L'Olympique de Marseille
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mediasoc
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Un budget de 7 millions d'euros pour l'entraîneur ?
Selon les informations de Stéphane Guy, présentateur de l'émission J+1 de Canal+, les dirigeants marseillais se sont déjà mis en quête du successeur de Marcelo Bielsa.
L'OM garderait la même ligne de conduite et privilégierait la solution étrangère. Un budget de 7 millions d'euros, qui correspond à ce que devaient percevoir l'Argentin et son staff, va ainsi être consacré à la recherche du nouvel entraîneur
footmarseille.com -
J'ai lu que Bielsa rémunérait lui même certaines personnes de son staff...
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Le plus triste dans cette histoire c'est que l'OM avait enfin trouvé un excellent interprète, qui n'a fait une apparition et qui s'arrête là.
Mon questionnement actuel est de savoir si Bielsa fait du sous-Gress ou si Gress fait du sous-Bielsa
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alcapone a écrit, le 09/08/2015 15:03 : son système de jeu pour moi n’était pas bon hier il sort Imbula et Thauvin qui était les meilleurs joueurs sur le terrain.
Imbula est de retour de Porto...
:D
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Oups désolé Lemina :)
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Certaines réactions (de "dégoût" notamment) me laissent perplexe. Franchement, qui n'a jamais rêvé de claquer la porte de sa boîte parce que désaccord avec son président ?
Faut sans doute quelques salaires d'avance et une promesse d'embauche ailleurs pour en arriver là, mais je crois aussi qu'il faut avoir des couilles et des valeurs que tout le monde n'a pas. -
"Avoir des couilles" : c'est peut-être discuter avec son patron en face-à-face (même si pour le coup Labrune n'a apparemment pas assisté à cette fameuse réunion - mais je pense que Bielsa doit avoir un portable…). C'est peut-être avertir ses joueurs qui eux n'y sont pour rien et qui ont appris la nouvelle par la conférence de presse. Bonjour le courage!
"Avoir des valeurs" : je pense à tout le soutien qu'il a eu de la part du public et aux supporters qui fondaient beaucoup sur cette nouvelle saison, en partie grâce à lui. Tiens, tu penses donc que L. Fournier n'avait pas assez de valeurs quand il a continué la saison jusqu'au bout lors de l'épisode Hilali ? (alors que les crasses de ce dernier ne se résumaient pas à deux lignes dans le contrat…)
Même si j'aimais bien le personnage, là-dessus je trouve qu'il a manqué de respect envers tout le monde (supporters et joueurs) en laissant l'équipe sans entraineur après la 1ère journée et avec des joueurs que LUI a choisi.
Bien entendu, la gestion du board est à chier également. -
Si ton club (ton entreprise) te donne son accord pour quelque chose, donne sa parole qu'elle ne reviendra pas dessus, puis essaye de te filouter, normal que le retour de bâton fasse mal.
Il faut peut-être d'abord voir d'où vient la source du conflit avant de jouer les justiciers.
Et quand tu prends un mec surnommé "El Loco", fais pas l'étonné s'il se barre quand t'essayes de lui titiller le balle-trou.
Je n'excuse rien mais, au final, rien de choquant dans l'histoire, juste une histoire à la con une fois de plus qui risque de les ralentir pour la reconstruction.
PS : On parle déjà de Klopp pour remplacer...ce serait juste un excellent choix, j'dis ça.. -
Dommage pour le déroulement de la saison, j'aurais bien voulu savoir comment ça se serait passé avec les DiDi...
Bielsa a dû se rendre compte qu'on lui fourgait une équipe de branques avec laquelle il jouerait le maintien. D'ailleurs que tu mettes Klopp, Gress, Jean Fernandez ou un caniche nain sur le banc, le problème est le même : quand tu joues avec ton équipe de remplaçants de la saison passée, tu ne peux pas avoir d'ambitions. -
Bielsa est un mec à l'ancienne, binaire, à qui tu ne l'as fait pas à l'envers. Cette réputation, il l'a depuis longtemps, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il n'a jamais été pris dans un grand club. D'ailleurs, c'est ce qui a plu à l'OM quand ils l'ont pris l'an dernier, alors que le contexte était absolument détestable, notamment avec les supporters (remember le match contre Ajaccio au Vélodrome et les fameuses boîtes-à-meuh). Labrune s'est ainsi acheté la paix sociales, mais en continuant d'interférer dans le sportif. Le cas de Doria est d'ailleurs très parlant.
