Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

AS Mutzig, de la D2 à "l'enfer"

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Flux RSS 72 messages · 51.968 lectures · Premier message par schlesier · Dernier message par uso45

  • J'ai oublié l'ex-international Louis Cardiet à Berné (qui a aussi entraîné là bas), et il fallait lire que Berné était redescendu de D3 à DH un an avant la création de la D4...
  • Autre référence à la fameuse saison de l'accession en D2 de Mutzig, via Arsène Wenger, dans le Guardian (Londres) du 15 mai 2004 : " Wenger, while a student, had completed a season undefeated with Mutzig in the French Third Division and despite an utterly different degree of difficulty he has always had in mind the possibility of Premiership invincibility."
    Mutzig fut invicible sur une saison... comme Arsenal, foi d'Arsène!
  • Oui Mutzig a refusé la montée en Division 2 en 1974.
    La FFF s'est alors tourné vers Epinal,club classé second,Saint Dié étant 3eme.
    Epinal demanda un temps de réflexion et accepta cette promotion.
    J'étais gamin et cela m'a marqué.
    D'autant que j'étais allé à Mutzig avec le bus des socios en novembre 73 dans un stade municipal plein comme un oeuf. Nous avions perdu 2-1.Au match retour début Avril 74 Epinal avait battu Mutzig 1-0,but de Jacques VERITE,qui est aujourd'hui délégué à la ligue de Lorraine.

    Le SAS est retourné depuis 2 fois à Mutzig. C'était pour y affronter les Cigogneaux en 79/80 et 80/81.Deux défaites!!!j'y étais aussi.

    Bien sur, je me souviens de l'épopée des SR Haguenau en Division 2 en 77/78.
    Au match d'ouverture par une grosse chaleur étouffante ,Epinal,l'avait emporté 1-0 but de Jacky CHARRON sur coup franc.Patrice VICQ (ex Strasbourg) était notre capitaine

    dom
  • Si certains le souhaite je peux dresser plus précisément la liste des joueurs de Mutzig au début des années 70.Nous les rencontrions (avec Epinal) en championnat de Division 3 mais aussi en 65/66 en CF.

    Contrairement à ce qui fût écrit plus haut ,Vauban n'a jamais évolué en Division 2.Le Président STAHL ,refusant la montée à chaque fois que celle ci s'est présentée.

    Les SR Colmar sous la Présidence de papa LEHMANN ont évolué 1 saison en Division 1.

    Les SR Haguenau n'ont joué qu'une seule saison en division 2.

    dom
  • Encore une info sur le Mutzig des heures de gloire.

    Allez dans Histoire - joueurs - Raymond HILD (Max) - Mutzig - Joueurs des 2 clubs etc etc.

    dom

    Quand j'étais gamin,Max HILD était une figure légendaire du football Alsaciens.
    Arsène WENGER jouait dans le vallée de la Bruche et c'était déjà la classe....

    dom
  • Pour les curieux

    Voici quelques joueurs de Mützig en 74/75

    Gemmerich (gardien) - C.Fluck - Faessel - Steinmetz - JP Fluck - Kuntz - Zimmermann - Matter - Schalber - Venturi - Teissère - Lorentz
    Entraîneur : Nabat

    Raymond (Max Hild) et Arsène Wenger étaient déjà partis.
    Max était aux Pierrots Vauban Strasbourg et Arsène au FC Mulhouse.

    Le stade de Mützig était celui qui existe toujours et que l'on voit depuis la route.

    C'est principalement à cause de ce stade déjà vetuste que l'AS Mützig refusa la montée en Division 2,à la fin de la saison 73/74.
    Cela profita donc au SAS Epinal,qui était second.

    dom
  • Bonjour,

    Je n'ai pas connu mais j'apprécie beaucoup qu'on retrace de cette manière l'histoire du foot alsacien, Surtout lorsqu'il fait référence à un passé tel que celui de Mutzig.
    :)-
  • Gamin,Mützig me fascinait.
    Que de beaux souvenirs contre Epinal.

    Aujourd'hui,lorsque je passe devant le stade que de nostalgie!!!!

