Saison 2023/2024
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Flux RSS 1357 messages · 127.932 lectures · Premier message par koko62 · Dernier message par gassi67

  • Ya t'il des gens titulaire du nba pass a l'année ? ( matté match etc... ) ? si c'est possible d'avoir quelques retour... merci
  • Tiens Gelabale a signé à Minnesota pour un contrt de 10 jours il me semble :-/

    La colonie française en NBA se monte donc à 13 unités (+) dont Johan Petro la star du banc d'Atlanta... :p
  • MJ forever B-)

    Michael Jordan, basketteur unique dans l'histoire de la NBA

    Michael Jordan, qui fêtera ses 50 ans dimanche, a été un basketteur unique. Sa trace dans l'histoire de la NBA est indélébile. Voici pourquoi.

    http://i.eurosport.fr/2013/02/16/955625-15703394-640-360.jpg

    Michael Jordan. 50. ll y a encore peu, associer Michael Jordan et le nombre 50 incitait à la nostalgie. Cela ramenait invariablement à l'un des nombreux cartons réalisés par l'arrière des Bulls durant son exceptionnelle carrière. Dimanche, quelque chose va changer. Mais la nostalgie sera toujours là. Plus que jamais. En ce 17 février 2013, MJ va franchir une nouvelle barrière. Mais cette fois, pas question de s'émerveiller, d'écarquiller les yeux ou de lever les sourcils. Non. Michael Jordan va avoir 50 ans. Il peut bien tourner les paumes de ses mains vers le ciel, comme lors du carnage réalisé face aux Blazers lors du match I des NBA Finals 1992. Il n'y est pour rien. Et c'est peut-être bien la première fois de sa vie.

    Bulls – Blazers, c'était il y a plus de vingt ans. Et nous étions subjugués par cet extraterrestre qui portait la NBA, puissance US en voie de globalisation. Cinq cents ans après la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, la ligue professionnelle parcourait le chemin inverse à la conquête du vieux monde. Bientôt grâce à la Dream Team. Mais avant tout grâce à Michael Jordan, sorte de Noureev des parquets que l'on aurait couplé au pire tueur à gages. Un tueur au sourire carnassier, alliance parfaite d'esthétisme et de froid réalisme.

    Comme une bonne partie de la rédaction d'Eurosport.fr, je suis "né" au basketball au début des années 90. Avec les Lakers à Bercy, l'annonce de la séropositivité de Magic Johnson, la Dream Team. Et évidemment Michael Jordan. Quand vous avez 13 ans en 1991, impossible de passer à côté du sportif le plus accompli de sa génération. Et peut-être de l'histoire. Michael Jordan, c'est une batterie de titres NBA, de récompenses individuelles ou de records dont la liste est plus longue que les segments de Manute Bol, le regretté pivot soudanais. Mais Jordan, c'est aussi autre chose. Et surtout bien plus que ça. De son arrivée dans la Ligue en 1984 à son départ (définitif) en 2003, l'arrière des Bulls, puis des Wizards, a personnalisé une ligue dont la croissance a été vertigineuse. Le tout grâce au talent d'un commissionnaire, David Stern, et son meilleur produit d'appel, His Airness en personne.

    Si Jerry West est devenu le "Logo" de la NBA, Michael Jordan a été la NBA. Il l'a incarnée par son exceptionnelle carrière et son talent unique. Mais aussi son charisme. Car au-delà d'être un athlète proche de la perfection - certains spécialistes le jugeaient capable de sauter 8,50 mètres à la longueur -, Jordan, c'est une gueule, une langue, une gestuelle que les sponsors, Nike en tête, se sont arrachés à un moment où le monde changeait. Où la division de la planète en deux blocs volait en éclats, au profit de l'hyperpuissance américaine. Acteur né, MJ a largement dépassé les frontières de son sport. Tout en le respectant et sans jamais oublier l'essentiel : gagner pour exister.

    Il n'a pas suffi à Jordan de tirer la langue pour devenir le plus grand. Il n'aurait été qu'un bon basketteur parmi tant d'autres sans l'excellence dont il a fait preuve tout au long de sa carrière. Et les titres collectifs, qui ont fini par garnir son palmarès. Comme d'autres avant et après lui, MJ a mis le temps, sept ans exactement. Mais quand il a enfin terrassé les Pistons et ouvert la porte des NBA Finals, plus personne n'a pu se mettre en travers de son chemin. Magic Johnson et les Lakers ? Pliés. Clyde Drexler et les Blazers ? Eparpillés façon puzzle. Charles Barkley et les Suns ? Assommés. Shawn Kemp et les Sonics ? Fessés. Malone-Stockon et les Jazz ? Cassés en deux. Deux fois. Par charité, on ne parlera pas des Knicks et de Patrick Ewing, qui n'a jamais pu voir les NBA Finals pendant le règne de MJ. Finalement, seul Hakeem Olajuwon et les Rockets, qui ont profité de la retraite temporaire du plus grand basketteur de l'histoire, sont passés entre les gouttes de l'implacable monsieur Jordan.

