Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Rugby Club de Strasbourg

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Flux RSS 504 messages · 146.604 lectures · Premier message par racingrugby · Dernier message par androsz

  • A noter que le RCS aura une nouvelle tribune.
    Elle sera en "dure".
  • Oui, on espère qu'elle va durer longtemps. Et si en plus elle peut être en dur, ça sera encore mieux ! ;)
  • :D

    Le duel avec Rouen bat toujours son plein, le duo risque de ne pas être rejoint.
  • Victoire apparemment difficile hier à domicile contre Compiègne 32-26, après la défaite à Drancy.
    Tranquillement calé en 2ème position; 6 points de retard sur Rouen, mais 9 d'avance sur Beaune.
  • Il faudra terminer dans les 4 premiers pour disputer les plays-offs d'accession en Fédéral 1
  • La vidéo et l'analyse de StrasTV du match de ce week-end.


    Rugby : RC Strasbourg 32 - 26 Compiègne par www.StrasTv.com
  • chrisneudorf a écrit, le 2014-01-20 13:50:53 :
    Il faudra terminer dans les 4 premiers pour disputer les plays-offs d'accession en Fédéral 1


    Vu le début de saison, ça devrait être une formalité.
    Mais mieux on est classé, plus on a de chances d'aller plus loin. La 1ère place risque d'être très compliquée à récupérer, donc assurons la 2ème.
  • Victoire d'un tout petit point hier à Auxerre, pourtant lanterne rouge : 21-22.
    Cela permet de revenir à 3 points de Rouen, qui a perdu à Beaune, 3ème.

    La prime au courage

    Menés 15-3 à la pause et contre le vent, les Strasbourgeois ont arraché la victoire sur le fil grâce à un coeur, une solidarité et une abnégation de tous les instants.

    Cette victoire en terres hostiles pourrait faire date. Elle est de celles qui vous forge un groupe. Elle pèse surtout de tout son poids, obtenue face à d'opiniâtres Auxerrois qui ont confirmé leurs gros progrès. Cela ne leur a pas suffi face au courage des Strasbourgeois, qui n'ont rien lâché, jusqu'à remporter le morceau dans les arrêts de jeu sur un essai de pénalité consécutif à une répétition de fautes icaunaises.

    Les Auxerrois réalisaient l'entame de match parfaite avec un premier quart d'heure de belle facture et une belle démonstration de leurs avants. À la 12e ', le paquet bourguignon faisait reculer son homologue sur une quinzaine de mètres et le pilier Lomsadze aplatissait. Strasbourg réduisait le score (8-3) mais Auxerre enfonçait le clou vers la demi-heure de jeu, en s'appuyant toujours sur les mêmes principes, la même marque de fabrique auxerroise avec les avants jouant un rôle majeur. Ces derniers pressaient les visiteurs devant leur ligne et Cédric Massot filait à l'essai à la 28e ' (15-3).

    Avec le vent dans le dos, Strasbourg entamait une belle course-poursuite après la pause. Le buteur Romain Lombard inscrivait 12 points sur pénalité. À la 65e ', le RCS était revenu à 18-15.

    Une lutte acharnée marquait le dernier quart d'heure. Champeau apportait 3 points supplémentaires aux locaux (21-15, 77e ').

    Dès la remise en jeu, Strasbourg s'installait dans le camp icaunais. Les Auxerrois pliaient. Ils allaient rompre. Julien Chastanet, le manager général strasbourgeois, raconte: «On obtient une pénalité. L'arbitre nous dit qu'on a le temps de taper en touche. On enchaîne les mauls. Les fautes se succèdent. Sur la quatrième, alors qu'on aplatit, l'arbitre accorde l'essai de pénalité». La transformation de Lombard est synonyme d'une victoire acquise de haute lutte.

    Source : dna.fr
  • Battus sur le fil

    http://s-www.dna.fr/images/F47E1DAF-DB7A-406C-89B2-86AA9BF0C129/D...


