se bouger les jours de semaines les vrais supporters viennent tout les jours de la semaine ! De plus les matchs ne sont pas très tard ( 20h)!
Alors contre St Petersboug , le rhénus rempli et en feu!!
D'ailleurs j'ai trouveé le niveau d'hier beaucoup plus faible que mercredi, donc j'ai vraiment du mal à comprendre les gens qui ne viennent pas en Eurocup.
La seule raison est économique. Couple + enfant cela te fait 100euros pour 2matchs. Le club DOIT être plus agressif sur les tarifs en semaine. -
Le classement suite à la démonstration (+ 18) de Nanterre à Limoges, avec l'écart qui se creuse entre le Top 4 et ses poursuivants:
1 Nanterre 33 2 Strasbourg 33 3 Limoges 32 4 Dijon 31 5 Le Mans 28 6 Nancy 28 7 Paris-Levallois 27 8 Le Havre 27 9 Lyon-Villeurbanne 27 10 Pau-Lacq-Orthez 27 11 Gravelines-Dunkerque 25 (-1) 12 Chalon/Saône 25 (-1) 13 Rouen 26 14 Châlons-Reims 25 15 Cholet 25 16 Orléans 23 17 Boulogne-sur-Mer 21 18 Bourg-en-Bresse 20 -
g0lddiggaa a écrit, le 25/01/2015 17:00 :
D'ailleurs j'ai trouveé le niveau d'hier beaucoup plus faible que mercredi, donc j'ai vraiment du mal à comprendre les gens qui ne viennent pas en Eurocup.
La seule raison est économique. Couple + enfant cela te fait 100euros pour 2matchs. Le club DOIT être plus agressif sur les tarifs en semaine.
Effectivement, la première mi-temps avait l'air d'un match d'entraînement...que la SIG s'est rendu compliqué en perdant un four de ballon et en multipliant les mauvais choix (Campbell n'avait pas été aussi mauvais depuis des lustres).
Sympa le retour de Ricardo, conspué hier soir. Dans quelques années, le souvenir de ses nombreuses saisons à la SIG passera devant la frustration d'avoir été planté en pleine saison l'an dernier... Mais il fallait exorciser cela, même si c'est con, comme lorsque Pagis fut pris pour cible lors du match du centenaire à la Meinau.
Quant à la tarification à la SIG, le tout est de savoir filouter...
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Pour le match de Coupe d'Europe, chaque abonné pouvait acheter deux billets à 1 euro, donc pas mal de monde potentiellement pouvait aller au Rhénus pour une bouchée de pain. L'argument financier ne tient pas. En semaine, cela fait chier les gens de sortir pour voir un match d'une coupe d'Europe secondaire et interminable... d'autant plus que la majorité des matchs sont à la télé gratos..
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Rcsforever c +20 pour Nanterre a Limoges et non +18 . Score 70-90
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Le score final c'est 72-90.
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C'est bien 72-90 le score final mais ça n'est pas le plus important, l'info principale étant que le champion de France a pris une raclée sur son parquet contre une équipe de Nanterre qui n'en finit plus de surprendre, saison après saison. Concernant l'affluence le grand public choisit ses matchs en général, préfère se déplacer à la salle le week-end, se réserve pour les rencontres décisives, comme ce fut le cas durant les derniers PO avec des billets qui s'arrachaient. Lorsque les rencontres à élimination directe arriveront, nul doute que la SIG jouera alors à 6. Imaginons une seconde le Racing jouer aussi souvent à domicile, au bout d'un moment même les plus passionnés feraient des choix, ce qui ne serait pas pour autant un signe d'indifférence pour leur club...
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kitl a écrit, le 25/01/2015 21:11 : g0lddiggaa a écrit, le 25/01/2015 17:00 :
Quant à la tarification à la SIG, le tout est de savoir filouter...
Je me disais bien que ça ne pouvait pas être possible que je sois le seul :). Quand l'affluence est > 5000 cela devient difficile.
En tout cas il faudra du monde contre St Petersbourg, car cela s'annoncera difficile.
Sinon effectivement Campbell est un peu plus irrégulier cette saison, le poids des années doit commencer à se faire sentir au niveau de la vision du jeu. Même si à Gravelines il nous avait mis sur de bons rails.
Sinon quand je vois le match de Gélabale hier contre Nanterre, je suis bien content qu'on ne l'ai pas gardé. -
rcsforever a écrit, le 25/01/2015 23:54 : Concernant l'affluence le grand public choisit ses matchs en général, préfère se déplacer à la salle le week-end, se réserve pour les rencontres décisives, comme ce fut le cas durant les derniers PO avec des billets qui s'arrachaient. Lorsque les rencontres à élimination directe arriveront, nul doute que la SIG jouera alors à 6. Imaginons une seconde le Racing jouer aussi souvent à domicile, au bout d'un moment même les plus passionnés feraient des choix, ce qui ne serait pas pour autant un signe d'indifférence pour leur club...
Complètement d'accord avec toi, même si je trouve vraiment dommage qu'il n'y ait pas plus d'engouement sur les matchs d'Eurocup, du moins sur les grosses rencontres comme le match contre Kazan. Comme tout le monde le sait la progression du club passera par des bonnes prestations sur la scène européenne notamment en vue de la ligue semi-fermée qui va sûrement voir le jour dans quelques années, d'où l'importance de ces rencontres.
Concernant l'ambiance, je rêve de bien mieux au Rhénus, quand je vois l'ambiance qui règne dans certaines salles d'Europe, c'est à couper le souffle !
Je veux dire que, même si ce que fait le kop de La Wantzenau est correct, il y a vraiment moyen de mettre le feu dans une salle comme ça. Pareil pour le hockey à l'Étoile Noire, où 200 supporters spinaliens avaient fait le déplacement à l'Iceberg et avaient mis une belle ambiance. Je trouve qu'on est beaucoup trop passifs dans ces clubs, alors que nous avons de belles équipes, surtout la SIG qui commence à se faire un nom en Europe ! 
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Si vous attendez que l'ambiance monte au Rhénus, le mieux ce n'est pas d'attendre que ça se passe. Le Kop de la Wantzenau a bien commencé un jour...
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C'est facile à dire ça...
Après c'est juste une remarque, je me doute bien que c'est extrêmement difficile et long d'installer ça.
Le Kop de la Wantzenau est bien installé désormais et je sais que certaines personnes, notamment supporters du Racing, ont tenté de mettre en place quelque chose de plus actif, de type Ultra, et ça a fait un bide complet. Je crois qu'ils sont pas vraiment prêts au club. C'est dommage, j'ai l'impression que les gens qui vont au Rhénus sont en train de regarder le match à la télé, se manifestant que rarement en cas de fin de match serré. Encore pire à l'Iceberg. -
Il faudrait qu'une bande de potes se motive pour essayer de monter un truc... Parce que c'est pas la peine d'être 400 pour mettre l'ambiance. Une dizaine de personnes un peu motivées pourraient réussir à bien chauffer tout ça...
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Vincent COLLET ne restera que s il sent une vraie adhésion.
Il le dit en petit comité.
La ville est prête a faire un effort important sur les infrastructures reste le public notamment en coupe d Europe et l ambiance -
Complètement, surtout que c'est plus facile de faire du bruit dans une salle. Après tout mouvement commence par quelques personnes et grandit par la suite, il faut le temps de s'installer sur la durée, et c'est surement le plus dur.
Et c'est vrai que Collet et les joueurs regrettent souvent que les gradins soient vides et qu'il n'y ait pas de réel engouement, en dépit des belles performance de l'équipe.
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