Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Ligue des Champignons

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Flux RSS 11011 messages · 815.352 lectures · Premier message par conan · Dernier message par julien-06

  • A la lumière de la performance de Messi hier soir on peut légitimement se poser la question:
    Le football est-il un sport collectif?
    Force est de constater que le présence d'un joueur d'exception est souvent décisive quant à la réussite de l'équipe.
    Hier c'était le cas avec Pele,Maradona,Zidane ,aujourd'hui avec Ronaldo et Messi et j'en oublie.
    Bien sûr cela est un brin provocateur mais dans le fond et pour pousser la réflexion n'avons -nous pas la chance de disputer un championnat où le collectif l'emporte encore sur quelques individualités!
  • Par championnat tu veux dire le championnat national (D3) ?

    Si c'est le cas tous est dis si y serais bon y serais pas en nationnal :D
    Après il y a des exceptions pour des jeunes comme Ribery avec Brest...
  • samh a écrit, le 07/05/2015 06:38 :
    Malgré un Neuer excellent en 1ère mi-temps, le Bayern a tenu 77 minutes avant de céder face à un Messi(e) stratosphérique.


    (+)

    Pour rebondir sur la réflexion d' @inter, on a failli assister au plus beau 0-0 de l'histoire, entre deux collectifs joueurs. Un élément, un petit Argentin, a fait la différence.
    Mais je persiste à croire qu'un Bayern au complet, c'est à dire avec Alaba et Robben (voire Ribéry), aurait pu "annihiler" l'avantage dont dispose le Barça avec Messi. Surtout que si c'est pour se retrouver avec des Bernat, Rafinha et autres Thiago.

    En vrac :
    - Incompréhensible que Guardiola s'obstine à présenter une défense à trois, surtout avec Rafinha en axe gauche (!), un gars qu'Heynckes faisait jouer à son poste : remplaçant. Pendant ce temps, Lahm perd son temps au milieu de terrain
    Se retrouver à 3 contre 3 face à Messi Suarez et Neymar est inconscient...
    - Zéro tir cadré côté Munich
    - Rôle décisif de Neymar sur le 1er but, qui sortit sa botte secrète - une vieille simu - le temps de désorganiser la défense. Neuer renvoie à la main sur Bernat, mauvais contrôle et le tour est joué...
    - Entrée calamiteuse de Götze, anciennement considéré comme une sorte de 'Messi allemand". Incapable de tenter un dribble face à Dani Alves.
  • Le Bayern est dans le dur c'est évident. Ils auront tenu 77 minutes parce qu'ils ont que 77% de leur équipe.
    Beaucoup trop de blessés cette année et en plus avec des joueurs majeurs. Alaba dont on ne peut même pas discuter la supériorité face à Bernat, Javi Martinez (la deuxième lame avec Schweini qui avait fait si mal au Barça il y a 2 ans), Ribery et Robben, les dynamiteurs et vraie plus value de l'équipe.

    Face à un Barça aussi sûr de son sujet et surtout ce Messi, c'était trop dur. Le retour ne sera qu'une formalité pour les catalans. Vu que les bavarois vont devoir se découvrir pour croire à quelque chose, je vois même le Barça les gifler à la maison.

    Sinon @kitl a bien résumé les choses. Neymar simule a priori, l'arbitre ne siffle pas pénalty mais n'a pas le cran de lui mettre un deuxième jaune. Et le Bayern se fait avoir comme un débutant en se déconcentrant là-dessus. Mais ce n'est pas un scandale sur l'ensemble du match. Le scandale c'est internet qui se fout de la gueule de Boateng alors que le mec a été l'un des seuls à tenir la baraque hier (avec Neuer et Muller)

    L'entrée de Götze n'est même pas le plus ahurissant, c'est le fait de sortir Müller, seul joueur du milieu à surnager. Alors que Thiago, à l'instar de tous les espagnols du Bayern disposait du totem d'immunité.
    Mais pour cracher mon fiel contre Guardiola, j'irai plutôt sur l'autre topic.
  • Après la claque prise à l'aller, victoire (3-2) du Bayern contre le Barça, pour l'honneur.. Première finale de C1 pour le club espagnol depuis 4 ans.
  • La malédiction.. du tenant du titre se poursuit en C1 avec l'élimination du Real face à la Juve qui n'aura pas volé sa qualification. Finale le 6 juin à Berlin.
  • Belles retrouvailles en finale pour Chielini et Suarez
  • Back to Berlin pour Buffon et Pirlo :x

    Même cette illégitime CL arrive à nous proposer une finale inédite et attrayante !
  • Même si le Barça et la Juve (comme en 2014) sont déjà sacrés en cette année, on constate que depuis 1998 (Real-Juve à l'époque) la finale de la C1 n'a jamais opposé deux clubs ayant remporté le titre au niveau national la saison précédente. Et pourtant on parle bien de la ligue des.... champions.
  • Un article intéressant sur la transformation de la Coupe d'Europe des Clubs Champions en Ligue des Champignons : http://latta.blog.lemonde.fr/2015/05/15/comment-la-ligue-des-champions-a-retreci-la-coupe-deurope/
    C'est vrai que ça manque, des Benfica, Ajax ou Crvena Zvezda...

