[2008-2009] Boulogne - RCS | Avant-match
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raph6710Si la perspective de la Ligue 1 a pour mérite de remotiver Paisley, et par la même occas son pote Ducrocq, alors y a une réelle chance que ça tienne derrière :p
Szelesi vous avez dit ? Le gars que le Racing ne fait plus jouer, qui va sans aucun doute partir et qui n'en a un peu plus rien à foutre surement ?
Je pense qu'il faudra penser à repositionner Lacour arrière droit si ça ne va pas, de faire descendre Bah pour épauler Cohade, et de mettre Bezzaz à gauche.
Connaisseurs de Boulogne (bluefever67 ?), une compo probable pour eux ? -
raph6710 a écrit : Je pense qu'il faudra penser à repositionner Lacour arrière droit si ça ne va pas, de faire descendre Bah pour épauler Cohade, et de mettre Bezzaz à gauche.
Oui je suis d'accord avec toi la dessus mais bon faut faire confiance au coach
Mais c'est vrai que je mettrais Lacour à droite aussi.
Mais bon faut croire en eux quand méme. J'éspére que cette défense la, va nous sortir le meilleurs match de sa saison... O:)
Avec un but de Szelesi :)) -
raph6710 a écrit, le 2009-05-17 15:02:21 : Si la perspective de la Ligue 1 a pour mérite de remotiver Paisley, et par la même occas son pote Ducrocq, alors y a une réelle chance que ça tienne derrière :p
Szelesi vous avez dit ? Le gars que le Racing ne fait plus jouer, qui va sans aucun doute partir et qui n'en a un peu plus rien à foutre surement ?
Je pense qu'il faudra penser à repositionner Lacour arrière droit si ça ne va pas, de faire descendre Bah pour épauler Cohade, et de mettre Bezzaz à gauche.
Connaisseurs de Boulogne (bluefever67 ?), une compo probable pour eux ?
Connaisseur est un grand mot !
Pas de compo d'annoncée sur les sites boulonnais, alors je m'en tiens, comme vous autres, à la compo des DNA qui est la suivante...
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mickael67e a écrit, le 2009-05-16 12:06:38 : Le forfait de Blayac n'est pas une mauvaise nouvelle car au match aller il était meilleur que Thil et plus remuant devant encore.
Enfin Blayac ça fait un moment qu'il est absent, il est blessé depuis la 28ème journée et Devaux l'a parfaitement remplacé en attaque depuis. -
La Libération à 18
Jean-Marc Furlan qui s'en tiendra a priori à la composition annonée samedi ("L'Alsace d'hier) a emmené 18 joueurs hier soir à Boulogne. En principe Frank Dja Djedje et le Brésilien Rômulo ne figureront pas sur la feuille de match. Absent des terrains professionnels depuis sa fracture du péroné droit le 7 novembre contre Tours, Quentin Othon réintègre les 16 après un passage par la case CFA. A Boulogne, Philippe Montanier a gardé 17 joueurs sous pression, avec une petite surprise à la clé: Steven Mouyokolo, opéré du genou début mars, en fait partie. Mais le défenseur, déjà vendu à Hull City n'est pas sûr d'apparaître sur la feuille.
Brignoni a été secoué
C'était le 22 décembre. Pour la 18e journée, la dernière avant Noel, le Racing qui restait sur trois matches sans victoire (2 défaites, un nul) s'imposait sur le plus petit des scores devant Boulogne grâce à un penalty d'Emil Gargorov à la 47e. Grâce, surtout, à une main tout aussi volontaire qu'inutile du défenseur brésilien Jonas Brignoni dans sa surface de réparation. Une faute à l'origine du penalty décisif que le Sud-Américain a eu du mal à digérer. "Ca l'a beaucoup touché et il a eu du mal à s'en remettre" témoigne son entraîneur Philippe Montanier. "Personne n'a compris ce qui lui est passé par la tête, lui le premier."
L'Alsace -
Au stade de la libération
En déplacement chez l'une des grosses surprises de la saison en L 2, Boulogne, pour le baisser de rideau de la 36e journée, le Racing a l'occasion de frapper un coup fatal et décisif dans sa quête de remontée. Ce soir, les Bleus peuvent définitivement se libérer.
Deux anciens vilains petits canards, en concurrence pour le tableau des médailles à trois semaines de la remise des diplômes, s'affrontent ce soir. L'un d'eux est Alsacien. Il s'efforce depuis onze mois de réparer les effets d'une pathétique série aux allures de crack économique et surfe sur une dynamique pleine de promesses.