    Je possède pas mal d'archives sur cette époque.Si cela intéresse quelqu'un.

    Cela pourrait aussi être le thèse d'un étudiant qui pourrait faire un rapport sur les clubs Alsaciens qui ont brillé jadis,dans l'ombre du GRAND RACING.

    Vauban - Haguenau - Wittelsheim - Schiltigheim - Red Star Mulhouse - FCKO6 - Cronenbourg - AS Strasbourg - AS Mulhouse - Sundhoffen - Neudorf - Wissemboug - Illhaeuseurn et bien d'autres....

    dom
  • Les Mutzigois de naissance les plus connus n'était pas André Rey et Jean-Noel Huck? ou je me trompe?
  • JN HUCK c'est sur - Bravo
    A REY.....à vérifier

    dom
  • Andre REY a grandi a Duppigheim.
  • OK.Bien vu une fois de plus....

    Si tu désires quelques renseignements sur le Mützig du début des années 70,pas de soucis.
    Je posséde beaucoup d'archives.

    dom
  • domarchivsas a écrit, le 2013-02-08 20:47:24 :
    Gamin,Mützig me fascinait.
    Que de beaux souvenirs contre Epinal.

    Aujourd'hui,lorsque je passe devant le stade que de nostalgie!!!!

    Je possède pas mal d'archives sur cette époque.Si cela intéresse quelqu'un.

    Cela pourrait aussi être le thèse d'un étudiant qui pourrait faire un rapport sur les clubs Alsaciens qui ont brillé jadis,dans l'ombre du GRAND RACING.

    Vauban - Haguenau - Wittelsheim - Schiltigheim - Red Star Mulhouse - FCKO6 - Cronenbourg - AS Strasbourg - AS Mulhouse - Sundhoffen - Neudorf - Wissemboug - Illhaeuseurn et bien d'autres....

    dom


    Haguenau à l'époque des SR était pas dégueu, mais n'a jamais attiré la foule.
    Même à l'époque de la Nationale entre 1994 et 1996. Le Parc des Sports est un superbe complexe mais sonne bien creux !

    Wissembourg passé de la CF4 dans les années 1980, à la Division 3 au milieu des années 2000 ! B-)
    Sinon d'autres clubs ont brillé de manière intermittente dans le Nord de l'Alsace, mais à des échelles moins importantes.

    Il y a aussi Bischwiller, mais ça remonte à beaucoup plus longtemps !
  • Oui les SR Haguenau,c'était sympa en Division 2 à Marxenhouse.
    J'ai quelques documents sur leur épopée en 77/78.ainsi que sur le National en 94/95.

    Chez les clubs Alsaciens ayant briller dans le passé,il y a aussi MASEVAUX au début des années 70.
    Bien sûr il y a Bischwiller.On retrouve quelques belles archives sur ce club sur le site de footnostalgie.
    Il ne faut pas oublier Saint Louis qui est là depuis des lustres et Illzach- Modenheim....mais eux c'est plus récent.
  • Mutzig 1 - 2 Bischheim Mars

    Dur dur pour Mutzig
  • domarchivsas a écrit, le 2013-02-10 17:04:14 :
    Oui les SR Haguenau,c'était sympa en Division 2 à Marxenhouse.
    J'ai quelques documents sur leur épopée en 77/78.ainsi que sur le National en 94/95.

    Chez les clubs Alsaciens ayant briller dans le passé,il y a aussi MASEVAUX au début des années 70.
    Bien sûr il y a Bischwiller.On retrouve quelques belles archives sur ce club sur le site de footnostalgie.
    Il ne faut pas oublier Saint Louis qui est là depuis des lustres et Illzach- Modenheim....mais eux c'est plus récent.


    Tu peux me les transferer par MP ou éventuellement dans le topic du FR Haguenau?
  • MUTZIG revient de son déplacement avec une victoire 2-1.
  • MUTZIG est allé gagner [g]3-1 à HOENHEIM.[/g]
    Groupe B Mutzig prend la tête
    Les visiteurs démarrent fort. Lancé en profondeur, Boukalada part seul au but mais se fait reprendre par la défense centrale (2e ). À la 18e , une tête de Heitz rase le montant droit de Khettabi. Quelques minutes plus tard, une nouvelle tête du même Heitz fait mouche suite à un coup franc tiré de la gauche.