Et que Bielsa ait déjà bouffé quelques couleuvres l'an dernier, cette fois-ci, Labrune lui promet verbalement un nouveau contrat il y a quelques jours, et ce jeudi, il se retrouve convoqué avec l'avocat de Margarita, sans Labrune donc, avec un contrat modifié. Tu m'étonnes qu'au bout d'un moment, il ne tolère plus ce mode de fonctionnement...
Sinon, je trouve toujours aussi gerbant la réaction du monde du foot français, notamment les journalistes, Pierre Menès en tête, qui continuent d'ostraciser les entraîneurs qui viennent avec des idées différentes, comme les étrangers. Ils ont déjà fait pareil avec Ancelotti, et Jardim à ses débuts. Le prochain coach de l'OM est prévenu. -
captainflirt a écrit, le 10/08/2015 02:04 : Franchement, qui n'a jamais rêvé de claquer la porte de sa boîte parce que désaccord avec son président ?
Y'a un truc qui s'appelle le préavis que tu es obligé de respecter, sauf si tu arrives à un accord avec ton boss. Après ça dépend surement des conventions collectives. Si t'es sous contrat tu peux pas te barrer comme ça. Si t'as pas de contrat et que t'es payé, t'es en CDI donc tu ne peux pas te barrer comme ça. Mais bon le foot ...
A partir du moment où il a blacklisté sans raison Doria (capitaine des U20 du Brésil à l'époque), il a perdu tout mon respect. Ok on lui impose un joueur mais de là à le snober et de le faire trimer avec la réserve, c'est juste dégueulasse. Le mec est prêt à flinguer la carrière d'un jeune juste parce qu'il en voulait pas. On dirait un caprice d'enfant gâté qui préfère casser son jouet parce que maman ne lui a pas offert le bon. Il apporte des méthodes différentes, certes, Van Gaal aussi mais ça ne les empêche pas tous les deux d'être des enfoirés.
Pour revenir à l'OM, sachant que je ne peux pas encadrer le club ça me fait bien marrer. Prendre un mec avec un tempérament de feu et essayer de lui mettre à l'envers, c'est suicidaire. A part pour les joueurs qui viennent de signer (j'espère pour eux que c'était pas juste pour Bielsa), c'est une bonne leçon pour tous les autres. Et pitié Jürgen, fais ton année sabbatique et ne vient jamais à Marseille. -
Aprés, avec un mec comme Bielsa, tu pouvais t'attendre a ce qu'il n'aille pas au bout de son contrat, alors a plus forte raison quand celui ci n'est même pas signé et a quelques jours de la reprise du championnat, ce qui est déja un truc de fou...
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Lu sur la Dépéche....
Passi, et après ?
Dans l'urgence, Franck Passi, un des adjoints d'«El Loco» (qui a fait honneur à son surnom), prend la direction de l'équipe, a annoncé le président Vincent Labrune dans la nuit de samedi à dimanche, après la défaite à domicile contre Caen (1-0). Âgé de 49 ans, formé à Montpellier, Passi, déjà surnommé «El Local», a fait ses classes d'entraîneur sur le banc de la réserve de l'OM, avant de devenir adjoint d'Elie Baup à l'été 2012.
Il manque d'expérience mais l'OM doit parer au plus pressé, et doit dès dimanche prochain à Reims tenter de redresser la barre. La pression sera maximale sur les épaules de Passi et des joueurs.
La direction du club, vertement critiquée par Bielsa, pourrait s'enquérir d'un remplaçant au pedigree plus étoffé. René Girard ou Frédéric Antonetti sont libres, et des noms ont été proposés à Labrune, comme celui de l'expérimenté Claude Le Roy. -
C'est vrai que j'avais oublié cette histoire de contrat. C'est quand même ahurissant, surtout dans un club comme Marseille. Ou bien tu te débrouilles pour le faire signer rapidement et tu fais en sorte que les négociations soient finies en juin au plus tard, ou bien tu trouves un remplaçant avant la reprise. Là c'était vraiment n'importe quoi.
Oh oui, le Glaude !
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Ah oui, Claude Leroy, rigolons !