Le Racing ne serait pas
loin d'initier un sensible
déclin en demeurant en L 2
Le Racing est à Boulogne pour poursuivre sur le chemin de sa Rédemption. Au regard de la - faible - capacité d'un stade de la Libération plein comme un oeuf et des impératifs télévisuels qui imposent le lundi pour l'organisation des sommets de la L 2, la plupart des suiveurs du club alsacien seront tranquillement assis dans leur canapé. Ils se permettront peut-être une bière. Ils s'inscriront sans le savoir dans une thématique à la mode.
On ne cesse de parler de pression ces temps-ci. Elle concerne les championnats hexagonaux et d'Europe. Cela n'a rien d'illogique. L'heure des verdicts approche et les bancs s'agitent. Les joueurs commencent à penser à demain, c'est-à-dire à la saison prochaine. Et sous le poids des responsabilités, à l'échelle de la L 2, Metz est, par exemple, en train de craquer.
Vu d'ici, c'est une bonne nouvelle. Il reste que des positions extrêmement rapprochées de la cave comme au plafond maintiennent un énorme lot d'incertitudes, quasi-historique. « Ce que l'on vit en ce moment, ce n'est pas l'angoisse du maintien qui est abominable, considère Furlan. La pression est positive. »
Peut-être. Mais l'échec dans la remontée correspondrait peu ou prou à une descente. Il constituerait une entaille majeure dans le statut de Strasbourg balle au pied. Cinq fois dans l'ascenseur en huit ans, le Racing ne serait pas loin d'initier un sensible déclin en demeurant à l'étage inférieur.
Tout à l'heure, il s'agira de se coltiner une bande de miraculés. Relégué en National jusqu'à la dernière minute de leur ultime match de la saison écoulée, Boulogne aura servi une sauce épicée pour fêter son maintien en L 2 depuis.
Emmenée par le redoutable Grégory Thil, meilleur buteur du championnat (16), l'équipe de Philippe Montanier a l'ultime occasion de transformer l'épatant en incroyable. L'USBCO en L 1 en août prochain, ce serait un peu l'organisation d'un congrès d'albinos sur les plages d'Ibiza.
Pour s'offrir une balle
de match face à Reims
Mais la possibilité existe. Elle est réelle. A cinq points de leurs invités du jour, comme du podium, les hommes de la Côte d'Opale y croient encore. Et Jean-Marc Furlan, sans hypocrisie, admet qu'ils ont bien raison : « C'est une équipe joueuse qui a de vrais atouts. Au match aller (ndlr : 1-0), ils nous avaient bougés. S'ils refont le même match, cela s'annonce très compliqué. »
En l'absence de deux gros gabarits (voir ci-dessous), le Racing serait bien inspiré de faire illusion sur le terrain athlétique pour faire la différence là où il excelle : dans une capacité à préparer ses offensives par petites touches et sa faculté ponctuelle à être tranchant.
En prolongeant la série de victoires entamée face à Guingamp et entretenue contre Amiens, Lacour et les siens se retrouveraient en position de force. En l'emportant, ils s'offriraient une balle de match face à Reims dans cinq jours, à deux matches de la fin.
« Être là au début, être là à la fin (d'un championnat) », constitue l'une des maximes préférées d'un entraîneur qui s'est gaufré dans son application il y a un an.
Dans une historique série de onze défaites, il n'y avait plus personne à la fin, au printemps 2008. Il s'avère impératif que le Racing soit là et bien là un an après. On est à la fin du film, toujours plus proche de la fin. Le happy end est conditionné par un comportement irréprochable ce soir.
François Namur
Source: DNA -
François Namur a écrit : L'USBCO en L 1 en août prochain, ce serait un peu l'organisation d'un congrès d'albinos sur les plages d'Ibiza.
ça doit être de la bonne qu'il prend
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Guillaume Lacour et Mamadou Bah ont l'occasion de faire le break ce soir à Boulogne. -
Ce message est une brève publiée sur le portail.
Le groupe boulonnais: Bédénik, Lecointe, Périnelle, Lachor, Rabuel, Devaux, Ramaré, Touré, Marcq, Cuvillier, Thill, Bague, N'Diaye, Sane, Brignoni, N'Dong, Mouyokolo.