    Thomas Sylvestre et le RC Strasbourg passent à deux doigts de la bonne affaire. Photo Le Bien Public

    Le RC Strasbourg, pénalisé en deuxième période, n'a pas réussi à se défaire de Beaune s'inclinant dans les derniers instants du match (16-14).

    Les Beaunois n'ont pas mis un genou à terre face à Strasbourg, le dauphin de la poule. Pourtant, il s'en est fallu de très peu.

    Opposés à une formation strasbourgeoise très compacte, les Bourguignons ont longtemps été crispés puis refoulés par une défense féroce avant de l'emporter dans la dernière ligne droite grâce à l'artilleur maison, Artero (16-14).

    Après Rouen, Strasbourg chute à Jean-Guiral. Désormais, Beaune est assuré de finir sur la troisième marche du podium tout en gardant le secret espoir d'améliorer cette belle performance. Les strasbourgeois sont prévenus.

    Mais tout n'a pas été simple pour les locaux. Lombard ouvre d'ailleurs les hostilités (0-3, 8e ). Beaune se montre emprunté jusqu'à cette pénalité vite jouée de Rivier pour Malek. François écarte, Iordanashvili tente le passage en force. Le flanker est stoppé tout près de l'en-but. Takouachet en embuscade ramasse et se faufile derrière la ligne (7-3, 14e ).

    Cet essai ne décrispe pas un CSB sous l'éteignoir. Un groupé pénétrant strasbourgeois emporte tout sur 25 mètres. Lombard récompense l'effort (7-6, 21e ). François voit son dégagement contré, les hommes de Sarandao ne sont pas dans leur assiette (24e ). « On n'y arrive pas. On ne se fait pas deux passes de suite », clame le coach local sur son banc.

    L'inévitable Lombard remet les siens devant au tableau d'affichage, l'horizon se bouche. Si Artero passe une pénalité juste avant la pause, l'inquiétude perdure.La reprise confirme ce constat.

    Ananin déchire le rideau adverse puis transmet à la fusée Naisilisili qui magnifiquement un deux contre un avant d'envoyer Zambelli derrière la ligne (9-14, 45e ). Beaune va dès lors pousser et pousser encore à l'image de ces scènes surréalistes à 15 contre 13 de la 51e à la 60e minute. Mais Strasbourg s'arc-boute et repousse tout.

    Artero enquille tout de même après ce temps fort. C'est un minimum syndical (13-14, 62e ). Lachaux est repris de justesse (64e ), une penaltouche est mal assurée (70e ), les Alsaciens pensent tenir l'affaire.

    Lachaux, encore, est propulsé en touche puis soulevé du sol. Traoré écope de dix minutes de pénitence (75e ). Schaub et Chastanet fulminent et crient au vol.

    À 15 contre 14, Tavita en remet une louche, le CSB veut sa victoire. Il puise au plus profond, Strasbourg commet l'irréparable devant ses perches. Artero délivre alors le gros millier de supporters malgré un dernier coup de boutoir visiteur. Strasbourg ramène un point de bonus défensif, mais l'amertume voire la colère est au rendez-vous.

    Source : dna.fr
  • Rugby Fédérale 2
    Exploit du RC Strasbourg
    Le RC Strasbourg est allé s'imposer chez le leader Rouen (16-24). Il chipe le fauteuil aux Normands et s'empare de la tête de la poule à deux journées de la fin. Un exploit qui marque les esprits
    UN GRAND COUP DE CHAPEAU
  • Bon pour le moral avant le début des choses sérieuses.
  • Strasbourg reprend la tête

    Strasbourg s'est emparé de la 1re place de sa poule 1en s'imposant ce dimanche à Rouen (16-24), qui lui avait chipé le fauteuil de leader en novembre grâce à sa victoire en Alsace (11-20).

