Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le football suisse

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Flux RSS 768 messages · 55.900 lectures · Premier message par stephynx · Dernier message par chrisneudorf

  • La FIFA laisse les fédérations faire le sale boulot.

    Bravo Blatter ! =D
  • Génial :x

    Le rêve du FC Bâle qui s'écroulerait à cause de Billy Ketkeophomphone =P~

    Et après, on les vire de l'ONU :)-
  • Je comprend pas trop la #-o pourquoi Bâle risque d'être disqualifié? Il se passe quoi avec la fédération Suisse? Qu'est ce que Sion a à voir avec Bâle?
  • La saga continue

    Impliqué dans un imbroglio juridique suite à son exclusion de la Ligue Europa pour non respect d'une interdiction de recrutement, le FC Sion a envoyé mardi à sa Fédération (ASF) un courrier dans lequel elle l'invite à «recourir contre la décision de la Fifa», qui la menace de suspension, estimant que «cet ultimatum ne respecte ni les statuts et règlements Fifa ni la loi suisse». Le Comité exécutif de la Fédération internationale de football (Fifa), réuni à la mi-décembre à Tokyo, a ordonné à l'ASF de faire appliquer d'ici le 13 janvier 2012 ses décisions sous peine d'être suspendue. L'ASF, qui avait un temps envisagé de contester la menace de suspension de la Fifa devant le TAS, semble avoir changé d'avis après avoir rencontré le 22 décembre, à huis clos, des représentants de la Fifa. Un revirement qui ne plaide pas en faveur du FC Sion qui devrait se voir opposer une nouvelle fin de non recevoir.

    L'Equipe.fr
  • fer-de-lance a écrit, le 2011-12-17 12:56:00 :
    La FIFA laisse les fédérations faire le sale boulot.

    Bravo Blatter ! =D


    En même temps, c'est un peu le fonctionnement de toutes les organisations de ce type. :-B
  • Sion saisit un tribunal de Zurich

    Le FC Sion, exclu de la Ligue Europa pour n'avoir pas respecté une interdiction de recrutement, a indiqué jeudi sur son site internet avoir déposé une plainte pénale auprès du Ministère public zurichois contre les membres du Comité exécutif de la FIFA. Des menaces de la Fédération internationale d'exclure la Fédération suisse de football (ASF) et ses clubs, si celle-ci ne faisait pas appliquer ses décisions d'ici au 13 janvier 2012, sont à l'origine de cette plainte.

    Le club estime que la FIFA exerce «un chantage inacceptable» en voulant obliger l'ASF à agir contre ses propres règlements et à l'encontre du droit suisse. L'ASF, qui avait un temps envisagé de contester la menace de suspension de la FIFA devant le TAS, a changé d'avis récemment. Cette nouvelle démarche du club suisse, qui ne semble pas avoir le soutien de sa fédération, a une nouvelle fois peu de chances d'aboutir.

    lequipe.fr
  • 36 points de pénalité pour Sion

    La Fédération suisse de football (ASF) a annoncé dans un communiqué avoir retiré 36 points au FC Sion, coupable de n'avoir pas respecté une interdiction de recrutement, conformément à la demande de la Fédération internationale (Fifa). Cette décision, prise à l'unanimité, est définitive et ne peut être contestée que devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). L'ASF précise que cette mesure sanctionne le comportement «illégal, antistatutaire et antiréglementaire» du FC Sion qui se retrouve dès lors dernier du Championnat avec un total de -5 points.

    (L'équipe.fr)
  • Hopla, dans le Sion !
    ~o)
  • Le communiqué complet donne plus d'infos:

    Communiqué de presse de l'Association Suisse de Football du 30 décembre 2011

    L'ASF retire 36 points à Sion

    Le comité central de l'ASF a retiré 36 points au club de Super League FC Sion (Olympique des Alpes SA). Le comité central fait ainsi suite à l'exigence formulée par la FIFA du 17 décembre 2011.