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rcarlos67 a écrit, le 10/08/2015 11:29 : Ou bien tu te débrouilles pour le faire signer rapidement et tu fais en sorte que les négociations soient finies en juin au plus tard, ou bien tu trouves un remplaçant avant la reprise. Là c'était vraiment n'importe quoi.
Sauf si tu cherches à t'en séparer, mais qu'il est impossible de le licencier pour des questions d'image vis-à-vis des supporters. Du coup, il est plus simple de le faire dégoupiller, connaissant son caractère et son historique... -
C'est un peu gros quand même, non ? C'est à mi chemin entre la théorie du complot et une mauvaise théorie du chaos avec Hilali. Je n'imagine pas l'OM jouer le maintien mais c'est quand même le meilleur moyen (avec la vente des cadres) de passer une saison toute pourrie. On a un peu du mal à cerner ce que veulent vraiment faire les dirigeants du coup.
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Leroy, c'est pas possible. Il est spécialisé dans les clubs africains
Mais ça sera toujours mieux que Passi qui n'a même plus sorti d'album depuis un bail. -
ce qui est bien c'est que ça relativise notre mauvaise entame de saison ... on se dit finalement qu'avec juste une défaite et peut être un blessé, on s'en tire beaucoup mieux que les marseillais :D
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Au niveau tactique, il est évident que Biela a apporté quelque chose de différent à l'OM & à la L1. Il n'en reste pas moins que le bilan sportif de Bielsa n'est pas terrible : 4e en L1 (sans aucune Coupe d'Europe à jouer), éliminé au 1er tour de la cdL & en 1/32e contre des amateurs ...
Apparemment Bielsa aurait refusé le Mexique. source -
@athor veux tu m'épouser ? D'accord avec 100% de ce que dit notre cher stubiste.
Premièrement sur la réaction des Menes, Duluc & co. Le parallèle avec Jardim, Ancelotti & co est saisissant. Dès qu'un mec ne vient pas estampillé "France" on le traite comme un moins que rien. Jardim, Leonardo. On pourrait avoir le droit de donner les leçons mais on se base sur quoi ?.En quoi la France et nos consultant peuvent donner des leçons ? Chacun a le droit à un avis, chacun a le droit à la critique pas de soucis avec ça. Mais à un moment donné quand dans le monde entier on a 2, voir 3 très bons entraîneurs ( Wenger, Garcia, Deschamps ), qu'on a gagné 1 titre européens en mélangeant la LDC et la CCC et qu'on est un des championnats les plus chiants à voir jouer. Faut arrêter de se voiler la face on est dans un champ' très moyen et le problème est assez profond.
Pierre Menes par exemple qui défend contre vents et marées son amis Laurent Blanc mais qui bash Jardim ou Bielsa à la première occasion c'est contradictoire et non professionnel au possible. Dès que Leonardo, Jardim ou Ancelotti reproche au foot français d'être trop paresseux, de pas avoir la notion d'effort on lui tombe dessus alors que les faits et les décla des acteurs du foot vont dans leur sens. Tous les joueurs qui se barrent disent qu'ils travaillent plus ailleurs. Nos entraîneurs français ( ça commence à bouger avec les Gourvennec Fournier Renard & co ) c'est une calamité. Vous vous rendez compte que c'est Guy Lacombe qui forme nos entraîneurs en France ? Le club des Antonetti, Dupraz, Bazdarevich, Correa, Puel, Gillot, Jean Fernandez qui sont la depuis 10 ans mais qu'ont rien fait avancer du tout au contraire, c'est ça les idoles en France ? Bah Bielsa a raison de se barrer.
A un moment donner sur Bielsa je veux bien que certains doutent ( l'argument comme quoi il n'a rien gagner est naze, c'est ne rien connaître au personnage, à son style à son histoire ). Mais quand Zanetti, Mascherano, Guardiola, Alexis Sanchez, au moins 90% des joueurs qu'il a entraîné ou des coach qu'il a formé lui vouent un culte c'est qu'il y a une raison non ? Ou dans une dans une dimension inconnue Menes qui taille Bielsa vaut plus que l'avis de Guardiola qui le considère comme une des meilleurs entraîneurs de la planète ? On peut aussi noter qu'on remercie Bielsa au Chili pour la Copa America gagnée cette année. Et la liste est longue. Alors pardonnez moi, mais quand les principaux arguments c'est "Il ne regarde pas les journalistes dans les yeux" je me dis qu'on est pas prêt d'avancer. Surtout que pendant ce temps, le mec te pond des conférences de presses passionnantes ou ça parle de technique, de tactique et de jeu.
