Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Autres supporters

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Flux RSS 950 messages · 191.219 lectures · Premier message par kibitz · Dernier message par raukoras

  • Voici une image qui n'a pas dû faire plaisir aus supporters marseillais : deux trublions de la star ac' venus faire les marioles sur la pelouse avant le coup d'envoi. Sur le peu que j'ai vu de cet épisode, Sofiane semblait très peu crédible en supporter du PSG : c'était clair qu'il jouait un rôle. Il n'y connaisait absolument rien en foot, c'était assez drôle...

    http://www.olympiquedemarseille.com/Multimedia/Images/actu/starac.jpg
  • C'est pas Tiburce (ex préparateur su PSG) à gauch de la photo?
  • Il y a quelques années il était préparateur de Moanco quand il y avait encore Puel si je me souviens bien.
  • Exact, c'est Tiburce Darou, l'homme qui a remis en forme de nombreux blessés du foot français, comme Pires, du côté de St Raphael. Depuis, il a sombré dans la médiocrité en devenant le coach de la starac...
  • En même tant, au prix ou il est payé, je veux bien sombrer dans la médiocrité... :'>
  • rachmaninov a écrit :
    Voici une image qui n'a pas dû faire plaisir aus supporters marseillais : deux trublions de la star ac' venus faire les marioles sur la pelouse avant le coup d'envoi. Sur le peu que j'ai vu de cet épisode, Sofiane semblait très peu crédible en supporter du PSG : c'était clair qu'il jouait un rôle. Il n'y connaisait absolument rien en foot, c'était assez drôle...

    http://www.olympiquedemarseille.com/Multimedia/Images/actu/starac.jpg


    tu m'etonnes qu'il ne soit pas credible en supporter du psg, il porte le maillot de l'om... :))
  • C'est vraiment n'importe quoi : t'en connais beaucoup des passionnés du racing qui accepteraient de poser pour les photographes avec un maillot du MC Fetz ?! :-'
    Et puis un gars qui suit le foot un minimum sait faire la différence entre un match de coupe et de championnat, comprend que l'équipe alignée par Vahid est une équipe bis, etc...
  • pour les details, je peux pas t'aider, j'ai rien vu...
    mais d'apres ce que t'en dis...ca a l'air d'etre un cas ! :O
  • Un p'tit t-shirt sympa :))

    http://www.psg.fr/images/splash/splshmaillotOMPSG.jpg
  • luyindula a écrit :
    Un p'tit t-shirt sympa :))

    http://www.psg.fr/images/splash/splshmaillotOMPSG.jpg


    Ce serai sympa de fair la même chose!
  • Oui enfin le jour où le Racing battra une équipe 8 fois de suite... :-'
  • luyindula a écrit :
    Oui enfin le jour où le Racing battra une équipe 8 fois de suite... :-'


    On sait jamais !
  • Oui ben si ça arrive, espérons que ça soit contre Metz ou Sochaux :))
  • luyindula a écrit :
    Oui ben si ça arrive, espérons que ça soit contre Metz ou Sochaux :))


    Oui car c la honte de perdre chaque derby les uns après les autres !
  • luyindula a écrit :
    Un p'tit t-shirt sympa :))

    http://www.psg.fr/images/splash/splshmaillotOMPSG.jpg


    Une question...
    C'est quoi le sponsor maillot de marseille???
    :)) :)) :)) j'en ris d'avance...
  • Pourquoi ? :))

    http://img19.exs.cx/img19/4843/om1.jpg
  • Les supporters sont à la mode...
    Dans le Figaro aujourd'hui :

    L'insouciance espagnole face à la «racaille» des tribunes

    Madrid : Diane Cambon
    [26 novembre 2004]


    L'image bon enfant du football espagnol n'a plus cours. A en croire la commission sportive antiviolence, les dérapages verbaux, les attaques physiques et les insultes racistes sont légion dans les stades de la péninsule. Ces débordements sont d'autant plus remarqués qu'ils proviennent d'un groupe minoritaire, une centaine de supporters radicaux, les fameux et redoutés «hinchas». «Chaque club a son lot de hooligans : les Ultra Sur au Real Madrid, les Boixos nois au FC Barcelone et les Riazor Blues au Deportivo La Corogne, remarque Angel Cabezado, rédacteur en chef du quotidien sportif Marca. Normalement, ils passent presque inaperçus.»


