Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Luzenac AP

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Flux RSS 563 messages · 204.987 lectures · Premier message par racing2009 · Dernier message par guigues

  • Et a Lens ou a VA, tout colle d'aprés toi ?
  • Tu sais, Lens et VA ne sont pas au fin fond de l'Afrique ou du désert de Gobi ou d'Atacama ou dans une vallée perdue de l'Himalaya. Moyennant finances, et crois moi ils savent y faire (bonjour Jean-Louis....), Henkel livre aussi à Valenciennes et Lens.
    Henkel, ce n'est pas que Uhu, Pritt, Ponal et Pattex, ce sont des dizaines de colles très fortes pour l'industrie y compris automobile et spatiale.

    Espérant avoir répondu à ta question avant déconnexion.....
  • La chose qui m'interpelle le plus, c'est que dès leur ascension, les dirigeants de Luzenac doutaient déjà de la validation de leur montée avant même leur passage à la DNCG.

    Ils avaient anticipé le complot, ou ils savaient simplement que leur dossier était bidon et commençaient déjà leur stratégie de victimisation ?

    La seule bonne chose reste que ça nous a, au moins, été profitable.
  • Dans cette histoire floue personne ne semble très net. Luzenac devait savoir que pour que ça passe il leur fallait un passe-droit qu'il n'auraient sans doute pas mais que la DNCG et la ligue on accordé par le passé à pas mal de clubs au gré des arrangements ou des chantages abondamment cités dans les pages de ce topic. Le simple fait que Furiani ait hébergé des matchs de haut niveau pendant des années montre combien les règles peuvent être à géométrie variable mais dans cet intersaison, avec les cas d'école Lens et VA (+la gestion du cas Sochaux en dommage collatéral) la brèche était grande ouverte pour permettre à Luzenac de masquer les faiblesses probables de son dossier en poussant la Ligue à la faute. Le pari était suicidaire dans la mesure où ils ne sont pas inscrit en National dans les temps mais il me semble qu'il ait réussi au prix d'une grosse mise en risque de tous les salariés du club.

    Si Luzenac disparait, pour les gens, la Ligue et la DNCG auront laissé crever le club d'un département qui avait gagné son ticket pour le professionnalisme sur le terrain. Et ce pour une question de stade sans que rien ne soit fait du côté des instances pour trouver des solutions d'accompagnement. C'est ce que retiendront les gens. Peut-être que ça n'empêche pas de dormir les pontes du foot français mais c'est une défaite qui fait mal et qui arrive à un sale moment. Le plus raisonnable pour la Ligue serait maintenant de se montrer conciliant et d'intégrer vite fait Luzenac dans une D2 à 21 tant que ça ne fout pas trop le bordel. Ca reste un accroc acceptable à leurs principes et ça évitera peut-être une commission parlementaire ou un truc de ce genre qui ne fait jamais plaisir. Ca a très peu de chance d'advenir, même dans l'hypothèse où la ligue s'entête, faut le reconnaitre; Le dossier Luzenac n'est que le 3ème de la pile en ce moment sous celui du VA sauvé par Borloo, on ne comprend pas trop comment et de Lens avec son mix explosif "investisseur louche/dirigeants grolandais/arrières plans politiques". Mais bon si la ligue est prudente, elle laissera Luzenac s'amuser un peu en Ligue 2 juste parce que le dossier peut traîner en longueur et devenir un abcès.

    Formons donc juste pour le délire l'hypothèse que Luzenac ait été saqué par la DNCG et/ou la Ligue pour sauver Chateauroux et Strasbourg dans une sorte d'esprit de concorde et d'intérêts de corps bien compris. C'est quasi indémontrable (je veux dire même pas par un enquête journalistique ou godinesque) et à la limite on s'en fout. Mais j'espère juste que nous en avons pas fait trop au niveau du club pour forcer la destin, au cas ou on en parlerait à propose Luzenac...

    http://www.crossknowledge.com//newsletter/FR/img/fontanel-luzenac.jpg
  • Dans cette histoire, je vois des glands partout. La Ligue, mais ça on le savait. Et du côté de Luzenac, des dirigeants mal conseillé, mal préparé, qui préfèrent se victimiser plutôt que de bosser à fond. Le dossier du stade finalisé plus d'un mois trop tard est quand même un sacré exemple de l'amateurisme de ce club ... et je dis ça sans méchanceté. C'est un club amateur. Ils ne sont pas à la hauteur de cette marche (que les orléanais ont su monté, eux). Un peu comme Raon qui n'était pas taillé pour accueillir un certain événement mais qui n'a jamais voulu l'admettre O:)
    roquettesyntaxe a écrit, le 15/08/2014 19:32 :
    Si Luzenac disparait, pour les gens, la Ligue et la DNCG auront laissé crever le club d'un département qui avait gagné son ticket pour le professionnalisme sur le terrain.

