Rugby Club de Strasbourg
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rcsforeverPas de blague cette fois, c'est l'heure de prouver que Niort appartient au passé.. -
Quelque chose ne tourne pas rond dans ces divisions inférieures du rugby : Strasbourg écrase la Fédérale 2 mais son précédent passage à l'étage du dessus a tourné au fiasco...
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L'écart de niveau d'une division à l'autre est grand.
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«Avec détermination!»
Le président Christian Loth a volontiers usé d’un langage guerrier avant le match aller. Malgré dix points d’avance, il n’est pas question de desserrer l’étreinte au moment de valider la montée. Le traumatisme de l’an passé est encore vivace.
Président volontariste, Christian Loth avait très vite rebondi l’an passé, pour annoncer quelques semaines plus tard l’ambition de monter coûte que coûte en Fédérale 1 en 2015, et même de décrocher le titre de champion de France. Néanmoins, le cruel échec face à Niort, au même stade et pour un point, n’est pas digéré.
«La situation est quand même plus favorable»
Il n’est pas question pour autant que ce souvenir inhibe les hommes dimanche devant Saint-Jean d’Angély, plus ou moins dans les mêmes conditions. Plutôt moins en l’occurrence, puisque les Strasbourgeois, vainqueur 22-12 en Charente-Maritime, disposent cette fois d’une marge de dix points, contre deux voici un an.
À l’inverse, ce souvenir devra exacerber la rage de vaincre, celle qui permettra d’effacer définitivement le triste épisode des mémoires. Pour cette raison, le président s’est sciemment lancé dans un discours guerrier dimanche dernier. Avec réussite. Car c’est bien dans les phases de combat que ses hommes ont fait pencher la balance. «Le match aller, on l’a gagné dans les rucks. Je crois que les Angériens n’avaient pas l’habitude d’être confrontés à un tel répondant. Tout le monde ou presque, y compris Rouen, y a perdu ( seul Niort s’y est imposé 22-17, NDLR ).»
Aujourd’hui, Christian Loth maintient la pression. «Il n’y a qu’un mot d’ordre: détermination! On ne va tout de même pas nous faire la même musique que l’année dernière. Bon, la situation est quand même plus favorable. Mais si les gars ont beaucoup à gagner, ils ont encore plus à perdre.»
Bonheur total?
À savoir tout l’acquis d’une saison menée tambour battant, sur tous les tableaux d’ailleurs. Car dimanche soir, Christian Loth pourrait être un président doublement heureux. Le bonheur serait total avec la montée en Fédérale 1 et la qualification de l’équipe B pour la finale du championnat de France de Fédérale B. Ce qui, à vrai dire, serait en phase avec le discours présidentiel.
«C’est un peu ce qu’on avait imaginé. Que les deux équipes soient compétitives, y compris la saison prochaine. On ne peut disposer d’une grosse équipe A sans grosse équipe B. À l’image de Nevers qui vient de devenir champion de France de Nationale B ( et va – enfin – disputer la demi-finale de Fédérale 1, montée en Pro D2 en jeu ). Chez nous, c’est bien le cas, et en plus, on a affaire à une bande copains. Ils sont plus que motivés, ils ont la rage. Tout cela fait partie d’un ensemble.» Reste à répondre à toutes ces attentes dimanche.
(DNA) -
Le président et entraîneurs l avaient annoncé
Une montée sinon rien
40-3 au retour
Retour en Federale 1 acté
Bravo
Et maintenant le titre de champion de Federale 2 à aller chercher -
Félicitations ! Maintenant l'objectif à plus ou moins long terme devra être la montée en Pro D2, championnat d'un bon niveau dans l'hexagone, histoire d'exister aux yeux du grand public. Mais chaque chose en son temps et encore une fois bravo pour ce retour en F1.
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Enfin la ProD2, c'est une autre musique.
Que le RCS commence par se stabiliser durablement en F1, ce qui n'a jamais été le cas. Il faut de sacrés moyens pour viser la ProD2 en ensuite réussir à s'y maintenir.
Il me semble que Lille se casse les dents depuis au moins 2 ou 3 ans pour monter. Et Massy va retrouver l'an prochain la F1, et peut-être croiser le chemin du RCS... -
Malheureusement la F1 ne fait pas rêver le grand public et si on veut permettre au rugby de gagner en popularité dans notre région, à l'avenir il faudra se donner les moyens de franchir un cap supplémentaire. Perso j'ai toujours rêvé de voir un grand club de rugby à Stras, comme le Racing en foot (qui retrouvera tôt ou tard sa vraie place) et la SIG en basket. Il ne s'agit pas de brûler les étapes mais il ne faut pas avoir peur d'être ambitieux.
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C'est d'autant plus possible que c'est le désert dans l'Est niveau rugby, y a vraiment la place
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En 1/4 de finale victoire 20-16 contre Rouen
L équipe B est déjà champonnne grâce à sa victoire en finale 20-6
En route pour un doublé -
En finale
Victoire contre Vienne 29 - 21 -
Tu veux dire qu'ils sont qualifiés pour la finale, c'est ça ?