    Pourtant, le 17 novembre dernier, lors de la rencontre «amicale» entre l'Angleterre et l'Espagne à Madrid, les «hinchas» ont presque réussi à créer un incident diplomatique. Sur le terrain, les joueurs noirs anglais ont été sifflés et ont été la cible de chants racistes. Pis, des centaines de supporters espagnols les ont conspués depuis les gradins du stade Santiago-Bernabeu, en imitant des cris de singe à chaque fois que l'un d'eux touchait le ballon. L'affaire a déchaîné les critiques de la presse anglaise et notamment des tabloïds. Tony Blair est monté au créneau en assurant que «le racisme n'a pas sa place dans le football». De son côté, le chef du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, a jugé «lamentable et intolérable» l'attitude de ces supporters.


    Si le ministre britannique des Sports, Richard Caborn, a averti qu'il allait saisir la Fédération internationale (Fifa) et l'Union européenne de football (UEFA) pour condamner le comportement raciste d'une partie du public madrilène, l'Espagne n'a jusqu'ici pris aucune sanction. Les dérives racistes de certains «hinchas» n'ont pas déclenché d'indignation spontanée. Il aura fallu vingt-quatre heures et les hauts cris des Anglais pour que les quotidiens sportifs Marca et As réagissent.


    Déjà, lorsque le sélectionneur de l'équipe nationale espagnole, Luis Aragonès, avait traité l'international français Thierry Henry de «Noir de merde» («Negro de mierda»), il n'avait fait l'objet d'aucune sanction. Par accoutumance ou indifférence, la presse quotidienne sportive espagnole se fait rarement l'écho de ces agressions verbales. «Ce genre de réflexions est fréquent, cela se passe toutes les semaines sur tous les terrains en Espagne», a commenté l'international malien Mohamed Sissoko, milieu de terrain au FC Valence et l'un des joueurs noirs qui évoluent dans la Liga.


    «Les Espagnols dans le fond ne sont pas plus racistes que les autres, mais ils défendent leur nationalité avec rage lorsqu'il s'agit d'un match important. C'est avec la même rage qu'ils soutiennent les couleurs de leurs clubs en Ligue nationale. Les rencontres entre Barcelone et Madrid sont aussi, voire davantage, ponctuées d'insultes racistes», explique Angel Cabezado, du quotidien Marca.
  • Un autre article, même source :

    Le racisme, une tare que la famille du football a longtemps dissimulée

    T. P.
    [26 novembre 2004]


    «Quand quelqu'un hurle, vous ne pouvez pas savoir ce qu'il crie, car les vidéos sont muettes.» Lorsque Christian Bosca, responsable de la surveillance des abords des stades à la direction centrale de la sécurité publique, recense les 320 personnes interpellées, hors région parisienne, lors de la dernière saison footballistique, il avoue qu'aucune ne l'a été pour incitation à la haine raciale. Gérard Rousselot, le M. Sécurité à la Ligue, n'est pas plus dupe. «Mais, confie-t-il, avant les incidents survenus à Bastia, je vous aurais dit que les actes racistes avaient disparu à l'intérieur des stades ces dernières années.» Les actes, pas les propos...


    Qui n'a jamais entendu, parmi une flopée d'injures racistes, les cris de singe tombant des tribunes dès qu'un joueur de couleur touche un ballon ? Le même joueur, s'il marque, est alors salué car, selon la pire des expressions, «il est blanchi par le maillot». Faut-il également rappeler certains propos de Thierry Rolland ? Il va de soi que Christian Bosca et Gérard Rousselot connaissent leur monde et savent tout cela. Mais l'identification, puis l'interpellation pour violence raciste n'est pas aisée. Et il faut ensuite que le dossier tienne face à la justice. Or les témoins manquent. Selon nos informations, vu le contexte corse, Pascal Chimbonda et Franck Matingou, les deux joueurs de Bastia insultés, n'ont pas porté plainte. Quant au rapport sur la violence soumis au conseil d'administration de la Ligue au printemps dernier qui, finalement, devrait bientôt être rendu public, il souligne «la vraie volonté d'une majorité de groupes de supporters de condamner les violences. Par contre, il est clair qu'ils ne dénonceront en aucun cas les fautifs»...