    Tu t'emballes un peu là. Luzenac n'est le club d'aucun département, Luzenac n'est le club de personne. Tout le monde s'en tape de ce club.On aurait tendance à penser le contraire à force d'entendre les représentants du LAP marteler leurs discours un peu partout, mais il faut en être contient : ce club n'intéressait personne il y a 3 mois, il n'intéressera plus personne dans quelques semaines. Ca n'excuse pas les écarts des instances du foot. Mais ça aide à relativiser les soutiens aussi nombreux qu'insignifiant qui arrivent de partout depuis quelques temps.
  • Et puis c'est typiquement français, a savoir que chez nous on aime quand David se bat contre Goliath !
    Aprés, tu as raison, Luzenac tout le monde s'en fout mais voir la LFP se retrouver dans la panade aprés tous les coups de jarnac de l'inter saison, ça c'est plutot sympa....
  • Le LAP ne se laisse pas faire

    Hier matin, les supporters ariégeois ont dû être, une nouvelle fois, refroidis. Malgré le nouveau soutien de l'UNFP ou de l'Unecatef (voir notre édition d'hier) au Luzenac AP, Jean-Pierre Louvel, président de l'Union des clubs professionnels, en a rajouté une couche hier matin chez nos confrères de L'Équipe : «Revoir notre position ? Non, je ne le crois pas car il y avait des délais pour présenter un dossier conforme. Aujourd'hui, on revient et on dit ‘'On s'est mis en règle''. C'est trop tard. Les dirigeants n'avaient qu'à travailler avant plutôt que de faire des recours et de pleurer dans les chaumières.» Selon les dirigeants ariégeois, les délais évoqués n'existent pas en droit. Même au-delà de la 4e journée, le LAP peut faire valoir ses arguments. Des dirigeants luzenaciens qui préfèrent peaufiner leur dossier que de se répandre médiatiquement. Les avocats du club ont attendu un geste de la LFP. Il n'est pas venu. Le référé au tribunal administratif de Toulouse a été déposé hier (avec la demande d'une nouvelle réunion du conseil d'administration de la LFP et la suspension du championnat) dans la foulée de la saisine du CNOSF. Tout se jouera donc la semaine prochaine à moins qu'un avis favorable du CNOSF ne vienne obliger la LFP à réviser sa position. Une LFP qui joue une carte importante. La décision de son conseil d'administration a été prise à «l'unanimité des 24 membres présents ou représentés.» Or, dans un communiqué, l'Unecatef, qui a deux représentants au CA, précise que «Raymond Domenech n'était ni présent ni représenté et Pierre Repellini a plaidé la cause de l'accession en Ligue 2» tout en ajoutant «les conditions de sécurité n' étant pas réunies, le CA de la LFP a refusé logiquement la montée.»

    La 4e journée se jouera-t-elle?