    Les recevants se montrent dangereux à la 31e. Suite à une chevauchée de Regguem, son tir oblige le gardien Schoenenberger à plonger pour mettre en corner. Ce dernier est repoussé par la défense sur Foloppe qui démarque Ayvaz, dont la reprise de volée des 25 mètres se loge en pleine lucarne.

    Au retour des vestiaires, la première action dangereuse est à mettre à l'actif des joueurs de la vallée de la Bruche, Reverte remonte le ballon, transmet à Royal qui lance Heitz, le tir qui suit trouve Khettabi à la parade (50e ). Puis une balle plongeante de Morgenthaler atterrit sur la barre transversale (74e ).

    Alors que les Banlieusards sont au plus fort de leur domination et se procurent une kyrielle d'occasions, ils se font contrer et Boukalada bat l'infortuné gardien (79e ). Les locaux ne se remettront pas de ce coup du sort, surtout qu'ils sont réduits à dix pour les dernières minutes après l'expulsion temporaire de Foloppe.

    Ils concèdent finalement un penalty suite à une faute grossière de Frantz sur Boukalada, et c'est Adriano qui établit le score final (88e ).

    DNA
  • PROMOTION EXCELLENCE A
    GROUPE B


    Dimanche 10 novembre 2013 - 14H30


    Bergbieten Reporté Mutzig
  • Dimanche 17 novembre , en championnat, l'AS MUTZIG reçoit HOLTZHEIM.

    Et s'incline 1-2.
  • kev6736 a écrit, le 2013-09-11 14:10:04 :
    domarchivsas a écrit, le 2013-02-10 17:04:14 :
    Oui les SR Haguenau,c'était sympa en Division 2 à Marxenhouse.
    J'ai quelques documents sur leur épopée en 77/78.ainsi que sur le National en 94/95.

    Chez les clubs Alsaciens ayant briller dans le passé,il y a aussi MASEVAUX au début des années 70.
    Bien sûr il y a Bischwiller.On retrouve quelques belles archives sur ce club sur le site de footnostalgie.
    Il ne faut pas oublier Saint Louis qui est là depuis des lustres et Illzach- Modenheim....mais eux c'est plus récent.


    Tu peux me les transferer par MP ou éventuellement dans le topic du FR Haguenau?


    Excuse l'ami de ne pas t'avoir répondu.En fait ,je viens seulement de découvrir ton message ce soir!!!
    En fait,que souhaites tu recevoir comme archives?
    Je posséde les articles de tous les Epinal - Haguenau.(et Haguenau -SAS
  • MUTZIG 4

    NEUDORF 0


    Mi-temps : 1-0. Arbitre : M. Kretz, assisté de MM. Thomas et Cipor. Les buts : Adriano (20e '), Louro (76e '), Reverte (83e ', 85e ').
  • publiée le 17/12/2013 à
    Il y a quarante ans (ou presque), la folle épopée de l'AS Mutzig Les Diables Blancs en rient encore

    Il y a un peu moins de quatre décennies, l'AS Mutzig décrochait son ticket pour le monde professionnel. Il ne l'honorera jamais, faute de moyens, mais les acteurs de l'épopée se souviennent avec un bonheur d'une aventure d'un autre temps.
    C'est une époque où la fiche technique des matches comportait la recette aux guichets. L'AS Mutzig a ainsi recueilli 14 470 francs en réunissant 1728 spectateurs en un match de poule finale de D3. C'est une époque où rallier le monde professionnel était comme franchir le Rubicon. À l'été 1974, les Diables Blancs ont refusé la montée en D2, version deux groupes de 18 équipes à l'époque. Si la Ligue en charge du foot pro n'avait rien trouvé à redire quant aux installations, à charge pour Mutzig de se doter d'éclairage dans l'année à venir, Marcel Brandner, le président, avait fini par dire non. Il s'agissait de réunir « une centaine de millions d'anciens francs, soit espérer une affluence de 2000 personnes en moyenne ». En 1974, le Qatar avait trois ans.