    Parce qu'elle en a «marre d'entendre qu'il n'y a pas de racisme dans le foot», Carine Bloch, chargée du sport à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), décidée par l'affaire de Bastia, annonce la mise en place d'un observatoire sur cette question au sein de l'association. Car, affirme Carine Bloch, tant dans le foot professionnel, «infiltré par des groupes d'extrême droite», que dans le foot amateur, «soumis à des tensions communautaires», ce sport est depuis longtemps gangrené par le racisme.


    Parmi les groupuscules d'extrême droite, les Renseignements généraux s'intéressent plus particulièrement aux Jeunesses identitaires. Sur leur site, on lit que «militer, c'est développer autour de soi un réseau de sympathies», qu'il convient de «diffuser dans les activités associatives, sportives», et que la «discrétion» vestimentaire «est synonyme d'efficacité». A Nice ou Metz notamment, de petits noyaux de «casuals», comme ils s'appellent en revendiquant leur tenue de tous les jours, se sont constitués.


    Le PSG n'a pas besoin de nouveaux renforts pour demeurer le plus grand club de hooligans en France. Eugène Henri Moré, maire adjoint à La Courneuve, reproche au PSG d'avoir «demandé à des hooligans de gérer d'autres hooligans». Une affirmation qui reste à démontrer. Sauf à entendre par là que le PSG s'est tourné vers quelques anciens «ultras» pour tenter de canaliser les plus jeunes hooligans. «C'est la même stratégie que celle des grands frères dans les banlieues. Cela ne marche pas. Ils sont obligés de composer, sinon ils passent pour des traîtres.»


    Et le racisme dans le football amateur en banlieue parisienne ? Latent, mais contrôlé, répond encore Eugène Henri Moré, qui reconnaît toutefois des flambées sporadiques entre deux communautés. Président du Maccabi de Sarcelles, Georges Haddad multiplie pourtant les exemples d'agressions à l'encontre de ses joueurs juifs. «A Sarcelles, nous avions 15 licenciés en foot il y a trois ans, 184 aujourd'hui. Les nouveaux ont quitté leurs clubs, lassés par les injures antisémites.» Et ils se sont tournés vers un club communautaire, où ils jouent parfois la kippa sur la tête
  • Un dernier pour la route (même source) :

    Perben annonce la tolérance zéro dans les stades

    Thierry Portes
    [26 novembre 2004]


    «Ne rien tolérer.» Ce mot d'ordre, employé hier par Dominique Perben, annonce un nouveau tour de vis face aux violences physiques et verbales de certains supporters de football. A l'issue d'un entretien à la Chancellerie avec Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel (LFP), qui plaide lui aussi pour la «tolérance zéro», le garde des Sceaux a confié au Figaro les trois axes de son action pour lutter contre un phénomène endémique.


    Pour la première fois, Dominique Perben veut réunir «les procureurs les plus concernés», afin de les enjoindre à une plus grande «rapidité dans les procédures», en partant également du principe qu'«il faut mieux s'occuper de sept ou huit stades». Ceux qui posent problème sont connus. Paris a toujours tenu la tête de ce funeste championnat. Nulle surprise à ce que le PSG ait ainsi été, lors de la dernière saison, le club le plus lourdement sanctionné par la Ligue.