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La Dépéche.
C'est le jour de gloire pour Lavaur. En l'espace d'un an, c'est tout le club qui a redressé la barre. Premiers de cordée, les joueurs de l'équipe réserve ont disputé la finale de leur catégorie face à ... Strasbourg. Malgré la défaite, la saison aura été belle. Maintenant, c'est au tour de l'équipe fanion de tenter de remporter un bout de bois et de venger ses coéquipiers. La montagne est haute contre une équipe semi-professionnelle qui compte une demi-douzaine d'éléments nourris à la mamelle de la D2 ou du Top 14 et qui a affiché d'entrée de jeu ses ambitions : la montée en Fédérale 1 et le titre de champion.
Résultat : 17 victoires en 18 matches (une seule défaite à Suresnes) et un goal-average assez hallucinant de + 601. Des chiffres qui en disent long sur la qualité des Alsaciens ... et sur la faiblesse de la Poule 1 où les équipes de la région parisienne et du nord ont joué le rôle de faire-valoir, Arras ayant même déclaré forfait lors de l'avant-dernière journée. D'ailleurs, les phases finales ont été plus compliquées pour les Strasbourgeois avec un quart accroché face à Rouen (20-16) et une demie pas évidente face à Vienne (27-21), qui a eu l'outrecuidance de marquer trois essais à l'équipe la plus hermétique de Fédérale 2.
À l'inverse, Lavaur gagne en maîtrise et en certitude à chaque sortie. Depuis la montée, acquise face à Villefranche-de-Lauragais, Nîmes et Anglet n'ont pas résisté à l'enthousiasme de la bande à Ladauge. Et les terrains secs arrangent bien les affaires des Vauréens, qui adorent écarter le jeu comme en témoignent les quatre banderilles plantées en demi-finale dimanche dernier à Nogaro. C'est dire que les Alsaciens, réputés pour leur puissance et leur maîtrise de l'alignement, vont sans doute tenter de concentrer les Vauréens dans l'axe en leur imposant une épreuve de force.
C'est comme ça que Gaillac, Villefranche et Decazeville sont repartis avec la feuille de match, mais c'était au cœur de l'hiver, à une période où les Atché, Delbos, Dalla-Riva ou Jalabert attendaient leur heure.
Cette fois, elle a sonné. Et les Vauréens espèrent bien ne pas imiter Graulhet, battu l'an dernier en finale par Soyaux-Angoulême.
Eric Théron -
Un très grand bravo
Après l équipe b
La 1 championne de France de federale2
Très large victoire 50-23 en finale contre Lavaur -
Mieux que la SIG, bravo !!!
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Bravo à eux !
Ça fait du bien de voir au moins un club de Strasbourg qui monte ET qui gagne son championnat... -
C'est mieux que la SIG que d'être champion de 4ème division ? Ah ben je m'incline alors...
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C'est marrant de lire l'article posté par @dudu après l'écrasante victoire strasbourgeoise ! Si tu peux poster l'article de demain matin :D
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En tout cas, mieux que le Racing qui n'avait pas réussit à être champion de France de CFA même si on s'en fou.
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La cerise sur la gâteau même si ça reste le 4e échelon national. Pour la comparaison avec la SIG et l'élite du basket français, on fera comme si on avait rien vu....
(Fédérale 2) Champions de France !
En diffilcuté en début de partie, le RC Strasbourg s’est mis en ordre de marche à la demi-heure pour marcher sur Lavaur et devenir champion de France de Fédérale 2 avec un panache énorme (50-23).
Irréel. Il s’est passé un truc absolument irréel à Givors. 300 à 400 Strasbourgeois en furie ont poussé leurs favoris, qui n’avaient pas besoin de ça, vers le titre. Du jamais vu. Même pas à Hautepierre. La moitié de la tribune était bleue, a chanté à gorge déployée et a tapé dans les mains. Du pur bonheur.
Face à la roublardise vauréenne, Strasbourg a souffert pendant une bonne vingtaine de minutes, en mêlée notamment. Le RCS ne parvenait pas à lancer le jeu. Si, une seule fois, et il a fait mouche, par l’inévitable Zambelli, lancé à l’opposé, en position d’ailier. Trois pénalités permettaient néanmoins à Lavaur de faire la course en tête (7-9, 27e’).
Et puis, la machine strasbourgeoise s’est mise en marche, commençant par occuper le terrain pour permettre à Pujo de passer une, puis deux pénalités bien placées. Puis, Zambelli s’est échappé à nouveau, résistant à deux placages, après avoir cette fois été mis sur orbite par Wakanivuga. Avec une dernière pénalité de Pujo et même un carton pour le 2e ligne vauréen Escarnot, Strasbourg basculait nettement en tête (23-9).
Après une nouvelle pénalité de Pujo, le RCS s’est fait surprendre par une pénalité rapidement jouée à la main d’Alexandre Albouy (26-16, 55e’).