    À l'ombre de célèbres brasseries – dont le rachat par Heineken n'allait pas tarder à sonner le glas – une joyeuse bande de joueurs s'en donnait à coeur joie. Et à force de tutoyer les meilleurs dans leur groupe de D3, ils avaient donc décroché la timballe, en l'emportant face au Racing, à la Meinau.

    « Mais franchement, on n'était pas nombreux à envisager devenir professionnel, admet Michel Bossert, le buteur maison de l'époque. On était étudiant et il n'était pas question de tout lâcher pour le foot. »

    Lui était dans sa cinquième saison au club bruchois, qu'il avait rejoint sur une infidélité faite au FC Barr, présidé par son père. Avec Arsène Wenger, il montait dans la voiture conduite par l'entraîneur, Max Hild.

    Et s'organisaient les entraînements qui permettaient de tenir la dragée haute aux meilleurs clubs vosgiens, Épinal ou Vittel en tête, ou à quelques écuries argentées, à l'instar des Pierrots Vauban. L'emblématique technicien privilégiait une solidité défensive à toute épreuve.

    « Max, à qui l'on rend encore visite, même s'il n'est pas en bonne santé, était vraiment celui qui nous inspirait une capacité à nous transcender, poursuit Michel Bossert. Même s'il y avait des primes de match, de l'ordre de 250 francs, ce qui représentait une belle somme à l'époque, c'est grâce à notre état d'esprit que l'on a réussi. Il y avait un ciment entre nous. »
    « Max était celui qui nous inspirait une capacité à nous transcender »
    A priori, il ne s'est pas effrité. Les “anciens” prennent toujours autant plaisir à se retrouver. « Il faut aussi se rendre compte que tout le monde a réussi sa vie professionnelle, souligne encore Michel Bossert. Entre un Schalbert informaticien, un Zimmermann médecin, un Gemmrich devenu directeur général de la Mondiale et tous les autres, ce qui nous est arrivé est assez fabuleux. On était fier de nos couleurs, on était aussi la fierté de Mutzig. »

    La plupart n'a visiblement pas oublié. Il y a moins d'un mois, ils étaient dix-huit à se rendre à Londres, pour rendre visite à Arsène Wenger, à l'occasion d'Arsenal – Southampton. Début 2014, un pèlerinage est prévu sur la tombe de l'un des disparus, René Kuntz.

    Les uns et les autres auront l'occasion de se remémorer quelques instants d'exception. Outre le titre de D3, sans lendemain ou plutôt annonciateur d'une période moins glorieuse, l'AS Mutzig s'était aussi illustrée en Coupe de France.

    En janvier 1973, à Mulhouse, les Brasseurs éliminaient l'AJ Auxerre en 32e de finale sur un but d'Arsène Wenger avant de céder face au stade de Reims.

    Le temps de la splendeur apparaît rayonnant au regard de la galère actuelle. Mutzig cherche tant bien que mal à exister en PE. L'hymne du club paraît désormais un brin désuet : « Vert et Blanc sont nos couleurs, je les porte avec joie dans mon coeur, tout le monde peut les admirer puisque ce sont elles qui nous font triompher. » Mais si les grands clubs ne meurent jamais...
    DNA

    Comment se fait t-il que l'on ne peut pas mettre une image
  • Il faut l'insérer dans un second temps, à l'aide de l'outil "Insérer une image", la quatrième icône en partant de la gauche O:)
  • szczepaniak a écrit, le 2013-12-17 06:10:52 :
    publiée le 17/12/2013 à
    Il y a quarante ans (ou presque), la folle épopée de l'AS Mutzig Les Diables Blancs en rient encore