    Michael Jordan a aussi sa face sombre. Comme tout champion. Son addiction au jeu, qui aurait pu lui coûter cher s'il n'avait pas été MJ, son comportement autocratique avec les Bulls, les passe-droits dont il bénéficiait avec Phil Jackson, et son exceptionnelle intransigeance envers ses coéquipiers, dont il a longtemps été persuadé - Grant et Pippen dans le lot - qu'ils ne lui permettraient jamais de décrocher la moindre bague, ont construit le personnage tel qu'il est. Craint par ses adversaires autant ou presque que par ses coéquipiers, le numéro 23 des Bulls s'est construit dans le défi permanent. Pour MJ, il n'y a jamais eu de jeu. Que de la compétition. A l'entraînement, en match, après, avant, pendant, sur un green, à l'occasion d'une énième partie de cartes : Jordan a toujours cherché à défier les autres et, à travers eux, lui-même. Dans l'idée, toujours et encore, de repousser ses limites.

    Dix ans après sa retraite et un crochet de trop par Washington, la figure de Michael Jordan reste unique en NBA. MJ est le plus grand. Mais personne ne revendique la filiation. Mis à part Kobe Bryant, qui depuis le début de sa carrière n'est obsédé que par le maître, personne n'est assez fou pour oser se mettre sous la même toise que Jordan. LeBron James, alors qu'il traverse la série statistique la plus folle de sa carrière, n'a-t-il pas rappelé cette semaine sur Twitter qu'il était "LJ et non MJ" ? A raison. James construit sa propre histoire. Longtemps, il a partagé avec Jordan cette excellence individuelle alliée à une incapacité à gagner. LBJ a fini par gagner. Comme Jordan. La comparaison s'arrête là. Parce que Jordan a ouvert la voie à James. Et sans le numéro 23 des Bulls, rien n'aurait été possible. Le succès de LBJ et celui de la NBA, c'est un peu, toujours et encore, celui de Michael Jordan.

    http://i.eurosport.fr/2013/02/15/955207.png
  • Michael Jordan!
    Ça a été,est et restera mon idole sportive. Le seul qui me faisait passer des nuits blanches devant mon téléviseur.
    Celui aussi qui m'a fait,apres le foot,apprecier le Basket.
    Le plus grand de tous les temps et pour longtemps encorr
  • Ah Michael...comme beaucoup je me levais la nuit pour le voir et je me souviens à la fois du premier match que j'ai pu voir de lui en K7 en 1989 avec un Atlanta Hawks- Chicago Bulls... à l'époque c'était presque voir Dieu en personne...et je me souviens super bien des NBA Finals de 1991 contre les Lakers et de mes 1er fêtes du vin...ah le bon temps !!!
  • NBA - Noah, une performance hors-norme
    Joakim Noah a signé l'un des plus grands matches de sa carrière en compilant 23 points, 21 rebonds et... 11 contres lors du succès des Bulls face aux Sixers de Philadelphie (93-82). C'est le deuxième "triple double" de sa carrière mais surtout le deuxième de la saison.

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    Personne n'a pu l'arrêter. Cette nuit, Joakim Noah a croqué à lui tout seul Philadelphie (93-82) avec l'une de ses plus grosses performances depuis ses débuts en NBA. Jugez plutôt : l'intérieur de Chicago a compilé 23 points (à 8/12 aux tirs), 21 rebonds, 3 interceptions et... 11 contres en 45 minutes de jeu ! Le Français signe là son troisième "triple double" en carrière et le deuxième de la saison après les 11 points, 13 rebonds et 10 passes décisives cette fois lors de la victoire des siens sur Boston le 18 décembre dernier (100-89).