Mais deux essais en deux minutes, de Gaborit puis de Zambelli, encore (!) douchaient définitivement les espoirs vauréens.
Enormes en défense, faisant mal sur tous les placages, irrésistibles balle en main, les Strasbourgeois s’imposent 50-23. Cinq essais à deux avec le dernier de Naisilisili, opportuniste à l’ultime seconde: y’a pas eu photo!
Après leur parcours exceptionnel, leur titre est amplement mérité.
Il intervient 25 ans après le titre de Fédérale 3… et un mois après celui de Fédérale B remporté par l’équipe B face au même Lavaur.
http://www.dna.fr/sports/2015/06/21/champions-de-france -
un-turco a écrit, le 21/06/2015 23:11 : C'est marrant de lire l'article posté par @dudu après l'écrasante victoire strasbourgeoise ! Si tu peux poster l'article de demain matin :D
LA DEPECHE
Comme Graulhet l'an dernier face à Soyaux-Angoulême, Lavaur a buté sur la dernière marche. Le «David» vauréen a fait ce qu'il a pu face au «Goliath» Strasbourgeois, emmené par quelques «golgoths» tels Wakanivuga, ancien du LOU, Pujo ou Zambelli, anciens joueurs de haut niveau qui donnent déjà des allures de Fédérale 1 à cette équipe alsacienne.
Les Tarnais ont tenu une demi-heure, monopolisant le ballon pour un maigre profit : 9-7. Et, en sept minutes, le Racing a plié la rencontre en marquant 18 points, dont deux essais de Zambelli, lancé une première fois sur un exploit personnel de l'ailier fidjien Naisilisili puis sur un contre de 70 mètres à la sortie d'une mêlée dans ses 22 mètres.
La suite n'a été qu'un long calvaire entre une équipe vauréenne totalement impuissante et des Alsaciens transcendés par leur réussite qui ont alourdi le score dans des proportions rares pour une finale.
Pour le dernier match de sa carrière, Alexandre Albouy aura inscrit un essai mais il imaginait sans doute une tout autre fin.
Strasbourg 50 - Lavaur 23
MT 23-9 : ; arbitre M. Thomas Charabas (Côte Basque Landes)
Vainqueurs : 5 E Zambelli (15, 37, 59), Gaborit (57), Naisilisili (80 +2); 5 T Pujo (15, 37, 59, 57), Naisilisili (80 +2); 5 P Pujo (33, 35, 40 + 2, 49, 69) Vaincus : 2 E Albouy (55), Gauthier (74); 2 T, 3 P (12, 22, 29) Delbos
Evolution du score : 30-3, 7-3, 7-6, 7-9, 10-9, 13-9, 20-9, 23-9/26-9, 26-16, 33-16, 40-16, 43-16, 43-23, 50-23
LAVAUR : Atche; Lasme, Sirven, Marion, Delbos (0) Jalabert (m) Dalla Riva; Peguillan, Marsoni, Galinier; Gauthier, Escarnot; Bertrand, Galy, Segur (cap).
Sont entrés en jeu : Fourtine, Giraudeau, Rey, Sanda, Albouy, Gratton, Roos
Exclu. tempo. : Escarnot (40 +2, brutalité; carton jaune)
STRASBOURG : Lombard; Naisilisili, Kaiser, Wakanivuga, Zambelli; (0) Pujo, (m) Sylvestre (cap); Herbin, Wavrin, Loth; Allard, Baude; Bronquard, Gaborit, Kapseu. Sont entrés en jeu : Tyumenev, Tskitishvili, Schoonbee, Tisane, Darleux, Bonjean, Bertro.
Exclu. tempo. : Allard (42, brutalité; carton jaune), Wakanivuga (75, brutalité; carton jaune)
E.T.
LAVAUR RUGBY XV - AMATEURS -
matteo a écrit, le 21/06/2015 22:46 : C'est mieux que la SIG que d'être champion de 4ème division ? Ah ben je m'incline alors...
Bien sûr que non !
Je voulais juste dire par là que ça faisait du bien de voir un club strasbourgeois qui finissait bien sa saison : montée + victoire en championnat, alors que le Racing a échoué sur le fil pour la montée en L2, et que la SIG a échoué (pour la 3e fois consécutive...) à gagner le championnat.
Evidemment qu'on ne peut pas comparer la SIG, cador de Pro A, et le RCS version Rugby. Ma formulation était maladroite, mais la victoire du RCS est venue juste après la grosse désillusion de la SIG la veille, et ça fait du bien de voir un des clubs strasbourgeois finir en beauté sa fin de saison (même en 4e division), voilà tout... -
Je pense qu'il répondait au message précédent...
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Sacrés et surtout très longs déplacements en perspective
Dax
Anglet
Soyaux- Angoulême
Cognac
Romans
Rodez
Valence d Agen
Castanet
Tyrosse
Début de championnat le 6 septembre face à Dax
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