    « Ce n'était peut-être pas le très grand match de rugby mais il a été très stratégique, soulignait hier le manager strasbourgeois Julien Chastanet après la victoire du Rugby club de Strasbourg à Rouen (16-24), qu'il a du coup doublé au classement. On avait étudié tous les lancements de jeu de Rouen. C'est la raison pour laquelle on a gagné beaucoup de touches. Toute la semaine, le mot d'ordre, c'était victoire. Pour la montée, cette victoire ne va pas forcément compter mais elle va avoir de l'importance dans les coeurs. On va fêter ça chaudement. Il n'y a pas de vision vers les phases finales, on voulait seulement prendre notre revanche. Je pense que les deux équipes seront proches de la Fédérale 1 en fin de saison. »
    Les Alsaciens se sont jetés à corps perdu dans le match, acculant les Seinomarins dans leurs 22mètres pendant neuf minutes, sans vraiment concrétiser, à part sur une pénalité de Lombard (0-3, 9e).
    Rouen réagissait vivement et prenait l'avantage dès la 11e minute sur un essai de l'ailier Richardot, qui profitait du rebond sur une chandelle de Clark pour résister aux Alsaciens (7-3, 11e).
    Deux pénalités de Lombard (18e et 21e) permettaient à Strasbourg de reprendre la main (7-9), l'espace d'une minute seulement, puisque sur la remise en jeu, Cozens passait un drop de 30 m (10-9, 22e) mais manquait l'occasion de corser l'addition sur pénalité (37e).
    Dans la foulée, Lombard interceptait le ballon dans ses 22 mètres, s'élançait vers le camp rouennais mais, faute de vitesse et de soutien, était obligé de chercher la touche. En difficulté sur chaque mêlée, Strasbourg concédait une pénalité que Cozens passait sourciller (13-9, 40e+1).
    A la reprise, aidés par le vent, les Bas-Rhinois s'en allaient planter un essai, assez comparable à celui de Rouen, Zinck récupérant son coup de pied à suivre à la faveur d'un rebond (13-14, 42e). Beaucoup plus compact en défense, Strasbourg résistait sans trop de mal aux assauts désordonnés des Normands et prenait un peu de marge par Lombard (13-17, 59e).
    Cozens lui répondait de 40 mètres (16-17, 61e). Strasbourg s'échappait définitivement sur un nouveau contre, Zambelli concluant une folle chevauchée qu'Ellyatt ne pouvait entraver (16-24, 71e). Cozens avait par deux fois l'occasion d'assurer le point de bonus défensif pour Rouen (79e et 80e+2). En vain. Strasbourg pouvait célébrer dans l'allégresse sa prise de pouvoir avec un point d'avance.

    Rouen - Strasbourg 24-16. Stade Mermoz. Mi-temps : 9-13. Arbitre : M. Brayelle (Ile de France). Spectateurs : 1200.

    Les points : 1 essai Richardot (11e), 1 drop Cozens (22e), 1 transformation (11e), 2 pénalités Cozens (40e+1, 61e) pour le Stade Rouennais ; 2 essais Zinck (42e), Zambelli (71e), 1 transformation Lombard (71e), 4 pénalités Lombard (9e, 18e, 21e, 57e) pour le Rugby club Strasbourg.

    STADE ROUENNAIS : Clark – Labitte, Mercer, Carne, Richardot – Cozens, Desportes – Kamoto, Vincent, Ellyatt – Lointier, Tudori – Clamy-Edroux, Becquet, Meunier. Remplaçants : R. Guéry, Bouly, Demange, Sy, Danil, Drut, Hordila. Entraîneurs : Richard Hill et Grégoric Bouly.

    STRASBOURG : Ananin, - Darleux, Zambelli, Duvernois, Zinck – Lombard, Sylvestre – Hebda, Traoré, Loth – Schoonbee, Tisane – Plantier, Bronquard, Kepseu. Remplaçants : Tskitishvili, Legon, Bauer, Matt, Moussa Lucas, Bonjean, Naisilisili. Entraîneurs : Julien Chastanet et Benjamin Schaub.

    Réserve : Stade Rouennais - Strasbourg 29-26


    Source : lalsace.fr
  • Nouvelle victoire à domicile pour l'avant-dernier match de la saison régulière.