    Le tableau des amendes (voir ci-contre) ne prend en compte que les incidents survenus à l'intérieur des stades, c'est-à-dire principalement l'utilisation de fumigènes et les jets d'objets. Outre que les pires exactions ont lieu en dehors des enceintes et sont commises par des groupes organisés de casseurs, les amateurs de football soulignent qu'il existe une manière «festive» de se servir d'un fumigène. Bordeaux, Lyon, Rennes ou Sochaux ne sont pas des équipes réputées pour leurs hooligans. Et à Marseille, sous l'action des dirigeants de l'OM et du nouveau procureur – ce qui a inspiré la Chancellerie – «les choses se sont beaucoup améliorées», dit-on à la LFP.


    Le garde des Sceaux annonce en outre que les parquets recevront bientôt un «guide» pour conduire leurs actions. Ce manuel répondra sans doute au voeu d'un spécialiste, qui déplore que «certaines juridictions sanctionnent pareillement une violence légère, que celle-ci soit perpétrée dans une enceinte sportive ou dans un tout autre contexte». De fait, la durée d'une incapacité de travail est un curieux barème, qui n'apprécie pas la charge symbolique d'un délit commis lors d'un spectacle populaire fortement médiatisé.


    Enfin, le ministre de la Justice, répondant à un voeu des instances du football professionnel, entend mettre en place à la direction des affaires criminelles un «groupe de liaison technique» avec les dirigeants de la Ligue, pour suivre au plus près l'évolution des dossiers des hooligans.


    Les dernières flambées de violence appelaient une nouvelle mobilisation d'un arsenal juridique, redéployé dans la loi sur la sécurité intérieure du 18 mars 2003. Pour sombre qu'il soit, le tableau en France est cependant moins noir que dans d'autres championnats européens. Dans l'Hexagone, on contrôle plus ou moins la violence à l'intérieur des stades : tout le monde est fouillé, les différents clubs de supporters séparés, et les plus furieux parqués dans des secteurs grillagés. Sans oublier la vidéosurveillance. «Évidemment, souligne Gérard Rousselot, en charge des problèmes de sécurité à la Ligue, avoir quelqu'un sur un film ne signifie pas qu'il soit possible de l'interpeller. Le stadier qui s'y risquerait, se ferait lyncher le lendemain»...


    Alors les dirigeants de clubs, qui aiment l'animation sur les gradins, croisent les doigts, plutôt que d'écarter les brebis galeuses. «Il faut qu'ils fassent le ménage», s'insurge pourtant Joël Archenault, le président de la Fédération des associations de supporters. «Vous savez, renchérit Albert Begards, de l'association Pour un sport sans violence, les clubs sont responsables quand ils aident certains groupes de supporters.» Ou quand ils refusent, à l'instar du PSG, d'organiser les déplacements en province pour ne pas être juridiquement responsables d'éventuelles exactions.
  • samh a écrit :
    rachmaninov a écrit :
    Voici une image qui n'a pas dû faire plaisir aus supporters marseillais : deux trublions de la star ac' venus faire les marioles sur la pelouse avant le coup d'envoi. Sur le peu que j'ai vu de cet épisode, Sofiane semblait très peu crédible en supporter du PSG : c'était clair qu'il jouait un rôle. Il n'y connaisait absolument rien en foot, c'était assez drôle...

    http://www.olympiquedemarseille.com/Multimedia/Images/actu/starac.jpg


    tu m'etonnes qu'il ne soit pas credible en supporter du psg, il porte le maillot de l'om... :))



    A l'envers en plus ! :)) :o)
  • Beaucoup de choses à dire au sujet des trois articles postés par kibitz, notament au sujet de certains racourcis... Je citerais Amalgames Hooliganisme/débat sur les fumigène, ou bien propos de Thierry Rolland/Racisme dans les stades de D1/Racisme dans le football amateur qui sont des problemes qui n'ont strictement rien à voir. Ce qui est assez malheureux, c'est de voir que c'est sur ces bases branlantes que vont être fondées de nouvelles lois hyper répressives voire même constitutionellements contestables... mais je n'entrerais pas dans ce débat là.

    Au sujet du racisme et des cris de singe dans les stades, j'aimerais apporter quelques précisions et ma vision des choses du haut de mon modéste vécu dans le monde des tribunes.

