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Le capitaine Nemausus rend visite au Racing, soldat porté disparu. Photographie d'un club au Gard à vous.
L'axe du mal du football se situe dans une étonnante concentration autour de Nîmes. Montpellier vole de ses propres ailes en Ligue 1, Arles et Avignon font cause commune pour bétonner et contre-attaquer et, à 100 bornes de là, l'Ohème est sur le pont tant techniquement que tactiquement. En bref, une série de clubs au soleil font ombrage au Racing du Nord-Est.
Cette saison, le Racing est à l'Ouest et Nîmes est à l'heure du rendez-vous de la Ligue 2. Les Crocodiles ont pour l'instant un bilan de 12 victoires et 12 défaîtes. Malgré ce régime équilibré, force est de constater que la place du NO est dans le ventre mou. Après quatre matches sans marquer de buts, Nîmes souhaite casser la (chou)croute à la Meinau afin de finir la saison en roue libre.
Cette saison, la Ligue 2 donne primeur aux équipes qui réalisent des bons cycles. A ce jeu, le Racing Club de Strasbourg risque encore une fois de perdre les pédales.
A domicile, le Racing est cinquième avec 32 points acquis sur 51 possibles. Au compteur buts, 27 furent marqués par le Racing et 16 par ses adversaires. Un petit rythme défensif d'un but encaissé par match, comme nous l'avons vu contre l'équipe de Dijon.
A l'extérieur, les Nîmois sont allés chercher un point par match, soit 17 points sur 51, ce qui les situe à la douzième place du classement extérieur. 10 buts marqués seulement, mais une plutôt bonne défense (19 buts encaissés).
"Que reste-t-il de nos amours ? Que reste-t-il de ces beaux jours ?" Il est loin le temps de la Division 1 et des Laurent Blanc et Eric Cantona. Aujourd'hui, Nîmes traine et se retrouve à nouveau loin de cet horizon. Le club a sûrement manqué le coche ces dernières semaines dans cette saison très serrée où beaucoup d'équipes se valent et peuvent jouer la troisième place synonyme d'escalade victorieuse. C'est toujours Jean-Michel Cavalli qui mène son armée des Costières. Il a sauvé le club assez miraculeusement la saison dernière. Pascal Janin compte bien en faire de même, malgré des canassons à la qualité bien changeante d'un match sur l'autre.
Aux buts, l'inénarrable Nicolas Puydebois a encaissé le but le plus rapide depuis longtemps en début de saison. A force d'aller pêcher au loin, on ne peut que chercher des prises rondes dans ses filets. Ces deux derniers matchs, Haidar Al-Shaïbani a d'ailleurs pris sa place dans les cages.
Mehdi Mostefa est le joueur le plus utilisé. Le milieu défensif franco-algérien est la soupape, le capitaine et le passeur n°1.
En attaque, le duo Jean-Jacques Mandrichi et Jonathan Ayité assurent la majorité des buts du club gardois, après le départ de Robert Malm, "l'ancêtre". Le neveu de qui vous savez, Yannick Boli, a peu de temps de jeu mais a quand même mis trois pions. Les autres joueurs sont relativement inconnus, tels des soldats tombés au champ (de patates) d'honneur.
Attention, l'entraîneur a son rôle, c'est le 12ème joueur : les Nîmois ne marquent jamais autant que lorsqu'ils se font remonter les bretelles à la-mi-temps des matchs : 11 buts entre la 45ème et la 60ème.
Cette saison, le Racing est à l'Ouest et Nîmes est à l'heure du rendez-vous de la Ligue 2. Les Crocodiles ont pour l'instant un bilan de 12 victoires et 12 défaîtes. Malgré ce régime équilibré, force est de constater que la place du NO est dans le ventre mou. Après quatre matches sans marquer de buts, Nîmes souhaite casser la (chou)croute à la Meinau afin de finir la saison en roue libre.
Cette saison, la Ligue 2 donne primeur aux équipes qui réalisent des bons cycles. A ce jeu, le Racing Club de Strasbourg risque encore une fois de perdre les pédales.
Les forces en présence
A domicile, le Racing est cinquième avec 32 points acquis sur 51 possibles. Au compteur buts, 27 furent marqués par le Racing et 16 par ses adversaires. Un petit rythme défensif d'un but encaissé par match, comme nous l'avons vu contre l'équipe de Dijon.
A l'extérieur, les Nîmois sont allés chercher un point par match, soit 17 points sur 51, ce qui les situe à la douzième place du classement extérieur. 10 buts marqués seulement, mais une plutôt bonne défense (19 buts encaissés).
Les objectifs de Nîmes
"Que reste-t-il de nos amours ? Que reste-t-il de ces beaux jours ?" Il est loin le temps de la Division 1 et des Laurent Blanc et Eric Cantona. Aujourd'hui, Nîmes traine et se retrouve à nouveau loin de cet horizon. Le club a sûrement manqué le coche ces dernières semaines dans cette saison très serrée où beaucoup d'équipes se valent et peuvent jouer la troisième place synonyme d'escalade victorieuse. C'est toujours Jean-Michel Cavalli qui mène son armée des Costières. Il a sauvé le club assez miraculeusement la saison dernière. Pascal Janin compte bien en faire de même, malgré des canassons à la qualité bien changeante d'un match sur l'autre.
Les joueurs en présence
Aux buts, l'inénarrable Nicolas Puydebois a encaissé le but le plus rapide depuis longtemps en début de saison. A force d'aller pêcher au loin, on ne peut que chercher des prises rondes dans ses filets. Ces deux derniers matchs, Haidar Al-Shaïbani a d'ailleurs pris sa place dans les cages.
Mehdi Mostefa est le joueur le plus utilisé. Le milieu défensif franco-algérien est la soupape, le capitaine et le passeur n°1.
En attaque, le duo Jean-Jacques Mandrichi et Jonathan Ayité assurent la majorité des buts du club gardois, après le départ de Robert Malm, "l'ancêtre". Le neveu de qui vous savez, Yannick Boli, a peu de temps de jeu mais a quand même mis trois pions. Les autres joueurs sont relativement inconnus, tels des soldats tombés au champ (de patates) d'honneur.
Attention, l'entraîneur a son rôle, c'est le 12ème joueur : les Nîmois ne marquent jamais autant que lorsqu'ils se font remonter les bretelles à la-mi-temps des matchs : 11 buts entre la 45ème et la 60ème.