Concernant ce qu'il s'est passé avec Bielsa pour l'analyser il faut prendre le contexte en compte. Bielsa est fou, beaucoup en le voyant le compare à un autiste. Mais quand tout le monde sait qu'en l'engageant tu as affaire à un gars assez instable, comment peux tu commencer la saison sans l'avoir fait signer quand tu connais l'instabilité du mec et qu'il y a déjà eu un lourd passif : quel raison peut te faire modifier un contrat pour lequel il était certain de signer ? Comme le dit @Athor, ça serait un coup très habile pour le faire partir de lui même. Et je ne vois pas d'autres réponse à cette question. Après comme dit les théories du complot, voilà voilà. Bielsa en 1 an a aussi fait ressortir quelque chose : l'OM est géré n'importe comment depuis des années mis à part l'éclaircie Pape Diouf. Pour moi il a aussi fait ressortir les maux du foot Fr.
Après je comprends qu'on puisse aussi trouver mon avis délirant pur un mec qu'a rien gagné à l'om éliminé en coupe ( perso je pense que la 4 ème place de l'OM est logique, Lyon et Monaco sont meilleurs ). Chacun a sa vision du foot. Perso je suis accès sur la passion, la technique, la tactique, etc. Bielsa est la quintessence de tout ça. Il symbolise tout ce que le foot a de plus beau à mes yeux joies & peine comprise.
Bref, merci Monsieur Bielsa, pendant un an il aura fait vivre la L1 de débat, d'enflammade, de critique etc. La saison du PSG de l'année dernière ? On s'en balance mise à part l'exploit Chelsea. Au final la vrai attraction ça aura été lui. -
Jürgen Klopp contacté par les dirigeants de l'OM
Selon nos informations, l'Olympique de Marseille a pris contact avec Jürgen Klopp dans l'optique de remplacer Marcelo Bielsa, qui a annoncé sa démission samedi. La direction du club est néanmoins peu confiante dans ce dossier.
Pour rappel, l'entraîneur allemand s'est accordé une année sabbatique lors de son départ de Dortmund, en fin de saison dernière. Klopp serait, par ailleurs, plutôt enclin à diriger le Bayern Munich en cas de départ de Pep Guardiola à l'issue de la saison.
En cas d'échec des négociations avec Klopp, l'OM cible en outre deux ou trois autres techniciens étrangers.
Equipe -
OM : 50 noms pour remplacer BielsaSelon certaines indiscrétions, le répondeur de Vincent Labrune ne peut plus contenir de messages vocaux depuis samedi soir. Sollicité de toutes parts par les journalistes dans la foulée de la démission de Marcelo Bielsa, le président olympien a également un paquet de candidatures d’entraîneurs prêts à remplacer El Loco. Alors que le successeur de l’Argentin pourrait être annoncé cet après-midi, Onze Mondial s’est amusé à compiler les 50 profils susceptibles de s’assoir sur le banc de touche de l’OM. Du plus sérieux au plus improbable.
Walter Mazzarri : dans son édition du jour, le Corriere dello Sport annonce que l’ancien stratège de Naples se retrouve en pole pour diriger Marseille. On va bientôt savoir.
2. Jorge Sampaoli : au Chili, il est considéré comme l’héritier naturel de Bielsa. Le changement dans la continuité.
3. Vincenzo Montella : remercié par la Fiorentina malgré son excellente saison, il a marqué les esprits par sa philosophie et sa gestion des egos.
4. Zinedine Zidane : Marseillais pur jus, ZZ n’a pourtant jamais porté le maillot de son club de coeur. L’occasion de réécrire l’histoire.
5. Jürgen Klopp : un club de fous doit être dirigé par un fou. Si cette devise est vraie, alors le Harry Potter de la Bundesliga est l’homme idoine pour les Phocéens.
6. Carlo Ancelotti : Carlito a promis à sa femme de prendre une année sabbatique. Il lui avait déjà fait la même promesse avant de prendre la direction du PSG en cours d’exercice, en janvier 2012.
7. Frédéric Antonetti : le bouillonnant corse a souvent été associé à la formation provençale. Mais, pour une raison ou pour une autre, cela ne s’est jamais concrétisé.