    Claude Michy (président de Clermont, L2) est le représentant des clubs de Ligue 2 au CA (avec le président d'Angers et celui de Caen). Il a voté contre, assume et explique. «C'est un dossier délicat. Il faut faire confiance aux règles même si je respecte les démarches du club de Luzenac.» Il défend l'honnêteté. «Les gens qui dirigent la Ligue sont honnêtes et respectueux des règles. Je le répète, c'est délicat. C'est sans doute mal ficelé des deux côtés.» S'il avoue que «la Ligue a certainement mal communiqué», Claude Michy explique également qu'il a voté avec les éléments qu'il avait en sa possession. «On ne connaissait pas l'accord qu'il y avait avec Ernest Wallon. Il n'était pas en possession de la Ligue.» Le LAP dit le contraire et affirme que le protocole d'accord était dans le dossier. «Avec les éléments qu'on avait, on a pris notre décision en notre âme et conscience. Il y en a qui ont fait les choses. C'est un dossier passionnel et irrationnel. C'est une triste histoire car Luzenac a gagné sa place sur le terrain.» La suite ? «On dépend de la Ligue. Elle décidera de ce qu'elle a à faire. Moi, je porte la voix de l'ensemble des clubs.» Et ils ont dit non au LAP. Ont-ils, ce matin, tous la même opinion au vu des nouveaux éléments? Y aura-t-il un nouveau conseil d'administration ou le tribunal devra-t-il trancher? Tout reste ouvert. Martin Malvy (président du conseil régional Midi-Pyrénées) a recontacté le président Thiriez par courrier : «Le maire de Toulouse m'a informé directement que les obstacles étaient levés. Je reviens donc vers vous, le calendrier permettant encore une décision favorable et les grands clubs toulousains ayant fait le nécessaire pour que le LAP puisse répondre aux exigences de la Ligue. Le club envisageait – en désespoir de cause - de déposer un référé devant le tribunal administratif de Toulouse. Certes le sport nécessite l'arbitrage. Mais sur le terrain et non lorsqu'il s'agit de mettre en application le résultat acquis sans contestation dans la compétition.» Les joueurs du LAP (voir par ailleurs) demandent à ce que les choses soient enfin clarifiées. Le District de l'Ariège lie sa survie à celle du LAP. Les élus ariégeois (voir encadré) soutiennent sans mesure le LAP. Ce soir, la 3e journée de Ligue 2 se jouera sans le LAP. La 4e est encore très floue. Avec le LAP? Sans le LAP? Suspendue ou reportée?

    Les élus ariégeois dans le combat
    Lettre ouverte au président de la Ligue professionnelle de football.

    «Nous, élus de l'Ariège, Jean-Pierre Bel président du Sénat, Augustin Bonrepaux, p résident du conseil général, Frédérique Massat et Alain Fauré, députés, nous nous sommes pleinement investis dans le projet de développement du LAP et sa situation actuelle nous amènent à prendre contact avec vous afin de connaître les solutions que vous souhaitez apporter à ce dossier. Le Luzenac Ariège Pyrénées a acquis sportivement son droit d'accession à la Ligue 2 en mai dernier et au nom des valeurs que vous prônez sur l'éthique sportive, il nous semble important que ce dossier puisse aboutir positivement en permettant à une équipe de football amateur de rejoindre le cercle fermé du monde professionnel. En effet, nous avons travaillé activement avec les dirigeants du club, afin qu'ils puissent présenter lors de la commission d'appel du mercredi 6 août des garanties administratives et financières suffisantes pour leur permettre l'accès à la Ligue 2 . Si la DNCG a validé ces éléments, il semblerait que le stade d'accueil reste problématique . Nous avons organisé en présence du président du conseil régional de Midi-Pyrénées, Martin Malvy, M. le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc et les dirigeants du LAP, une réunion pour finaliser les accords passés avec les Amis du Stade Toulousain. Ces derniers ont bien confirmé la possibilité et les conditions de la mise à disposition du stade Ernest Wallon. Les travaux de mises aux normes FFF et LFP sont prêts à être engagés sur ce stade. Pendant toute la durée des travaux, M. le Maire de Toulouse a confirmé la mise à disposition du Stadium de Toulouse qui accueille aujourd'hui les matchs de Ligue 1 du TFC. Ces nouveaux éléments nous paraissent être de nature à vous permettre d‘étudier une nouvelle fois ce dossier avec la plus grande attention. De plus, le conseil général de l'Ariège et les parlementaires ariégeois, au nom de la solidarité et dans un souci d'apaisement souhaitent réaffirmer leur volonté d'accompagner le LAP dans sa démarche et dans son développement en lui donnant de réelles chances d'évoluer à ce niveau.

    En espérant, avoir apporté les informations nécessaires à la révision de la décision de la LPF et dans l'attente de votre retour, nous vous prions d'agréer, M. le Président, nos salutations distinguées.»

    LA DEPECHE
  • Des dirigeants luzenaciens qui préfèrent peaufiner leur dossier que de se répandre médiatiquement.

    :)) :))
  • Je pense que l'influence des élus de l'Ariège dans ce dossier peut être mesuré par un chiffre extrêmement proche de zéro.
    Si le LAP est intégré en L2, j'attends avec impatience "l'impatience" de la municipalité de Toulouse devant les travaux du stade Wallon qui n'auront toujours pas commencé ou qui auront pris du retard faute de paiement.
    Le LAP veut jouer dans la cour des grands mais ils n'en ont pas les moyens.
  • "Rien ne s'oppose à ce que Luzenac joue en Ligue 2", selon le secrétaire d'Etat aux Sports

    - "Rien ne s'oppose à ce que Luzenac joue en Ligue 2", a assuré ce lundi Thierry Braillard, le secrétaire d'Etat aux Sports sur France Info.