    Le RCS s'offre un récital

    Leader de la poule 1 depuis son succès du week-end précédent chez son prédécesseur Rouen (24-16), Strasbourg a dynamité Arras hier à Hautepierre, en inscrivant la bagatelle de six essais (45-14).



    Un feu d'artifice

    http://s-www.dna.fr/images/C887B311-1298-4670-B6F0-518629726D7E/D...

    Stéphane Bauer, un de ceux qui montent, qui montent, à l'abordage avec le soutien de Clément Costa. Solide et complet, ce RCS. Photo DNA – Cédric Joubert

    Le RC Strasbourg a décroché avec la manière – six essais – le succès bonifié qu'il lui fallait. Une victoire le dimanche de Pâques à Gennevilliers lui permettrait de boucler la saison régulière en tête.


    Ils ont le talent. Ils ont aussi l'indispensable esprit de groupe, celui qui permet de voyager loin. Au coeur d'un après-midi de gala devant des tribunes et une main courante abondamment garnies, l'édifice strasbourgeois a vacillé l'espace de six minutes.

    Les Strasbourgeois se sont regroupés et ont fait bloc

    La faute à un essai gag. Rafaël Matt venait de redonner le bonus offensif aux siens à l'heure de jeu (31-7). Sur l'engagement, trop long, Romain Lombard a voulu attendre que le ballon sorte doucement de l'aire de jeu. Sauf que l'Arrageois Lagnel accourut pour aplatir au nez et à la barbe de l'ouvreur bleu.

    Immédiatement, les Strasbourgeois se sont regroupés et ont fait bloc, sur le mode « on oublie et on efface collectivement la boulette individuelle ». Une boulette que l'on pardonnera d'autant plus que Lombard a signé par ailleurs un 100 % au pied, transformant notamment les six essais du jour, quelle que soit la position.

    On en était alors à quatre essais à deux. Six minutes plus tard, le pack obtenait la pénalité qui permettait à Lombard, là encore très précis, de taper en touche à 5 m de la ligne.

    Une prise de balle et un groupé pénétrant plus loin, l'emblématique Émile Bronquard, poussé par le siens, remettait le bonus en poche. Zambelli le solidifiait peu après sur un point de fixation provoqué par Tisané et un renversement de jeu de Sylvestre.

    « On y a mis la manière »

    À 45-14, les Strasbourgeois pouvaient se laisser fêter par un public enthousiaste, alléché par l'essai initial d'un Traoré toujours aussi en jambes, puis conforté par celui de Legon, plus qu'une alternative au talon, déjà sur une pénaltouche à 5 m, et séduit par l'envolée du Fidjien Naisilisili, qui ne cesse de monter ne puissance, juste avant la pause.

    Entre temps, la défense a démontré toute sa fiabilité face à des Arrageois qui, comme annoncé, ont joué tous leurs coups à fond.

    « On a répondu présent en défense, on a été patient, on y a mis la manière, a apprécié le manager sportif Benjamin Schaub. En cours de match, quand ça ne va pas devant, les arrières prennent le relais et vice-versa. » Plus ça va, plus le RCS semble calibré pour les phases finales.
  • https://fbcdn-sphotos-f-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/t1.0-9/179...
  • Victoire (13-27) pour le RCS qui affrontera Nantes en 1/16 des PO, l'objectif étant d'atteindre au minimum les 1/4 pour pouvoir monter en F1 !
  • Et Angoulême n'apparait dans le tableau qu'en 1/4, soit à un moment où la montée serait acquise.