Source: L'Alsace -
à noter que le stub était le premier sur les jeux de mots avec libération
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Pas de traoré devant ?!
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"En rouge et noir, j'exilerai ma peur..."
"... J'irai plus haut que ces montagnes de douleur" chantait Jeanne Mas en 1986. Quiconque sait lire entre les lignes (ou écouter entre les paroles) y aura vu un clin d'oeil visionnaire au match de ce lundi 17 mai.
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Boulogne - RCS, la revue de web d'avant match
Le Racing pourrait faire un grand pas vers la terre promise ce soir en empochant les trois points à Boulogne. Néanmoins, méfiance, car les Boulonnais jouent eux leur dernière carte en vue de la montée...
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Le mac'carthy ou le frog in pour voir les matchs à Stras, ca le fait ?
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Balle de break
En l'emportant à Boulogne ce soir (20 h 30) en match décalé de la 36e journée, le RCS s'offrirait, à deux rencontres de la fin, une marge de cinq points sur le 4e et accomplirait un pas sans doute décisif vers la Ligue 1.
On peut parfois réaliser une meilleure opération sans jouer qu'en jouant. Le Racing l'a encore vérifié à son profit vendredi en laissant ses rivaux pour l'accession s'essouffler en ouverture de la 36e journée de L 2. Montpellier s'est certes imposé 2-1 face à Ajaccio, lui chipant le fauteuil de dauphin. Mais Metz, qui n'avance plus (5 nuls, 1 défaite en 6 matches) et a encore été tenu en échec par le relégable Troyes à Saint-Symphorien (1-1), et Tours, freiné chez un autre relégable, Reims (0-0), ont lâché du lest.
« Quoi qu'il arrive, nous resterons 3es »
Du coup, le RCS aborde son déplacement de ce soir (20 h 30) à Boulogne avec 2 points d'avance sur la 4e place toujours détenue par les Lorrains. Et il n'est nul besoin de sortir de polytechnique pour calculer le bénéfice qu'il pourrait tirer de son avant-dernier voyage de la saison.
S'il remportait son 7e succès à l'extérieur, le bien nommé stade boulonnais deviendrait celui de la Libération ou presque pour les Bleus. Certes, avec un matelas de 5 points à deux journées de la fin, leur montée en L 1 ne serait pas officielle. Mais après une gestation difficile d'un peu plus de 9 mois, l'accouchement et le bébé se présenteraient bien. « Nous avons nos chances entre nos mains », n'ignore pas un Jean-Marc Furlan jamais aussi attentif aux résultats de ses adversaires qu'en cette fin de saison. « Parce que c'est là que tout se décide », justifie-t-il. « Quoi qu'il arrive à Boulogne, face à un adversaire qui jouera son va-tout, nous resterons 3es. Mais un nul ou une victoire nous rapprocherait de l'objectif. C'est mon métier de le répéter aux gars. Mais ils savent compter et connaissent les enjeux. »
Boulogne aussi, conscient qu'il abattra tout à l'heure, dans un stade où il n'a pas toujours été souverain (9 victoires, 2 nuls, mais aussi 6 défaites et 22 points sur 51 lâchés), sa dernière carte. Il y reste sur un échec contre Ajaccio (0-1) suivi d'un revers 3-1 à Tours. Ces deux défaites ont largement altéré les chances d'accession d'une US Boulogne Côte d'Opale qu'une série record de six succès venait pourtant de replacer dans le jeu. « L'échec contre Ajaccio nous a fait très mal », confie le capitaine « ch'ti » Grégory Thil. « Mais je suis encore plein d'espoir. Il nous faut bien négocier ce premier match contre Strasbourg pour que les deux derniers gardent un enjeu. Il faut le gagner, c'est tout.»
De son côté, le Racing, « nanti » de 5 points de plus que son hôte, aborde ce déplacement plus libéré que les précédents. Avec une certaine prudence aussi, guidée par la perméabilité de sa défense hors de ses bases. « Depuis le début des matches retour, nous sommes premiers à l'extérieur (14 points, comme Lens), mais nous avons toujours tout à prouver sur le plan défensif (1)», a d'ailleurs insisté l'entraîneur auprès de ses hommes hier après-midi. JMF ne cherche cependant pas à noircir exagérément le tableau avant un match où son équipe pourrait décrocher le jackpot. « Je ressens beaucoup moins d'angoisse qu'en janvier ou février quand personne ne croyait que nous en serions là aujourd'hui », admet-il sans se départir de la réserve qu'il n'a jamais cessé d'afficher, « Mais nous n'avons pas encore réussi notre pari. Nous ne sommes pas au bout. Tant que nous n'y serons pas, je ne danserai pas sur la table. »
A défaut de danser, garder le rythme en soirée suffirait à son bonheur et celui de ses joueurs.