    Le comité exécutif de la FIFA avait exigé de l'ASF sous forme d'ultimatum que d'ici le 13 janvier 2012 "un retrait de trois points respectivement un forfait doit être prononcé pour chaque match de la saison 2011/12 auquel au moins un des six joueurs a été aligné". Au cas où l'ASF ne remplirait pas ou pas suffisamment les exigences de la FIFA dans le délai imparti, elle serait automatiquement suspendue par la FIFA dès le 14 janvier.

    Cette suspension exclurait toutes les équipes nationales suisses ainsi que tous les clubs suisses de l'ensemble des matches et compétitions internationaux. L'ASF a demandé aujourd'hui à la FIFA de confirmer que la suspension n'entrera désormais pas en vigueur. La FIFA n'a pas encore donné de réponse.

    Déduction de points, pas de forfaits
    Le FC Sion ayant aligné au moins une des six recrues estivales Stefan Glarner, Pascal Feindouno, José Julio Gomes Gonçalves, Billy Ketkeophomphone, Mario Mutsch et Gabriel Garcia de la Tore dans douze matches au total (dix matches de championnat, deux matches de Coupe Suisse), 36 points sont retirés au club conformément aux exigences de la FIFA.

    Cette déduction de points sanctionne l'abus de droit ainsi que le comportement illégal, antistatutaire et antiréglementaire du FC Sion, respectivement son contournement illégitime de l'interdiction de transferts prononcée par la FIFA, et non l'alignement de joueurs éventuellement non éligibles.

    Sion demeure en Coupe Suisse
    C'est pour cette raison que le comité central renonce à des défaites par forfait, qui non seulement pénaliseraient le FC Sion, mais attribueraient les trois points à l'adversaire respectif. Suite à ce refus de prononcer des défaites par forfait, le FC Sion demeure dans la compétition de la Coupe Suisse 2011/12. Après les victoires contre Colombier, Nyon et Tuggen, les Valaisans affronteront à l'extérieur le FC Biel-Bienne pour les quarts de finale le 21 mars 2012.

    L'éligibilité des six joueurs continue à faire l'objet de protêts et recours de la part de différents clubs de Super League, qui ont été rejetés par la commission disciplinaire de la Swiss Football League le 8 décembre. Depuis, les clubs concernés (c'est-à-dire Lausanne, Lucerne et Thoune) ont contesté cette décision devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS). La décision du TAS et celle du comité central de l'ASF sont entièrement indépendantes l'une de l'autre - des défaites par forfait peuvent donc toujours être prononcées par le TAS.

    Suite à la décision du comité central, le FC Sion occupe à présent la dernière place du classement de la Super League avec 5 points négatifs. La décision du comité central est définitive de la part de l'ASF. Elle peut cependant être contestée devant le TAS.
  • Décision logique mais d'une violence inaccoutumée : moins 36 points !
  • Décidément le Ketkeophomphone, les situations folles, il les cumule.

    Morale de l'histoire : toujours se renseigner sur l'identité du propriétaire d'un club, parfois on tombe sur des fous furieux ; pour Ketkeo, ça fait deux en deux ans, c'est beaucoup. :p
  • Feindouno et Sio quittent le club de Sion (l'équipe.fr)
    Déjà deux joueurs en moins sur les six recrutés la saison dernière, peut-être vont-ils enfin aligner une équipe "légale" depuis six mois ^^
    Qu'en est il de Ketkeo ?
  • Il lit son manuel "du choix des crampons en fonction du terrain".
  • spoutnik a écrit, le 2011-12-30 14:54:00 :
    Décision logique mais d'une violence inaccoutumée : moins 36 points !


    Cela ne les condamne pas pour autant à la rétrogradation automatique.
    Seul le dernier tombe en division inférieure.
    L'avant dernier dispute un barrage , en général face à une équipe vraiment faible comme Bellinzone , Bienne ou Vaduz...