    Concernant la finale de cette année, je suis historiquement un admirateur du Barça pour différentes raisons (dont la moindre n'est pas Steve Archibald) mais je crois que cette année une victoire de la Juventus me ferait bien plaisir. Il m'est en effet difficile de supporter la présence de Luis Suarez au sein d'un club qui souhaite se présenter en parangon de l'élégance et du bon goût footballistique.
    En outre, ça fait vraiment du bien de voir un club italien jouer à l'italienne, avec un vrai footballeur dedans.
  • RIP la (vraie) Coupe à Dumbo. Mine de rien, un succès de la Juve redonnerait un côté vintage... à la compétition.
  • En oubliant quelques secondes le côté "bling-bling" de la C1 version moderne et en se concentrant uniquement sur la finale, on constate qu'elle pourrait voir s'affronter deux clubs en course pour le triplé, ce qui n'a pas du arriver souvent par le passé.. Bon ce n'est pas encore fait, la Juve (ce soir) et le Barça (le 30) devant d'abord vaincre la Lazio et Bilbao en finale de la Coupe Nationale mais ça mérite d'être souligné.
  • C'est fait, reste à savoir laquelle des deux équipes réalisera le triplé (?)
  • En attendant la finale de demain, petit retour en arrière..


    Le Top 10 des plus belles finales de C1

    Une finale ne se joue pas, elle se gagne. C'est indéniable. Néanmoins, il arrive parfois que ces sommets soient aussi des sommets de jeu. Pas tous les jours, on en convient. Mais voici dix finales qui nous ont transportés. Indice : PSV Eindhoven – Benfica (1988) et Milan – Juventus (2003) n'en font pas partie.

    http://i.eurosport.com/2015/02/16/1417320-30343118-1600-900.jpg

    10. 1958 : Real Madrid - AC Milan : 3-2 (ap)

    Le Real Madrid résiste à toutes les tempêtes. L'AC Milan, en finale pour la première fois de son histoire, va s'en rendre compte. Les Rossoneri pensent même avoir réussi le coup parfait lorsqu'ils ouvrent la marque à l'heure de jeu, par le champion du monde 1950, Juan Alberto Schiaffino. A un quart d'heure du terme, les Italiens sont sur le toit de l'Europe. Di Stefano égalise. Grillo remet Milan devant. Treize minutes à jouer. Le Real finit par s'imposer 3-2 en prolongation. Intouchable.

    9. 1989 : AC Milan - Steaua Bucarest : 4-0

    C'est l'histoire d'une révolution qui avait pris corps au fil de la saison, dont le Real Madrid avait été victime en demi-finale retour (5-0), et qui s'est achevée à Barcelone face au Steaua Bucarest. Ce 24 mai, Arrigo Sacchi, entraîneur de génie, Marco van Basten et Ruud Gullit, ses bras armés, mettent l'Europe à leurs pieds. La démonstration est absolue. Deux doublés des flèches néerlandaises. Une ère vient de s'ouvrir.

    8. 2011 : FC Barcelone - Manchester United : 3-1

    Wembley ne pouvait rêver plus belle affiche. Le FC Barcelone, puissance révolutionnaire sacrée en 2009, face à Manchester United, titré en 2008, finaliste en 2009, ça a de la gueule, non ? Cette rencontre va tenir ses promesses. Surtout le Barça, d'ailleurs. Les Catalans sont infiniment supérieurs aux Mancuniens. Les hommes de Ferguson s'accrochent, égalisent à 1-1, mais les Blaugrana sont intouchables ce soir-là. Leur prestation est époustouflante.

    7. 1956 : Real Madrid - Stade de Reims : 4-3

    La première n'est pas la plus belle. Mais elle fut une publicité idéale de la Coupe d'Europe des Clubs champions naissante. Au Parc des Princes, le futur plus grand club de l'histoire, le Real Madrid, défie le meilleur club français du moment, le Stade de Reims. Match prolifique et renversant, au cours duquel les Rémois vont mener 2-0 puis 3-2. Et perdre car éreintés en fin de partie. Une forme de romantisme à la française. Déjà.

    6. 1994 : AC Milan - FC Barcelone : 4-0

    La Dream Team est une appellation d'origine contrôlée. Réservée au Team USA parti à Barcelone à la conquête des anneaux olympiques en 1992. Conquête victorieuse et écrasante des basketteurs made in NBA. Deux ans plus tard, les suiveurs du Barça croient bon d'affubler Cruyff et ses joueurs de ce sobriquet. En même temps, ça ne va pas faire un pli : le Barça flamboyant va mettre une raclée au laborieux Milan. Résultat ? 4-0… pour Milan. La démonstration est totale et l'AC Milan rappelle au monde qu'il reste la plus belle machine à gagner du carrefour des années 80-90.

