Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

La SIG

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Flux RSS 8486 messages · 1.367.067 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par hellzass

  • Match finalement maitrisé avec une très belle prépa pour le match à a absolument gagner mardi ! car Collet l'as encore rappeler ! l'Eurocup est la priorité cette saison !

    Mais après un 1 er quart dur perdu 19-16 la SIG grâce à un Campbell en feu notamment à 3 pts la SIG à était est partie à +10 à la MT 46-36 avec un quart à 30-16 !!!!!!!!! la Sig à même passée un 15-2 après un 3éme pour un fois maitrisé (20-20) et un 4 éme de haute volée même si la SIG c'est relâchée pendant 2 minutes 30 et est passée de +20 à +9 l'ASVEL à passée deux séries (10-00 et 6-0)avec un balle de de (-7 pour l'ASVEL) la SIG gagne ce quart 24 à 20 ce qui amène le résultat à 90 - 75 (+15)

    avec un quatuors de feu responsable de 69 des 90 pts !!! Campbell, Traoré et Dragisevic à 18 pts chacun et Diot 15 pts enorméments de shoot c'etait un match ouvert puisque Strasbourg marque 90 pts avec 47.7 % au Shoot alors que l'ASVEL à shooter à 49.2 % !!!

    Belle soirée puisque et Nanterre et Limoges ont perdu ce soir ! ce qui mets la SIG seule en tête du championnat avec 1 victoire d'avance sur Nanterre (défait par Paris (80-76) et 3 sur Limoges défait à Chalons/Saône (81-72) !

    Prochains rendez-vous Mardi soir vs le Zénith St Pétersbourg ou la victoire est imperative pour la qualif en 1/8 éme !

    Soyons y nombreux comme vendredi à la Meinau (déjà 16 000 places vendues ! )
  • Un classement comme on les aime...

    1Strasbourg37
    2Nanterre36
    3Limoges34
    4Dijon33
    5Nancy31(-1)
    6Paris-Levallois30
    7Le Havre31
    8Pau-Lacq-Orthez29(-1)
    9Lyon-Villeurbanne30
    10Le Mans30
    11Chalon/Saône30
    12Gravelines-Dunkerque29
    13Châlons-Reims29
    14Rouen27(-1)
    15Cholet27
    16Orléans24(-1)
    17Bourg-en-Bresse24
    18Boulogne-sur-Mer23
  • David Andersen, aucun point hier.

    L'ASVEL jouait sans son meneur Taurean Green, out jusqu'à la fin de la saison et remplacé par Trent Meacham. Mieux vaudrait qu'ils ne soient pas en playoffs.
  • strasbourg972 a écrit, le 07/02/2015 22:56 :
    Prochains rendez-vous Mardi soir vs le Zénith St Pétersbourg ou la victoire est imperative pour la qualif en 1/8 éme !

    Soyons y nombreux comme vendredi à la Meinau (déjà 16 000 places vendues ! )


    Le Rhenus devrait être plein à craquer à en croire la billetterie en ligne. Le grand public a visiblement pris conscience de l'importance de cette rencontre, sachant qu'il ne reste plus que quelques places à vendre. Allez la Sig, Allez Racing, Allez Stras !! ;)
  • L’heure de vérité

    Dans un Rhenus à guichets fermés, la SIG joue son avenir européen contre Saint-Pétersbourg, mardi (20h30, en direct sur L’Équipe21). Un succès lui garantit la première place de la poule et même si un revers ne la condamnerait pas en cas de victoire de Nymburk sur Kazan, elle voudra marquer les esprits et continuer sur sa lancée.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/02/TOUSRouge2.jpg

    A la SIG, tous les esprits seront mobilisés dès 18h30. Le staff et les joueurs suivront de près l’évolution du match entre Nymburk et Kazan, deux équipes encore en course pour la qualification. Les Tchèques notamment, à l’agonie après trois matches de ce Last32, seraient idéalement placés en s’imposant de 12 points et mettront donc tout en œuvre pour y parvenir. Ils seront d’ailleurs les meilleurs alliés de la SIG (voir ci-dessous), leur succès éliminant quasiment Saint-Pétersbourg. A l’inverse, les Strasbourgeois ont tout à craindre d’une victoire de Kazan qui décuplerait la motivation de l’autre club russe qu’ils affronteront dans la foulée dans un Rhenus archi-comble.