    Il y a un peu moins de quatre décennies, l'AS Mutzig décrochait son ticket pour le monde professionnel. Il ne l'honorera jamais, faute de moyens, mais les acteurs de l'épopée se souviennent avec un bonheur d'une aventure d'un autre temps.
    C'est une époque où la fiche technique des matches comportait la recette aux guichets. L'AS Mutzig a ainsi recueilli 14 470 francs en réunissant 1728 spectateurs en un match de poule finale de D3. C'est une époque où rallier le monde professionnel était comme franchir le Rubicon. À l'été 1974, les Diables Blancs ont refusé la montée en D2, version deux groupes de 18 équipes à l'époque. Si la Ligue en charge du foot pro n'avait rien trouvé à redire quant aux installations, à charge pour Mutzig de se doter d'éclairage dans l'année à venir, Marcel Brandner, le président, avait fini par dire non. Il s'agissait de réunir « une centaine de millions d'anciens francs, soit espérer une affluence de 2000 personnes en moyenne ». En 1974, le Qatar avait trois ans.

    À l'ombre de célèbres brasseries – dont le rachat par Heineken n'allait pas tarder à sonner le glas – une joyeuse bande de joueurs s'en donnait à coeur joie. Et à force de tutoyer les meilleurs dans leur groupe de D3, ils avaient donc décroché la timballe, en l'emportant face au Racing, à la Meinau.

    « Mais franchement, on n'était pas nombreux à envisager devenir professionnel, admet Michel Bossert, le buteur maison de l'époque. On était étudiant et il n'était pas question de tout lâcher pour le foot. »

    Lui était dans sa cinquième saison au club bruchois, qu'il avait rejoint sur une infidélité faite au FC Barr, présidé par son père. Avec Arsène Wenger, il montait dans la voiture conduite par l'entraîneur, Max Hild.

    Et s'organisaient les entraînements qui permettaient de tenir la dragée haute aux meilleurs clubs vosgiens, Épinal ou Vittel en tête, ou à quelques écuries argentées, à l'instar des Pierrots Vauban. L'emblématique technicien privilégiait une solidité défensive à toute épreuve.

    « Max, à qui l'on rend encore visite, même s'il n'est pas en bonne santé, était vraiment celui qui nous inspirait une capacité à nous transcender, poursuit Michel Bossert. Même s'il y avait des primes de match, de l'ordre de 250 francs, ce qui représentait une belle somme à l'époque, c'est grâce à notre état d'esprit que l'on a réussi. Il y avait un ciment entre nous. »
    « Max était celui qui nous inspirait une capacité à nous transcender »
    A priori, il ne s'est pas effrité. Les “anciens” prennent toujours autant plaisir à se retrouver. « Il faut aussi se rendre compte que tout le monde a réussi sa vie professionnelle, souligne encore Michel Bossert. Entre un Schalbert informaticien, un Zimmermann médecin, un Gemmrich devenu directeur général de la Mondiale et tous les autres, ce qui nous est arrivé est assez fabuleux. On était fier de nos couleurs, on était aussi la fierté de Mutzig. »

    La plupart n'a visiblement pas oublié. Il y a moins d'un mois, ils étaient dix-huit à se rendre à Londres, pour rendre visite à Arsène Wenger, à l'occasion d'Arsenal – Southampton. Début 2014, un pèlerinage est prévu sur la tombe de l'un des disparus, René Kuntz.

    Les uns et les autres auront l'occasion de se remémorer quelques instants d'exception. Outre le titre de D3, sans lendemain ou plutôt annonciateur d'une période moins glorieuse, l'AS Mutzig s'était aussi illustrée en Coupe de France.

    En janvier 1973, à Mulhouse, les Brasseurs éliminaient l'AJ Auxerre en 32e de finale sur un but d'Arsène Wenger avant de céder face au stade de Reims.

    Le temps de la splendeur apparaît rayonnant au regard de la galère actuelle. Mutzig cherche tant bien que mal à exister en PE. L'hymne du club paraît désormais un brin désuet : « Vert et Blanc sont nos couleurs, je les porte avec joie dans mon coeur, tout le monde peut les admirer puisque ce sont elles qui nous font triompher. » Mais si les grands clubs ne meurent jamais...
    DNA

    Comment se fait t-il que l'on ne peut pas mettre une image


    Merci pour toutes ces précisions.
    Extraordinaire.
    Gamin ,j'ai vécu le grandes heures de l'AS Mützig.
    Que de bons et grands souvenirs.
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