8. José Anigo : même s’il a récemment annoncé avoir coupé le cordon ombilical avec son équipe de toujours, le chauve, déjà en difficulté à l’Espérance de Tunis, ne tournera jamais le dos à l’OM.
9. Alain Boghossian : commentateur phare de la Ligue 2 sur Eurosport, celui qui fut assistant de Domenech en équipe de France a été formé sur la Canebière. Un atout non négligeable.
10. Raymond Domenech : depuis son renvoi des Bleus au lendemain du fiasco sud-africain, l’homme-sourcils cherche un nouvel employeur. En dépit de CV envoyés ci et là, la seule réponse positive est venue de l’ACBB où il a dirigé les moins de 13 ans.
11. Pascal Dupraz : l’ex-grande gueule de la Ligue 1 n’apprécie pas Marcelo Bielsa et ne s’en cache pas. Aujourd’hui, il rêve de transposer ses idées dans un club de l’envergure de Marseille.
12. Albert Émon : intérimaire, entraîneur principal, coach de la réserve, prête-nom. Hormis le ménage, Émon a tout accepté sur la Canebière. Il n’y a pas de raison que cela change.
13. Jean Fernandez : l’un des rares à avoir quitté les terres phocéennes de son plein gré. Passionné et travailleur, Jeannot a perdu de la crédibilité depuis ses échecs à Nancy et à Montpellier.
14. Rémi Garde : Vincent Labrune a toujours dit qu’il souhaitait faire de l’OM un club formateur. Dans un style à la Wenger, RG a lancé un paquet de joueur à l’OL.
15. René Girard : sanguin, le Sudiste n’a jamais eu peur de l’ouvrir quitte à froisser certains egos. Mais, son football très prudent est aux antipodes de celui de Bielsa.
16. Antoine Kombouaré : en raison de faibles moyens financiers, l’Olympique de Marseille a une marge de manoeuvre limitée. Ça tombe bien, le Kanak a appris à construire avec trois francs six sous à Lens.
17. Jean-Luc Vasseur : aussi élégant que Pep Guardiola sur le plan vestimentaire, JLV n’a pas connu la même réussite sur le plan des résultats avec Reims. La vie est injuste.
18. Claude Makelele : son échec à Bastia ne l’a pas échaudé. En pourparlers pour prendre en main une sélection africaine, « Keke » a soif de revanche.
19. Franck Passi : il a souvent fallu un concours de circonstances improbable aux plus grands adjoints pour se révéler. Et si c’était son tour ?
20. Éric Roy : il a pris du recul avec le métier de coach depuis 2011. Mais il est toujours resté proche des terrains en sa qualité de commentateur chez BeinSports.
21. Frédéric Hantz : la Ligue 1 ne l’apprécie pas, mais lui apprécie la Ligue 1. Après une pige à la télé, l’Aveyronais ne s’interdit rien. Dans l’Hexagone ou ailleurs.
22. Paul Le Guen : depuis maintenant quatre ans, le Breton bronze sous le soleil d’Oman. En dépit des énormes progrès réalisés, il lui sera difficile d’aller plus haut.
23. Roberto Di Matteo : viré quelques semaines seulement après avoir gagné la C1 avec Chelsea, l’Italien connaît mieux que quiconque les incertitudes liées à son métier.
24. Luciano Spaletti : le gourou transalpin avait besoin de repos après quatre années éreintantes en Russie. L’heure de la reprise a sonné.
25. Marcelo Gallardo : la Poupée a redonné ses lettres de noblesse à River Plate. Pourquoi n’en ferait-il pas de même au Vélodrome ?
26. Marcello Lippi : libre depuis son départ de Chine, fin 2014, le sélectionneur champion du monde 2006 a réussi partout où il est passé.
27. Fabio Capello : tout Capello qu’il est, Don Fabio est ouvert à toutes les propositions. À condition d’y mettre le prix. N’est-ce pas la Russie ?
28. Eusebio Di Francesco : lors d’une interview accordée à Onze Mondial, le coach de Sassuolo s’était déclaré intéressé par une expérience en France. Alors…
29. Fabrizio Ravanelli : après son échec à Ajaccio, l’ancien numéro 11 de l’OM s’est promis de réparer cette erreur.
30. Nicolas Anelka : l’enfant de Trappes a pour lui de posséder déjà une petite expérience de coach en Chine et de manager en Algérie. Avec Nico, aucun joueur n’osera dégoupiller et sortir une insulte.