    Bien évidement qu'il y a des gens qui disent des trucs racistes dans les gradins des stades. Maintenant, je vous dis franchement, j'ai proportionellement entendu beaucoup moins de choses choquantes dans des gradins que dans n'importe quel bar tabac....

    D'un point de vue concret, les choses ont énormément évolués dans les tribunes Française. Pour prendre l'exemple Strasbourgeois, il n'était pas rare il y a une quinzaine d'année de voir des drapeaux biens explicites, des croix celtiques et des bras tendus. Les cris de singes étaient une chose relativement courante dans n'importe quel stade Français et relevaient (nous en avions parlé sur ce forum il y a quelques mois) plus d'un stupide phénomène de mouton de panurge que de l'expression d'une réelle idéologie politique. Depuis, les choses ont quand même énormement évolué et les fameux cris de singe ne se font quasi plus jamais entendre et sont le fait, pour prendre toujours le cas strasbourgeois, de très rares fait d'éléments isolés (2-3 gus dans une tribune de milliers de personne pour tout dire...). Prendre cet exemple pour dénoncer le racisme ambiant dans les stades en France, c'est comme si on disait que tous les Alsaciens étaient racistes parce que des tombes ont été profanées.

    L'exemple strasbourgeois n'est pas isolé. Aujourd'hui vous ne verrez plus de croix celtiques dans un stade Français (sauf à Rennes ou cet emblème est utilisé en tant que symbole de la région). Vous n'entendrez plus chanter la version politiquement incorrecte de "couleur café" au Velodrome comme ce fut le cas il y a 15 ans. Vous ne verrez plus des grands symbole d'extreme droite dans les virages Stéphanois ou Nantais. Vous ne verrez plus de drapeaux nazis ou de section "Zyklon B" à Gerland comme c'était le cas il y a une quinzaine d'année. Pour tout dire, l'exemple souvent brandit de Boulogne Rouge au Parc fait figure d'exception, et franchement, je ne vois plus en France d'autres tribunes ouvertement nationaliste.

    Donc dire que le racisme prolifére dans les stades me choque pas mal, du moins dans le cas Français ou on a assisté plutôt à une grande évolution dans le bon sens. Je ne dis pas qu'il n'y a pas d'autres problèmes, mais il faut quand même arrêter de raconter n'importe quoi...

    Par contre, il est clair que le problème est encore vivace, essentiellement en Europe Latine (mais aussi en Europe de l'Est), les cris de singes sont encore nombreux du coté de Madrid, Rome, ou Vérone... En Espagne, les Ultrassur, Boixos ou autres Frente Atlético affichent clairement leur sympathie pour l'extreme droite (même si celà reste beaucoup plus édulcoré qu'à une époque). Je pense que dans ces cas là, le problème dépasse largement le cadre du football et sont liés à une explication historique toute simple. L'Italie et l'Espagne ne sont pas des pays ayant connu une forte immigration, les populations immigrés y sont très faibles et marginales par rapport à la France ou l'Angleterre ou nous sommes habitué à cotoyer des populations africaines ou magrehbines. Donc forcement, la xénophobie est plus forte. C'est un phénomène culturel amené je le pense a s'estomper au fil du temps.

    Voilà ma première réaction face à ces articles, ca vaut ce que ca vaut, peut être que d'autres spécialistes auront d'autres choses à dire...
  • Personne n'a des photos du stade de Dortmund ou les tifos sont magnifiques :)-
  • Ligue 1 - Violence - Clubs: lutter, sans généraliser

    ATS, le 26 novembre 2004 à 19:16

    Si les clubs de L1 de football, prônant la vigilance, se réjouissent des mesures prises par les pouvoirs publics en réponse au regain de violence des dernières semaines dans et autour des stades, la plupart tient néanmoins à tempérer l'ampleur du phénomène, cas personnel à l'appui.

    Caillassage du bus des joueurs de Marseille à Paris, déploiement de banderoles homophobes lors du même PSG-OM, agressions racistes de deux joueurs noirs de Bastia: ces récents événements ont abouti vendredi à une série de mesures prises par le ministère de la Justice afin de condamner "plus systématiquement et rapidement" les auteurs, au lendemain d'une réunion entre le garde des Sceaux Dominique Perben et le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Frédéric Thiriez.