    Interrogé sur le cas du club ariégeois privé de montée en Ligue 2 par la Ligue de football professionnel (LFP), le secrétaire d'Etat a dénoncé l'hypocrisie de l'instance organisant les championnats professionnels en France (Ligue 1, et Ligue 2), ainsi que la Coupe de la Ligue. "Luzenac aurait dû avoir sa place en L2, a estimé Thierry Braillard. Il y a une hypocrisie: soit la Ligue de football professionnel (LFP) veut une ligue fermée pour les pros, avec 18 clubs et une seule montée par an -- ce qui serait aller au bout de la logique -- soit elle défend l'intérêt sportif et alors on ne peut pas reprocher à des clubs amateurs de se comporter comme des amateurs. Il faudrait les accompagner vers le monde professionnel", a-t-il ajouté.

    "Il faut être équitable, a-t-il poursuivi. Pour Lens, on a dit 'pas de problème, il y a la parole d'Amiens (pour jouer dans ce stade, ndlr)'. Pour Luzenac, on dit 'il y a un problème', alors qu'il y a la parole du Stade Toulousain. Il faut faire confiance à la parole publique du Conseil général de l'Ariège et de la mairie de Toulouse". "La LFP a fait son travail, a pris sa décision, et a le dernier mot, a souligné le secrétaire d'Etat. Mais quand la DNCG (gendarme financier) a, en appel, dit que le dossier financier était acceptable, on ne s'attendait pas à ce qu'on ressorte l'histoire du stade".

    Inadmissible que Luzenac ne joue dans aucun championnat

    "Sur le cas de Luzenac, à titre personnel, j'aurais aimé que Luzenac joue en Ligue 2, a expliqué Thierry Braillard. Si c'est encore possible, que ça se passe. Avec du retard, ils ont fait ce qu'il fallait sur le plan financier et des infrastructures. Aujourd'hui, rien ne s'oppose à ce que Luzenac joue en Ligue 2. La décision n'appartient pas au ministre. Il y a des recours en cours. La décision du CNOSF ce lundi et peut-être le tribunal administratif. La Ligue a pris une décision. Au moment ou on parle, Luzenac ne joue dans aucun championnat. C'est une situation inadmissible qu'il ne faut pas, dans un sens ou dans l'autre, laisser en l'état."

    Selon le secrétaire d'Etat, le dossier Luzenac rejoint "ce que dit François Hollande quand il parle de choc de simplification". "Il va falloir qu'on se réunisse avec le monde pro, pas seulement le foot, mais aussi le rugby, le hand, le volley, le basket-ball, pour simplifier les procédures de contentieux", a préconisé Thierry Braillard. "C'est insupportable de voir le nombre de recours, a-t-il déploré. Même si les clubs gagnent à la fin, il n'y a plus le temps de préparer la saison. Il faudrait peut-être spécialiser un tribunal administratif qui serait alors compétent pour traiter les recours."

    "En tant que secrétaire d'Etat, quand la LFP prend sa décision, je n'ai pas le pouvoir de faire changer les choses, mais à titre personnel, je pense qu'il faut se servir de ce qui s'est passé avec Lens et Luzenac, pour une simplification dans les recours et contentieux", a-t-il conclu.

    Deuxième du championnat de National la saison dernière, le Luzenac AP avait gagné sur le terrain sa place en Ligue 2. Sa montée a d'abord été refusée pour critères financiers, avant que le club n'obtienne gain de cause sur ce plan. Puis, dernier obstacle, la LFP a refusé l'accession au motif que les Ariégeois ne disposaient pas d'un stade "aux normes réglementaires de sécurité", alors que Luzenac avait trouvé une enceinte pour accueillir ses matches à domicile : le stade Ernest-Wallon, l'antre du Stade Toulousain.

    Jeudi dernier, le club ariégeois a annoncé avoir saisi à nouveau le CNOSF et la justice administrative.

    LA DEPECHE
  • Dommage que ce monsieur ne soit pas secrétaire d'Etat aux Sports
  • Ben si, il est bien secrétaire d'état aux sports !
  • J'adhère totalement à son discours .
  • Je rejette totalement son discours.

    "Avec du retard, ils ont fait ce qu'il fallait sur le plan financier et des infrastructures" : elle est bien bonne celle-là, il faudra que je pense à la resservir à l'inspecteur des impôts.