    L’effet conjugué des victoires à Dijon, à Kazan et à Villeurbanne – excusez du peu ! – a fait partir les derniers billets en peu de temps. Et c’est à guichets fermés, dans une ambiance de folie, que Louis Campbell et ses coéquipiers se lanceront à l’assaut de la qualification.

    Une équipe qui ressemble à la SIG

    Pas question pour eux d’envisager une défaite. Seule une victoire est envisageable après un si joli parcours. « C’est incontestablement le match le plus important de la saison, lance Collet. Il n’y a pas d’échappatoire, il faut gagner pour être sûr de se qualifier. Nous sommes dos au mur ». Les dernières sorties de son équipe pourraient conforter le coach dans un rôle de favori, mais il se méfie terriblement de l’équipe russe. Etrillée chez elle par Nymburk il y a une semaine en Eurocup (63-84), elle a pris sa revanche ce dimanche en VTB League en s’imposant chez les Tchèques (80-84) après avoir été menée pendant 38 minutes. « C’est notre petit frère, poursuit le coach alsacien à propos du Zenit. Cette équipe nous ressemble beaucoup. Elle n’est peut-être pas régulière en adresse mais elle bouge beaucoup en attaque. Et cette mobilité offensive va nous causer des soucis ».

    On peut penser à l’abattage de Walter Hodge (34pts dont 18 dans le dernier quart à Nymburk), à D.J. Stephens – « un athlète phénoménal » dit Diot de ce crazy jumper – ou encore au Canadien Marcus Landry, décisif lors de l’aller (87-82 ap. pr.) et à Artem Vikhrov, un jeune et talentueux ailier russe. Vincent Collet a décortiqué leur jeu : « On avait fait un match en demi-teinte à l’aller. On était moins agressif que d’habitude, on les a laissés en vie et alors qu’on menait de six points à trois minutes de la fin, et on s’est fait cueillir… »

    Le soutien du sixième homme

    Certes, les conditions ne sont plus les mêmes. Dans une véritable finale, les motivations seront décuplées et les Strasbourgeois pourront compter sur un Rhenus archi-comble. « L’avantage d’être à domicile est réel si le public joue le rôle du 6e homme. Une qualification installerait surtout le basket en Alsace à la place qu’il mérite. Plus on avancera, plus les équipes seront fortes et être dans les 32 meilleures équipes du continent, ça commence à peser… », se félicite à l’avance le sélectionneur.

    Les matches à élimination directe qui se profilent constitueraient également, il ne s’en cache pas, les meilleures répétitions possibles pour les play-offs de ProA pour lesquels la SIG nourrit une légitime ambition.

    Tout est prêt. Il faudra ressortir les barbelés en défense, même sans Matt Howard, toujours forfait, mais aussi bien attaquer. Ne pas laisser Saint-Pétersbourg, la moins adroite des 32 équipes à trois points (28%), améliorer ses performances dans ce domaine et à l’inverse confirmer les bonnes dispositions actuelles de Campbell, Diot ou Dragićević derrière l’arc.

    Tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce 10 février une date historique. Cette saison, la SIG ne nous a pas habitués à rater ses rendez-vous. Pourvu que ça dure !

    La SIG qualifiée si…

    Elle gagne contre St-Pétersbourg, la SIG assure la première place de la poule quel que soit le résultat de Nymburk – Kazan.

    Elle perd et Nymburk bat Kazan. Les quatre équipes seront à égalité, départagées par le panier-average général. Le total de l’écart (victoire de Nymburk + défaite de la SIG) devra être inférieur à 15 points pour que la SIG conserve la première place, inférieur à 30 pts pour qu’elle se qualifie.

    Dans tous les autres cas de figure, la SIG sera éliminée si elle perd.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/02/Capture-d%E2%80%99...

    (Jean-Claude Frey / Site officiel)
  • Et les finales à la fin c'est toujours la Sig qui les perd:(
  • Oui c'est le spectre des matchs décisifs
  • Une SIG toujours bien placée puis à l'heure de conclure.. Les clubs russes ont fait mal aux clubs français ce soir, Limoges ayant également perdu gros sur son parquet. c'est clairement la plus grosse déception après les deux dernières finales de PO..
  • Dommage de réaliser le pire match de la saison ce soir-là :(
  • Quelle tristesse ce match ... :( Certainement le pire de la saison pour certains joueurs. Seul Dragicevic s'est battu et Dobbins qui a bien défendu.
    Traore nous a fait une Traore, dès qu'il rate son début de match. tu peux être sûr qu'il va péter un plomb et tout forcer. EN Pro A cela se remarque moins, quand il arrive en mettre ses paniers après quelques echecs, en Eurocup c'est différent.