    Et , Sion , devrait logiquement terminer barragistes si ils rééditent leur parcours accompli lors des matchs aller (31 points pris) , vu que Lausanne Sports (qui était dernier avant la pénalité infligée à Sion) n'a pu glaner que 11 misérables points lors de la première partie.
  • mitchtornado a écrit, le 2012-01-03 15:16:45 :
    Qu'en est il de Ketkeo ?


    Il y a aussi Brian Amofa qui s'est embarqué dans cette galère et qui lui n'a pas joué de la saison, même avec l'équipe réserve.
  • ben au pire ils viendront s entrainer chez nous :))
  • avec rudy :D
  • Neuchâtel Xamax perd encore quatre points

    http://www.francefootball.fr/Medias/Photos/201201/644x416/neuchat...

    La Ligue de football suisse (SFL) a retiré quatre nouveaux points au classement à Neuchâtel Xamax pour manquements dans le règlement d'octroi des licences. La SFL avait déjà prononcé une sanction similaire le 14 décembre 2011 contre le club appartenant à l'homme d'affaires tchétchène Bulat Chagaev.

    Selon la commission, il s'agit «d'un manquement important et compte tenu de la récidive», Neuchâtel Xamax se voit retirer quatre points supplémentaires. Un recours suspensif contre cette décision est possible dans un délai de cinq jours.

    FF
  • bientot pour lire le championnat suisse faudras avoir fait math sup :))
  • Avec le Racing, il fallait une double maîtrise en droit du travail et des faillites, plus le DECF pour la finance, donc je pense que nous sommes en mesure de comprendre ces soustractions toute somme bien basiques.
  • Neuchâtel licencie 4 joueurs
    Neuchâtel Xamax, sanctionné une nouvelle fois mardi par la Ligue de football suisse pour manquements dans le règlement d'octroi des licences, a décidé de licencier mercredi quatre de ses joueurs, dont son capitaine, le Français Stéphane Besle. Les autres joueurs concernés sont Javier Arizmendié, Vincent Bikana et Haris Seferovic. Besle, à Neuch,tel depuis 2005, est sorti en larmes du bureau du vice-président Islam Satujev où il a appris son licenciement. Capitaine depuis cet été, le Français a disputé près de 200 matches de Championnat suisse. (avec AFP)

    L'Equipe.fr
  • Interview de Gilbert Gress dans l'Illustré sorti cette semaine :
    Citation:
    «LES CLUBS ROMANDS SONT MALADES DE LEURS DIRIGEANTS»
    Six mois après avoir fêté sa renaissance, le football romand d'élite est à l'agonie. Conséquence logique d'un management désastreux selon Gilbert Gress, ancien entraîneur à succès de Xamax, Servette et Sion. Analyse.

    Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Alors que la Suisse romande fêtait jusqu'à cinq titres nationaux dans la même décennie, le trophée n'a plus franchi la Sarine depuis 1999, année du dernier sacre de Servette, deuxième club le plus titré du pays (14). Treize ans au cours desquels le club genevois (2001) mais surtout le FC Sion (2006, 2009, 2011) ont sauvé l'honneur et les apparences en remportant quatre fois la Coupe de Suisse. Treize années d'errance et de déboires parsemées de faillites financières et sportives qui ont tour à tour précipité nos clubs phare en enfer. Puis est arrivée la glorieuse saison 2011, avec le retour de Servette et de Lausanne en Super League. Une double ascension historique tant l'idée de revoir un jour quatre représentants de ce coin de terre réintégrer une élite limitée à dix équipes paraissait utopique. De quoi rêver de la fin prochaine de la traversée du désert. Hélas, quelques mois ont suffi à revenir sur terre et à envisager le pire: une prochaine saison avec... zéro club romand! Car à ce jour, personne ne peut jurer que Neuchâtel Xamax, dévasté par les armes de destruction massive de Bulat Chagaev, son propriétaire tchétchène, sera encore «vivant», que Servette ne sera pas rattrapé par ses problèmes de trésorerie apparus cet automne, que Sion, recalé sur tapis vert (retrait de 36 points), et LS, le plus mal loti de tous sur le plan sportif, échapperont à la culbute. Bien sûr, ce scénario catastrophe est encore loin d'être une réalité, mais il n'a rien de farfelu. La faute à qui, la faute à quoi?