    5. 1997 : Borussia Dortmund - Juventus Turin : 3-1

    En terme de niveau de jeu, Dortmund – Juventus fut et reste l'une des finales les plus emballantes de l'histoire. A Munich, le Borussia ne part pas avec les faveurs des pronostics mais le football chatoyant des hommes d'Ottmar Hitzfeld va faire dégringoler la Juve de son piédestal. Deux buts de Riedle en première période, une talonnade inspirée de Del Piero lors du second acte et un lob magique de Lars Ricken, tout juste entré en jeu, illumineront une splendide soirée de football.

    4. 1962 : Benfica - Real Madrid : 5-3

    Le nouveau patron défie l'ancien. Benfica, tenant du titre, face au Real Madrid, qui a remporté les cinq premières éditions de la Coupe des Champions, c'est un peu l'affiche rêvée. Et le spectacle sera au rendez-vous. Puskas marque deux fois. Le Real mène 2-0 après 23 minutes. Le Benfica s'imposera 5-3. Grâce à Eusebio. Deux buts en cinq minutes après l'heure de jeu. Bella Guttman partira après ce doublé européen. La malédiction peut commencer.

    3. 1960 : Real Madrid - Eintracht Francfort : 7-3

    Et 1, et 2, et 3, et 4, et 5 ! Le 18 mai à Glasgow, le Real Madrid met un point final à cinq années folles en terrassant Francfort. 7-3. La démonstration est absolue. Di Stefano y va de son triplé, Puskas de son quadruplé. A jamais unique dans l'histoire des finales de Coupe d'Europe des Clubs Champions. La perfection n'est pas de ce monde, a-t-on coutume de dire. Le temps d’une soirée, Ferenc Puskas et ses copains ont démontré le contraire.

    2. 1999 : Manchester United - Bayern Munich : 2-1

    Des promesses. Longtemps non tenues. Et un dernier quart d'heure de légende. 1999, ou l'autre finale la plus renversante de l'histoire de la Ligue des champions. Depuis 1987, l'équipe qui a ouvert le score a toujours gagné la C1. Le Bayern, qui avait été piégé par Porto à Vienne, le sait. Et pourtant... Basler a mis les Bavarois sur la voie en début de match. Scholl et Jancker touchent du bois. Et puis, le miracle rouge. Deux corners de David Beckham. Deux buts signés Sheringham et Solskjear. "Football, bloody hell !"

    1. 2005 : Liverpool - Milan : 3-3 (3 tab à 2)

    C'est l'histoire d'une soirée lunaire, hors du temps. D'une finale comme on n'en verra pas d'autre d'ici 2050, au minimum. L'histoire d'un club, implacable comme l'AC Milan, qui menait 3-0 à la mi-temps et qui, en six minutes, s'est complètement fait retourner par des petits bonshommes rouges venus de Liverpool. 3-3. Tirs au but. Jerzy Dudek qui se prend pour Bruce Grobelaar et les Reds décrochent une cinquième C1. Surréaliste. A jamais.

    (Eurosport.com)
  • La Juve y aura cru en deuxième période mais au final c'est le Barça qui soulève sa cinquième Coupe aux grandes oreilles, rejoignant ainsi le Bayern et Liverpool au palmarès de la C1, derrière le Milan (7) et surtout le Real (10). On notera également que Barcelone remporte la compétition pour la quatrième fois en neuf ans.


    http://i.eurosport.com/2015/06/06/1608082-34159070-1600-900.jpg
  • Cette fin de saison est décidément merdique à tous points de vue.
  • Merci à L'Equipe qui indiquait hier en une que le match commençait à 21 heures...
    Faut se relire des fois :-w

    Sinon, un Messi aux tatouages hideux, une brute raciste et un Brésilien à crête : qu'on-t-il fait de mon Barça ? :(
  • Heureusement que le Barca était interdit de recrutement........
  • Appel suspensif, tout ça... On reste dans un état de droit.

    Sinon, l'anecdote rigolote c'est qu'Arsenal recevra une prime de 4 millions d'Euros pour le transfert de Vermaelen, qui avait une clause de victoire en C1, alors qu'il n'a joué qu'une cinquantaine de minutes cette saison...
  • bofbof2004 a écrit, le 07/06/2015 11:02 :
    Cette fin de saison est décidément merdique


    Maudit stade olympique de Berlin...
  • J'aime pas beaucoup le Barça, et la Juve doit être l'un des clubs que je déteste le plus...
    Donc objectivement, le football a gagné.
  • Club qui par le passé a permis à Platini et Zidane de franchir un cap. Aucun supporter français ne s'en est plaint en 84, 98 et 2000..
  • Et la médecine sportive à également franchi un cap, merci à la vieille Dame !

    Sans parler des bénéfices de la mafia locale qui ont également explosé :D
  • Que tu n'apprécies pas ce club ne change rien au fait que le football français lui doit beaucoup..
  • Pas plus qu'à l'AS Nancy ou l'AS Cannes.

    Et puis on parle de joueurs tellement énormes qu'il aurait progressé dans n'importe quel grand club européen.
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