(1) Le quatuor défensif aligné ce soir (voir infographie) a, lors de ses trois précédents déplacements, subi autant de défaites (3-2 à Metz, 4-1 à Reims et Lens) et concédé 11 buts.
Suspendu : Pelé (Strasbourg).
Absents : à Boulogne, Blayac (bras), Koné (poignet), Ducatel (reprise), Kinkela (genou), Vandenbossche (adducteurs), Andriatsima, Voavy, Labbé (choix de l'entraîneur); à Strasbourg, Shereni (cuisse), Gargorov (cuisse), Correia (genou), Rômulo (pubis), Kébé (tendinite), Gueye (sélection), Dja Djedje, Damour, Ekwe-Ebélé, Schneider, N'Djama, Barrabes, Bergueira, Klein (choix de l'entraîneur).
L'Alsace -
Thil « bute » en série
Buteur record du National en 2006-2007 (31 buts), 2e buteur de L 2 en 2007-2008 (16), en tête des goleadors cette saison (16), le capitaine boulonnais sera à surveiller comme le lait sur le feu.
Comme son club, il a connu un coup de moins bien. Mais Grégory Thil est en pleine bourre depuis début avril. Auteur de 7 buts et 1 passe décisive lors des 6 dernières journées, le capitaine de l'USBCO a détrôné le Colombien de Montpellier, Montano, en tête du classement des buteurs de L 2. Avec 16 buts, il a égalé son score de 2007-2008 et, en l'absence de Jérémy Blayac, constitue le danger n°1 du club de la Côte d'Opale. Au point d'être plus que jamais suivi par des clubs de L 1, alors qu'il a prolongé l'an passé jusqu'en 2012.
Parmi les candidats à son acquisition, le Racing figure toujours en bonne place. À l'été 2008, puis au mercato d'hiver, le président Philippe Ginestet a tout fait pour l'attirer en Alsace. Mais Boulogne n'a pas voulu le lâcher. « Avec le président du Racing, nous sommes en contact depuis l'été passé et n'avons pas de mauvaises relations (rires) », glisse malicieusement l'intéressé. « Je vais tout faire pour terminer meilleur buteur et aider Boulogne à finir le plus haut possible. Avec mon club, nous avons des ambitions communes. Le podium reste un objectif. Je ne vois pas plus loin que ça. »
Il ne voit même pas au-delà de Boulogne Racing. Car il sait que l'USBCO, désormais 6e à 5 points de la 3e marche occupée par le RCS, n'a plus de joker. « Il faut gagner pour se rapprocher des autres. C'est notre dernière chance. Pour nous, chaque match est décisif. Nous ferons les comptes à la fin. »
Même si l'USBCO, sauvée des eaux à la dernière seconde l'an dernier, n'escomptait pas au départ se mêler à la lutte pour l'accession, son capitaine reconnaît que « l'appétit est venu en mangeant. » Malgré les deux revers contre Ajaccio (0-1) et à Tours (3-1), cet appétit n'est pas rassasié. Celui du « serial » buteur non plus.
L'Alsace -
Putain, qu'est ce que c'est long comme attente
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D'après les DNA, Romulo figure dans le groupe de ce soir et pourrait même postuler à une place sur le banc
! :))
Je comprend plus rien avec cette histoire "Romulo" -
Qu'est ce que j'aimerais le voir sous notre maillot l'année prochaine si ils perdent ce soir!
NDLR: si ils ne perdent pas aussi! O:) -
Euh c'est pas écrit dans le marbre, c'est juste la compo que je propose dans mon article. Mais elle n'a aucun fondement fiable...
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Pauvre Racing sans défense !
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J'aurais preferé voir Bezzaz à gauche.racing67400 a écrit, le 2009-05-18 12:55:50 : cyrius a écrit, le 2009-05-18 10:53:19 :
Non du tout ! On aura ça :
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Tu sais JM, t'es pas obligé de citer ce gros truc pour simplement dire une simple et unique phrase, sans explications !
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