    «Le drame de Xamax me laisse froid»
    Du haut de ses 70 ans, Gilbert Gress, consultant-vedette de la télévision suisse alémanique et nouvelle coqueluche du public d'outre-Sarine, a une opinion très tranchée sur la question. Pour lui, au-delà des problèmes financiers, c'est le management, catastrophique à ses yeux, qui conduit à cette déliquescence. «Les clubs romands sont malades de leurs dirigeants, assène-t-il. Certes, l'arrêt Bosman, qui contribue au pillage des joueurs des petites nations par les plus nanties ne leur facilite pas la tâche. Mais cela ne justifie en rien le grand n'importe quoi auquel on assiste», affirme celui qui a mené deux fois Xamax au titre et en quart de finale de la Coupe UEFA (ex-Europa League). Une vague de succès qui contraste avec le chaos actuel du club neuchâtelois, dont la survie ne tient qu'à un fil. «J'ai passé quinze ans à Neuchâtel sans jamais signer le moindre contrat. Tout s'est fait sur des poignées de main, la confiance, la loyauté envers des couleurs auxquelles on restait fidèle non pas vingt jours ou vingt heures mais vingt ans. Alors, si le drame de Xamax me peine pour ses supporters, il me laisse froid. En football comme ailleurs, la bêtise et l'incompétence doivent être sanctionnées.»

    «N'importe quel guignol peut se payer un club»
    Engagé de longue date dans une association de handicapés mentaux de Strengelbach, près d'Aarau, l'Alsacien perçoit à travers le cas des rouge et noir les dérives d'une économie sportive trop libérale. «N'importe quel guignol fortuné peut se payer un club. Pourquoi ne pas copier le système allemand, qui interdit à un investisseur de posséder plus de 49,99% du capital s'il ne fait pas partie de la société depuis au moins vingt ans? Créée en 1963, la Bundesliga n'a jamais connu la moindre faillite.»

    «Pas de grand club sans grand président»
    Pour Gress, triple champion de France – deux fois comme joueur avec Marseille et une fois à la tête du RC Strasbourg – l'équation est simple: il n'y pas de grand club sans grand président. «C'est de lui, bien plus que de l'entraîneur ou de l'avant-centre, que dépend le succès.» Et pas besoin d'être féru de foot pour réussir. Selon l'ancien mentor, il suffit d'un peu de nez pour flairer les bons coups et d'un brin d'humilité pour s'entourer de personnes compétentes et leur laisser certains pouvoirs décisionnels. Cette recette maintes fois éprouvée aurait, par exemple, peut-être permis à Lausanne de trouver un compromis avec Fabio Celestini, rouage essentiel de l'équipe sur et hors du terrain et, qui sait, de conserver aussi le buteur brésilien Silvio, grand artisan de l'ascension. A Servette, cette politique du bon sens n'aurait pas abouti au licenciement de João Alves, encore qualifié d'entraîneur providentiel quelques mois auparavant. «Avec un président moins tourné vers son ego et plus porté par l'amour de son club, le FC Sion évoluerait lui aussi dans un climat nettement plus propice. Malheureusement, même quand l'équipe marche bien, Christian Constantin invente quelque chose pour qu'on parle d'abord de lui. Et, croyez-moi, les présidents plus connus que leurs joueurs, ce n'est jamais bon signe. Demandez aux gens, même aux fans de foot, de citer le nom du président de Barcelone, de Manchester United ou de Borussia Dortmund. Ils seront bien empruntés.»
    Barcelone, c'est l'exemple à suivre pour le Franco-Suisse, qui partage sa vie entre Saint-Blaise et Strasbourg. «Je ne suis pas naïf. Je suis conscient que le Barça a les moyens financiers de conserver ses joueurs. Reste qu'aucun autre club au monde n'investit autant pour former physiquement, techniquement, mentalement et culturellement ses futures stars. Contrairement à Neuchâtel, à Sion ou même à Servette, il émane de cette équipe quelque chose de sain, d'authentique, d'exemplaire et – c'est le plus important – de très attachant pour les supporters.»