    "Il faudrait les accompagner vers le monde professionnel" : elle est bien bonne celle-là aussi. Depuis combien de temps ce club sévissait-il en National, antichambre du monde professionnel ? (5 ans me dit-on dans mon oreillette). N'était-ce pas suffisant pour commencer à connaître (un peu) le monde professionnel et à mettre en place les outils pour développer le club ?

    Encore une fois, il ne s'agit pas de faire le procès du football amateur et des petits clubs, mais de faire celui de ce club en particulier.
    Un club comme l'ASP Vauban prenait ses responsabilités quand il refusait les montées en D2. Le LAP, lui, est inconséquent et voudrait des chèques en blanc.

    Vivement que ce club soit désintégré, mais je parierais fort qu'il risque d'être reversé en National, championnat plus "bidouillable" que la L2.
  • J'adhère complètement à son discours.

    Luzenac mérite de jouer en L.2 pour beaucoup de raisons qu'il serait trop long à développer.
  • Entièrement d'accord avec cela, leur accession en L2 a été obtenue sur le terrain, contrairement à d'autres...
  • matteo a écrit, le 18/08/2014 18:45 :
    Je rejette totalement son discours.


    Pas mieux, et son alternative "soit on est dans une ligue fermée, soit on privilégie les critères sportifs" est complètement déraisonnable.

    Il y a un équilibre à trouver entre les deux.

    Il y a un point ou il a raison, c'est celui de la juridiction spécialisée. Il faut que les clubs soient fixés définitivement assez rapidement. Là, les injonctions contradictoires du CNOSF et de la ligue sont peu supportables.
  • katzo68 a écrit, le 18/08/2014 21:09 :
    Entièrement d'accord avec cela, leur accession en L2 a été obtenue sur le terrain, contrairement à d'autres...


    Les points de suspension laissent subtilement penser que tu songes, avec une malice exquise, à un club en particulier. Mais de qui peux-tu bien parler ? Qqquuuuiiiiiii ?
  • dudu a écrit, le 18/08/2014 18:12 :
    Ben si, il est bien secrétaire d'état aux sports !


    Et du coup il se réveille mi-août, alors que le championnat a repris, pour donner son avis ... je lui conseille vivement la lecture de " De l'intérieur. Voyage au pays de la désillusion." ou une confession sur l'inutilité. Il me semble qu'une fédération doit être indépendante, mais alors qu'il ferme sa gueule, surtout après la guerre.
    Je suis quand même d'accord sur les recours à rallonge, personne n'en sort gagnant. Mais à un moment c'est aux fédés de décider et aux clubs d'accepter.

    Concernant le cas "Luzenac", leur dossier n'était pas recevable mais la ligue aurait très bien pu faire une exception. Le CA Bastia l'an dernier n'était pas mieux préparé, et d'ailleurs l'expérience D2 ne semble pas leur avoir été bénéfique. Mais il était très bien possible de faire à nouveau une exception pour Luzenac.

    Alors pourquoi cet impasse ? 2 pistes.
    Soit la LFP est composée d'abrutis qui imposent leurs directives sans prendre le temps d'étudier la situation.
    Soit Luzenac a mal préparé son dossier et s'est borné sur le terrain judiciaire plutôt que faire des concessions et se montrer bon élève auprès de la ligue.

    Vous aurez deviné le fond de ma pensée. Quand 2 ânes se rencontrent, cela se finit devant les tribunaux.
  • Bonjour,

    Il est difficile de suivre ce dossier, car je pense que tous les éléments ne sont pas connus. Et il y a du vrai et du faux chez la Fédé et dans le Club de Luzenac.

    Maintenant je me pose la question, si aucune solution n’est trouvé dans les prochains 10 jours. Les joueurs sont libres te peuvent intégrer d’autre équipe ?. Luzenac disparait de la carte Football ? .

    En fin de compte il y aura que des perdants. (Ok sauf nous ;) )
  • Bonjour,

    Il est difficile de suivre ce dossier, car je pense que tous les éléments ne sont pas connus. Et il y a du vrai et du faux chez la Fédé et dans le Club de Luzenac.

    Maintenant je me pose la question, si aucune solution n’est trouvé dans les prochains 10 jours. Les joueurs sont libres te peuvent intégrer d’autre équipe ?. Luzenac disparait de la carte Football ? .