    "Cette réunion est une très bonne chose", juge le responsable de la sécurité de Metz, Jacky Ancel. "Nous sommes sur la même longueur d'onde que le président Thiriez", déclare le directeur du site de La Meinau, à Strasbourg, Serge Cayen.

    Pour autant, au moment d'évoquer leur situation propre, la grande majorité des clubs se disent épargnés par la violence et invitent à ne pas généraliser.

    "Cas isolés"

    "On ne peut pas dire qu'on ait de gros problèmes de sécurité ou de racisme. Mais on reste vigilants", résume le président de Lens, Gervais Martel, dont le public est réputé pour son fair-play.

    "Le Losc est aujourd'hui plutôt épargné", assure le chargé de la sécurité du voisin lillois, Didier Declimmer, laissant poindre l'idée d'une violence ciblée sur quelques équipes parmi les plus médiatiques.

    "Les derbys face à Lyon, les matches face à l'OM ou le PSG, sont de ceux qui doivent être surveillés comme le lait sur le feu", confirme le directeur général de Saint-Etienne, Vincent Tuong-Cuong.

    Pour le reste, Jacky Ancel donne le ton: "A Metz, il n'y a pas de problème, mais il peut toujours y avoir des cas isolés".

    Même à Bastia, on souhaite recadrer les incidents d'après-match du 13 novembre. Compte tenu du contexte en Corse, "le phénomène a été amplifié", avance Jean-François Puccini, pour qui "une trentaine de pseudo supporteurs désoeuvrés viennent pour se défouler et s'en prennent à n'importe qui".

    Pour contenir ces "cas isolés", les clubs mettent alors en avant leurs pratiques existantes de prévention.

    "A Nantes, il y a un +gentleman agreement+ entre supporteurs et dirigeants", signale Luc Delatour, responsable à La Beaujoire, seul stade homologué par la LFP à être dépourvu de grillages entre la pelouse et le public.

    "Actions communes", "démarches pédagogiques", sont les termes utilisés à Lille et Saint-Etienne.

    "Efforts"

    "J'entretiens des relations régulières avec les cinq associations de supporteurs de Strasbourg. Dès qu'un problème se pose, elles n'hésitent pas à me solliciter pour le résoudre", précise Serge Cayen.

    Tous évoquent aussi leurs relations actives avec les instances policières et juridiques et réfutent les critiques d'immobilisme.

    "Elles sont totalement infondées, proclame le responsable d'Istres, Christian Cristofis. Au contraire, il faut souligner les efforts des clubs contre ces fléaux."

    Aussi, Marius Trésor, responsable de la communication à Bordeaux, souligne-t-il les "gros efforts" déjà fournis par les clubs français.

    "Les moyens humains sont énormes par rapport à ce que j'ai connu il y a dix ans", constate Gervais Martel.

    Pour le reste, il existe, selon les clubs, des circonstances atténuantes: "On ne peut pas contrôler tout le monde" (Bordeaux), "sur un match de foot, tout peut aller extrêmement vite" (Saint-Etienne).

    Au bout du compte, le sportif finit même par rejoindre l'extra-sportif. "Quand le classement est bon, tout est plus simple", plaide-t-on à Lille, Nantes et Bastia.


    Je trouve ça intéressant, tout le monde dénonce des phénomènes croissants de violence, mais aucun chef de sécu n'y est vraiment confronté en France visiblement :))
  • Où sont les statistiques prouvant le regain de violence dans les stades ?
    Qui dit regain dit qu'il y a eu plus d'actes violents pendant une période donnée que pendant les périodes précédentes. Par rapport à quelles périodes se basent-on pour affirmer qu'il y a "de plus en plus" de violence dans les stades ??
    Pas sûr qu'un journaliste ou un délégué de la Ligue puisse apporter des réponses sérieuses à ces questions... :-'
  • Une petite photo "artistique"...

    http://www.cesenainbolgia.it/images/0405/areces05.jpg
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