    "Sa volonté du début à la fin du match était juste incroyable", a salué son coach Tom Thibodeau. "Il était partout et a multiplié les efforts." Une statistique donne la mesure de l'exploit de Noah puisqu'il a égalé le record de contres en un match de saison régulière qu'il co-détient désormais avec Artis Gilmore (1977). Selon ESPN, Noah est le premier joueur depuis 1998 (et le géant de 2,29 m Shawn Bradley) à compiler au moins 20 points, 20 rebonds et 10 contres et le premier de l'histoire (en tout cas depuis 1973-74 que les contres sont officiellement comptabilisés en NBA) à compiler ces chiffres tout en affichant au moins 65% de réussite aux tirs (66,6% exactement).

    "Incroyable" pour Boozer, cette performance a écoeuré les Sixers. "Il est tellement actif ! Si vous ne le freinez pas, cela peut vite tourner au cauchemar", a constaté leur coach Doug Collins. Même le "double double" du pivot de Philadelphie Spencer Hawes (20 points, 15 rebonds) et les 22 points du meneur de jeu Jrue Holiday n'ont pu éclipser la partition parfaite du pivot français. Côté Bulls, Carlos Boozer a fait le job pour continuer le travail de sape de Noah (21 points, 12 rebonds). Cette victoire fait du bien à la franchise de l'Illinois qui restait sur deux défaites et qui n'a toujours pas validé son ticket pour les play-offs, Chicago étant la sixième équipe de la conférence Est avec 33 victoires pour 25 défaites.

    Eurosport
  • Sinon les Finals commence ce soir à 3H, Miami Heat contre les Spurs de San Antonio.
  • Emmené par Tony Parker(21pts),San Antonio remporte le match 1 à Miami 88-92
  • Avec un enorme shoot de Parker à la fin du match =P~
  • Exact avec une feinte sur Lebron en prime =P~ =P~ .

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  • TP est simplement hors norme cette année...de loin le meilleur joueur européen.

    On me parle de Tsonga mais Tony mérite autant de traitement médiatique que la demi du tenisman...malheureusement c'est du basket et ça se joue de nuit en France...
  • Une légende. Ca fait des années qu'il joue à très haut niveau et qu'il continue et continue. Quel joueur. En plus maintenant, il coache :

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  • Miami remporte le match 2,103-84 et égalise dans la série. TP 13pts
  • L'action du match:

    :O
  • Cette série va vite finir...
    Victoire par 4-1 des Heat
    et on en parle plus...
  • Match 3
    San Antonio à atomisé Miami 113-77
    Pour l'heure San Antonio mène la série 2-1
  • J'ai parié sur les Spurs au début des playoffs avec des amis. Cette année Popovich a bien géré en reposant les joueurs aux bons moments, le banc est solide et TP est tout simplement énorme. En plus c'est la dernière chance pour le trio Duncan, Ginobili and Parker de gagner le titre de champion ensemble et, je vois bien Duncan et Popovich prendre leur retraite cette saison.
    J'espère que la blessure de TP ce soir n'est pas grave, ça ferait vraiment chier pour le match 4.
  • Encore une fois j'ai fait ultra fort dans les prono!
    Bon on oublie les prono, j'ai entendu ou lu que Parker était blessé?
    Je ne sais plus où...
    Quelqu'un a des news? Ai-je rêvé?
  • Il a une légère élongation. Il va essayer d'être prêt pour le match 4.
  • San Antonio-Miami 93-109.
    Égalité 2-2
    Finale très bizarre! On gagne chez l'adversaire. Miami se prend une raclee et juste ensuite l'emporte chez les Spurs
    Maintenant Miami a à nouveau l'avantage du parquet mais à voir si c'est vraiment essentiel
  • Le prochain match est encore à San Antonio.
    Aucune des deux équipes n'arrive à enchainer 2 victoires de suite, c'est bien pour le suspense.
  • je ne veux plus pronostiquer car chacun de mes pronostic est faux donc on verra bien au soir du match 7 qui sera champion!!!
  • Dans le match 5,San Antonio bat Miami 114-104 et mène maintenant 3-2.
    TP 26 pts. Reste 2 rencontres à Miami.
  • Quelle victoire :x
    On a retrouvé Ginobili (+)
    Popovich est un p***** de coach, un génie! Manu est au plus bas depuis longtemps, il a quasiment pas commencé dans le 5 de départ ces derniers mois et bam, une discussion et une titularisation, et Manu nous sort un match de ouf. Je me demande ce qu'il lui a dit.
  • le plus dur commence pour les spurs gagner une deuxième fois à Miami!
    Ca va être dur mais je pense qu'on va assister à du grand basket!
    Ca va être chaud
    J'espère que le public sera moins distant que d'habitude et saura faire chauffer la salle!!!
    Que le meilleur gagne!
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