    En fin de compte il y aura que des perdants. (Ok sauf nous ;) )
  • Les joueurs ont signé un contrat professionnel pour jouer en L2.

    Si Luzenac joue en National (ou plus bas), tous ces contrats sont invalidés et tous les joueurs sont théoriquement libres.
    Après libre à eux de continuer avec Luzenac (s'ils sont en National) ou d'aller ailleurs.
  • guigues a écrit, le 19/08/2014 11:14 :
    dudu a écrit, le 18/08/2014 18:12 :
    Ben si, il est bien secrétaire d'état aux sports !


    Et du coup il se réveille mi-août, alors que le championnat a repris, pour donner son avis ... je lui conseille vivement la lecture de " De l'intérieur. Voyage au pays de la désillusion." ou une confession sur l'inutilité. Il me semble qu'une fédération doit être indépendante, mais alors qu'il ferme sa gueule, surtout après la guerre.
    Je suis quand même d'accord sur les recours à rallonge, personne n'en sort gagnant. Mais à un moment c'est aux fédés de décider et aux clubs d'accepter.

    Concernant le cas "Luzenac", leur dossier n'était pas recevable mais la ligue aurait très bien pu faire une exception. Le CA Bastia l'an dernier n'était pas mieux préparé, et d'ailleurs l'expérience D2 ne semble pas leur avoir été bénéfique. Mais il était très bien possible de faire à nouveau une exception pour Luzenac.

    Alors pourquoi cet impasse ? 2 pistes.
    Soit la LFP est composée d'abrutis qui imposent leurs directives sans prendre le temps d'étudier la situation.
    Soit Luzenac a mal préparé son dossier et s'est borné sur le terrain judiciaire plutôt que faire des concessions et se montrer bon élève auprès de la ligue.

    Vous aurez deviné le fond de ma pensée. Quand 2 ânes se rencontrent, cela se finit devant les tribunaux.


    Pas de pouce vert ici, dommage, ça résume parfaitement la situation (+)

    Maintenant curieux de voir qui va finir par céder en premier...
  • Luzenac : Thiriez ne cédera à "aucune menace politique"

    Frédéric Thiriez a affirmé lundi qu'il ne céderait à "aucune menace politique" au sujet du Luzenac AP, après que le secrétaire d'Etat aux Sports ait accusé la Ligue de football professionnel (LFP) d'"hypocrisie" dans ce dossier. Le président de l'instance dirigeant le football professionnel a assuré que le cas du club ariégeois avait été examiné en conformité avec les règlements en vigueur.

    "Je ne céderai à aucune pression politique d'où qu'elle vienne", a assuré Frédéric Thiriez. "Je comprends que Thierry Braillard subit la pression de ses amis politiques de l'Ariège, mais la Ligue ne fait qu'appliquer ses règlements qui sont les mêmes pour tous les clubs et qui s'imposent à Luzenac comme aux autres pour des raisons évidents d'équité", a-t-il conclu.

    Le président de la LFP a ainsi répondu à Thierry Braillad, qui avait parlé d'"hypocrisie" de la Ligue dans cette affaire. "Soit la LFP veut une ligue fermée pour les pros, avec 18 clubs et une seule montée par an -- ce qui serait aller au bout de la logique -- soit elle défend l'intérêt sportif et alors on ne peut pas reprocher à des clubs amateurs de se comporter comme des amateurs. Il faudrait les accompagner vers le monde professionnel".

    Deuxième du championnat de National la saison dernière, le Luzenac AP avait gagné sur le terrain sa place en Ligue 2. Sa montée avait d'abord été refusée pour des raisons financières, avant que le club ariégeois n'obtienne gain de cause sur ce plan. Puis la LFP a une nouvelle fois refusé l'accession en L2 au motif qu'il ne disposait pas d'un stade "aux normes réglementaires de sécurité".
    Les dirigeants du Luzenac AP seront entendus mercredi par le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Le club a également saisi le tribunal administratif de Toulouse, mais la date de l'audience n'est en revanche pas encore fixée. En attendant, Luzenac n'est inscrit dans aucun championnat alors qu'on a déjà joué trois matches en Ligue 2 et deux en National.

    LaDépêche.fr
  • CNOSF ce mercredi à 11 H pour Luzenac..

    La procédure ne prendra donc jamais fin tant que le LAP n'aura pas obtenu gain de cause j'ai l'impression...

    Comment ça ce fait que le club ai la possibilité de ressaisir le CNOSF puis le Tribunal Administratif ?
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