31. Zdenek Zeman : même si l’aura qui l’accompagnait autrefois a disparu, le Tchèque n’en demeure pas moins un personnage du football. Aussi loco que Bielsa.
32. Bernd Schuster : quand vous avez dirigé le Real Madrid, vous êtes armé pour manager n’importe quelle formation au monde.
33. Guus Hiddink : le sorcier batave impose sa patte partout où il passe. Débarqué du poste de sélectionneur des Pays-Bas, il ne compte pas rester sur un échec.
34. Leonardo : le Brésilien est passé du Milan à l’Inter sans la moindre hésitation. Pourquoi pas le trajet Paris-Marseille ?
35. Frank Rijkaard : avant même l’éclosion de Pep Guardiola, le Néerlandais, aujourd’hui loin des pelouses, est celui qui a redonné le goût du jeu au Barça. Rien que pour ça…
36. Cesare Prandelli : plutôt attiré par une sélection, l’ex-sorcier de la Viola reste toutefois attentif à la situation du vainqueur de la Ligue des Champions 1993. Sans doute une histoire de passion.
37. Radomir Antic : du haut de ses 71 balais, le Serbe guette toujours le marché. Un peu d’argent pour lui, un redressement pour l’équipe, sur le court terme, ça peut faire l’affaire.
38. André Villas Boas : plusieurs fois annoncé à Marseille, le Portugais se plaît en Russie. Même si les dirigeants olympiens disposent d’un gros budget salaire, il leur sera difficile de rivaliser avec ceux du Zénith.
39. Albert Cartier : pour tirer son épingle du jeu, le natif de Vesoul a souvent été contraint de s’exiler en Belgique. Il n’est, par exemple, pas parvenu à enrayer la chute du FC Metz, l’an dernier.
40. Laurent Banide : en près d’une décennie, le fils de Gérard Banide a palpé les dollars au Moyen-Orient. En ce qui concerne sa philosophie de jeu et sa gestion des individualités, difficile de vous en dire plus.
41. Laurent Fournier : depuis son départ du PSG, Lolo a subi un paquet de licenciements dans des équipes de seconde zone. Peut-être réussira-t-il sous la pression ?
42. Guy Roux : le football est un éternel recommencement. Avec son marquage individuel, le monument de l’AJ Auxerre est celui dont la méthodologie se rapproche le plus de Bielsa.
43. Enzo Francescoli : idole de jeunesse de Zizou, l’Uruguayen n’est jamais passé de l’autre côté de la ligne à la fin de sa carrière. Son bagage technique aurait pourtant pu profiter aux plus jeunes.
44. Chris Waddle : vingt-cinq ans plus tard, le peuple marseillais parle encore de ses gestes techniques et de ses mimiques. En revanche, hormis des attaques en règle sur la BBC, il ne fait plus rien de ses journées.
45. Jean-Pierre Papin : à la recherche d’un job, le Ballon d’Or 1993 a toujours admis son estime pour la formation provençale. Et le public local ne l’a jamais oublié.
46. Élie Baup : certains n’hésitent pas à rappeler qu’Élie Baup a réalisé de meilleurs résultats que le technicien argentin. D’autres rappellent que l’ennui était le maître mot au Vélodrome. Tout le monde a raison.
47. Jupp Heynckes : il a triomphé au Bayern Munich avant de tirer sa révérence. Mais, il lui manque toujours l’Olympique de Marseille sur son CV…
48. Sir Alex Ferguson : en déprime depuis sa retraite avec Manchester United en 2013, l’Écossais mérite d’être sondé. On ne sait jamais.
49. Joey Barton : l’Anglais aurait la double casquette d’entraîneur-joueur. Insultes, bagarres et bains de sang garantis.
50. Pierre Ménès : un adjoint diplômé et hop, le tour de passe-passe est joué. Le consultant Canal+ peut s’attaquer à ce défi incommensurable.
51. Philippe Rodier (c’est cadeau) : la copie crachée de Bielsa, la maîtrise du français en plus. Ce journaliste de Onze Mondial se dit prêt à relever le challenge.
Onze -
Ils ont oublié Gérard Gili ! :))
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