    Mais avant, il faudra se débarasser de Nantes et du vainqueur de Beaune-Niort.
  • Match aller ce dimanche à Nantes, en attendant le retour à Hautepierre avec entrée gratuite pour tous ceux qui s'habilleront aux couleurs du club ! Allez Strasbourg, le rugby a sa place en Alsace !


    http://www.rugbyclubstrasbourg.com/sites/default/files/styles/act...
  • Avec le niveau de l'équipe cette saison, on peut s'adjuger déjà à l'aller une victoire chez les Nantais, histoire d'aborder le match retour avec le moins de pression possible.
  • Victoire du RCS à Nantes (6-15) (+)
  • La moitié du chemin

    Cela ne s'est pas fait sans mal. Durant la première demi-heure, les Nantais étaient à l'attaque. Mais cette domination s'avérait stérile face à une défense alsacienne bien en place.

    Seule une tentative de drop de Massicot (16e ) était à mettre à l'actif des Nantais. Les visiteurs avaient de la peine à se dégager et subissaient.

    C'est à l'approche de la pause que les Strasbourgeois étaient les plus actifs. Mais sans concrétiser au tableau d'affichage, puisque Lombard ratait deux pénalités (34e et 39e ) et un drop.

    C'est sur la dernière action de ce premier acte que les coéquipiers de Duvernois trouvaient la faille sur une action menée par Zambelli, qui perforait la défense. Ce dernier décalait le capitaine Sylvestre, lequel donnait le ballon à Naisilisli pour l'essai que transformait Lombard (0-7, 40e ).

    À la reprise les Nantais poussaient encore leurs hôtes dans leurs retranchements, et, sur deux pénalités successives de Massicot, recollaient à la marque (6-7, 45e ).

    « Nous avons réussi à faire la différence grâce à un groupe solidaire »

    Le jeu s'équilibrait. Nantes se retrouvait à quatorze suite à un carton blanc de D. Kerdrain (54e ). Dans les minutes qui suivaient, Strasbourg obtenait une pénalité transformée par Zambelli (56e ).

    Malgré un banc plus restreint, les locaux faisaient de la résistance et se montraient entreprenants, mais en vain. La différence se faisait seulement en fin de match avec des joueurs plus frais dans les rangs bas-rhinois.

    Le RCS creusait l'écart suite à une touche à cinq mètres trop longue des Nantais qui permettait à Bonjean de fixer les deux derniers défenseurs pour aplatir en terre promise (6-15, 73e ). Coup de grâce cruel, mais les Strasbourgeois ont mérité leur succès.

    « Nous avons eu un début de match poussif, analysait Benjamin Schaub après la rencontre. Nous avons su être patients en défense et l'essai inscrit en fin de première période nous a fait du bien. »

    « Je tiens à féliciter cette équipe nantaise qui a été vaillante et qui nous a posé beaucoup de problèmes dans le jeu et en conquête, poursuit le directeur sportif et entraîneur des avants. Nous avons réussi à faire la différence grâce à un groupe solidaire. Maintenant, nous avons fait la moitié du job. Il faudra le finir dans une semaine à domicile. »

    Source : dna.fr
  • Victoire 24-3 contre Nantes
    Qualification pour les 1/4
    Normalement contre Niort
    En cas de qualification c est le retour en Federale 1
  • Qualification seulement "que" pour les 1/8ème pour le moment !
    Très bon match, défense impeccable, seconde mi-temps prolifique, première mi-temps sous des trombes d'eau et sous la tempête (des branches d'arbre situé derrière les tribunes se sont "déposés" sur les spectateurs ainsi que sur la pelouse), du monde et une belle qualif à la clé !
  • chrisneudorf a écrit, le 2014-05-11 17:46:13 :
    Normalement contre Niort
    En cas de qualification c est le retour en Federale 1


    Ce sera bien Niort l'adversaire du RCS, rdv le 18 mai !
  • La force d'un groupe


    Le RC Strasbourg jouera la montée en Fédérale 2 les deux prochains week-ends face à Niort. Comme lors de sa victoire à l'aller à Nantes (6-15), il a construit sa victoire hier en se montrant très solide, intransigeant en défense, et en faisant parler sa profondeur de banc.


    Le rugby moderne se joue à 22 et l'on y gagne à 22. Par deux fois en huit jours, Strasbourg a dominé à l'usure un Stade nantais qui a tout l'avenir devant lui, à défaut du présent.