    Une Super League à 16
    Journaliste-écrivain, Jacques Ducret, qui observe le microcosme romand depuis soixante ans, abonde. «Julian Esteban, bientôt 26 ans, est le dernier joueur formé par Servette. Et que dire de Sion, naguère club formateur par excellence, contraint de se débattre dans de graves problèmes administratifs à cause de six joueurs étrangers de qualité discutable», s'interroge le Genevois, bienveillant envers le LS «qui a le mérite, sans grand succès pour l'instant, de privilégier cette filière». Imprégnés par la rigueur et la culture germaniques, beaucoup plus sensibles aussi à l'identité locale que leurs pairs romands, les dirigeants alémaniques, Bâle en tête, suivent également cette voie remarque Gilbert Gress. «Un retour à seize équipes en Super League inciterait sans doute les Romands à y revenir. Nos internationaux évoluant presque tous à l'étranger, notre championnat n'a plus guère d'influence sur la valeur de l'équipe nationale», note Jacques Ducret, effrayé par la diminution du nombre de francophones au sein des diverses sélections juniors. «Et puis revenir à seize équipes n'a pas fatalement comme conséquence d'affaiblir les grosses cylindrées du pays. A l'époque, Ajax Amsterdam a remporté la Coupe d'Europe en ne perdant aucun match de championnat», rappelle Gilbert Gress. «Pourquoi ne pas regarder la réalité en face?» conclut Jacques Ducret. Par manque de flair et d'humilité peut-être...

    Source : L'Illustré
  • Eh ben pour une fois ce qu'il dit le Schilles, c'est assez bien vu. Autant je suis le premier à dénoncer sa mégalomanie, mais à part la mention relative à la législation allemande qui demande à être vérifiée, c'est pas mal.

    J'aime bien son analyse des dirigeants romands et des dirigeants alémaniques.

    A Strasbourg nous sommes malheureusement dans l'équivalent du côté romand.
  • LEQUIPE
    Foot - SUI Neuchatel toujours dans le rougeRien ne s'arrange pour Neuch,tel Xamax. Déjà sanctionné d'une perte de huit points en championnat pour salaires impayés et négligences sur le règlement des contribution sociales, le club suisse devra encore rendre des comptes à la commission disciplinaire de la Fédération suisse. Le motif reste le même : le retard dans les paiements dus en novembre. Selon la presse helvète, le club pourrait même être exclu de la Super League
  • C'est fait.


    Neuchâtel, la fin
    La commission de discipline de la Ligue de football suisse a retiré avec effet immédiat sa licence au club de Neuchâtel Xamax pour manquements dans le règlement de la Ligue, selon un communiqué publié mercredi par la SFL.

    La commission de discipline a d'autre part décidé de retirer l'effet suspensif de la sanction, en cas de recours.

    Le club peut déposer un recours dans un délai de 5 jours auprès du Tribunal de recours de la SFL.

    La commission de discipline justifie sa décision par la non-présentation de documents financiers réclamés par la SFL et les "soupçons de contrefaçon" pesant sur un certificat de la Bank of America, qui s'est révélé comme étant un faux grossier.

    Ce document indique que le nouveau propriétaire de Neuchâtel Xamax, le Russe d'origine tchétchène Bulat Chagaev disposerait auprès de cette banque de quelque 35 millions de dollars.

    Suite à la présentation de ce document, M. Chagaev a été mis en examen par la justice suisse.

    Une conférence de presse de la SFL est prévue mercredi après-midi à Zurich.

    €sport.
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