    « Ce banc, on se l'est construit »

    Demander à Kapseu, Bronquard, Tisané, Loth, Lombard, Duvernois et Zinck, soit autant de titulaires potentiels – pour ne pas dire autant de cadres – de patienter sur le banc, n'avait rien d'innocent. Le staff savait pertinemment qu'en injectant un tel sang neuf entre la mi-temps et l'heure de jeu, il porterait, si besoin était, le coup fatal aux Nantais.

    Besoin il n'y a pas eu, encore que. Convaincu à juste titre que le score était trop lourd, le manager nantais Pierric Moison s'est estimé satisfait de sa troupe en devenir, avec ses quatre juniors et huit moins de 23 ans sur le pré. « On a vu un vrai match. On a posé des problèmes aux Strasbourgeois, on les a poussés, non pas à prendre peur, mais sûrement à douter quelque peu. »

    C'est aller peut-être un peu loin. N'empêche, à la pause (3-3), rien n'était acquis. Pire, à peu de chose près, avec notamment le dessous de la barre depuis les 50m, le buteur visiteur Massicot, par ailleurs efficace dans son jeu au pied, aurait pu passer quatre pénalités dans les 42 premières minutes. Une seule a fait mouche et cela a forcément eu son importance.

    Un modèle de pression défensive

    Pendant ce temps, les siens ont effectivement bougé les Strasbourgeois offensivement et ne leur ont guère laissé d'espace en défense. Comme à Nantes, le modèle de pression défensive exercé par les Bleus n'a toutefois jamais permis aux visiteurs de rêver du moindre essai. « Un seul franchissement », notera le manager général Julien Chastanet.

    Une météo exécrable s'en est mêlée avec une petite demi-heure de bonne tempête, déversant des seaux... et des branches tombés des peupliers voisins sur la pelouse.

    Vu l'affluence, cela provoqua une joyeuse cohue autour de la main courante, mais retarda surtout la mainmise alsacienne, malgré une bonne alternance de picks and go, de mauls pénétrants, de percées dans l'axe signées Naisilisi et de jeu au large.

    À la 14e ', le centre Fidjien cadrait parfaitement pour Costa, repris in extremis sur son aile. À la demi-heure, le coup de pied par-dessus dans les 22m de Bonjean semblait au poil pour Zambelli ou Naisilisili, mais l'arrière Maury veillait au grain et faisait preuve d'une belle dextérité.

    Malgré l'intensité des débats, il fallut donc se contenter de la réponse de Zambelli (32e ') à Massicot (4e ') avant la pause.

    Plutôt contre le vent et avant l'entrée du fameux sang neuf face à un adversaire dépourvu d'un banc digne de ce nom, l'essentiel était fait. Et Benjamin Schaub, le manager sportif, de préciser : « Ce banc, on se l'est construit tout au long de la saison, en intégrant des jeunes qui ont fait leur preuve, comme Bieth, Baude, Ananin ou Bauer. »

    Le doublé de Bonjean

    Dans un premier temps, Kapseu, Duvernois et Lombard, ce dernier décalant Bonjean de l'ouverture au centre, venaient éclairer les débats. Lombard s'empressa de concrétiser une suprématie locale se faisant de plus en plus jour, en passant trois pénalités, dont l'une de 55m. À la 65e '(12-3), face à des Nantais commençant à tomber comme des mouches, la messe était dite.

    Pour parfaire le scénario et permettre à tout le monde, public et joueurs de jubiler comme il se doit, Alex Bonjean porta deux estocades – interception et contre de 80m ; interception à 10m de la ligne rejointe à coups de dribbles de footballeur – dans les arrêts de jeu.

    Ne restait plus qu'à communier avec un public au diapason au sein duquel les jeunes du club ont assuré une belle ambiance, et à se projeter sur ce 8e de finale décisif pour la montée mais qui s'avérera d'un tout autre tonneau face à de gaillards Niortais.

    Source : dna.fr
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