    Bref, hâte de voir la réaction samedi. Mais je crains le pire, surtout pour la Leaders Cup. En espérant que Howard revienne d'ici-là, parce que hier il nous a manqué
  • On se focalise sur la SIG qui suite à un magnifique parcours (ne l'oublions pas) s'était donnée le droit d'y croire mais le problème est général concernant le basket français, sachant que sauf miracle il n'y aura plus aucun représentant de l'hexagone dans cette compétition ce soir, à l'image de Limoges champion de France en titre qui est pourtant mieux armé (financièrement parlant). Enfin essayons de positiver malgré tout même si personne n'en a envie en cet instant, Howard (qui nous manqué hier soir) fera bientôt son retour et Duport commence à voir le bout du tunnel, sans oublier que le fait d'être le seul club encore en course en EuroCoupe aurait pu nous coûter cher physiquement dans la course au titre en Pro A. Bref, réception de Pau et son bilan à l'équilibre (10V/10D) ce samedi au Rhenus pour essayer de repartir de l'avant et de protéger notre place de leader..
  • j'était au rhénus ! quelle déception les Russes ont étaient plus fringant ! et sur plus réaliste, y'a des soir comme ça ou quand ça veut pas rentrer ça rentre pas !

    j'ai en tête cette séquence de défense de suite suivi a chaque fois d'échecs offensif, que dire de la période à plus 7 qu'on à pas su capitalisé ! en revanche quand les Russes étaient eux à +7 il ont fini par faire la diff !
  • Une bonne chose de faite

    La SIG s’est remise dans le sens de la marche après son élimination européenne. Pau-Orthez en a fait les frais, victime de la solidité strasbourgeoise, servie par une belle adresse à trois points (70-62). Même si à l’approche de la Leaders Cup, il faudra tout de même éviter de perdre à nouveau autant de ballons (22 ce soir).

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    Après la déception de l’Eurocup, la SIG se devait de montrer son meilleur visage. Le Rhenus eut rapidement l’occasion de vibrer car, lancée par Campbell, Leloup et Dragićević, l’équipe s’offrait un joli 4 sur 4 à trois points dès l’entame : 14-7 (4e’). Le Serbe en remettait une couche et le match était lancé sur des bases très offensives car Robinson était chaud lui aussi, côté palois : 19-9 (7e’). Et sur une superbe action collective l’extra-passe de Campbell donnait à Leloup l’occasion de marquer le 6e panier bonifié de la période : 24-16 !

    Howard entre en jeu

    Campbell ajoutait encore deux points avant une longue période où les défenses prirent largement le pas sur les attaques. Il fallut attendre la 16e’ pour voir les Béarnais marquer leur premier point de la période après neuf tirs manqués ! Entretemps, on avait vu aussi Matt Howard fouler le parquet, visiblement remis de son entorse. Son abattage ne passait pas inaperçu et même si Pau tentait de rester dans le sillage de la SIG (28-16, 14e’, puis 33-20), l’écart restait conséquent à la pause : 36-23. Toupane et encore Dragićević avaient encore sanctionné derrière l’arc… Seules les 12 balles perdues en une mi-temps (!), certes en partie compensées par 12 passes, avaient empêché les hommes de Collet de creuser un écart aussi conséquent que la différence à l’évaluation (49 à 16).

    Un festival de… ballons perdus

    La deuxième mi-temps commencera par… quatre nouvelles pertes de balles ! Le temps mort immédiatement demandé par Collet était suivi par… une remise en jeu manquée. Cette fois, c’en était trop. Car Pau-Orthez, qui n’en avait pas profité vraiment (36-27, 23e’), finit par se rapprocher quand Kevin Dillard prit feu. En pénétration, mais aussi à distance. Et, après le premier lancer-franc de la partie – une curiosité –, l’avance fut quasiment réduite à néant : 41-40 (27e’). La fin de la période fut heureusement bien mieux contrôlée. Antoine Diot avait pris les choses en main, organisant le jeu, scorant enfin sur un petit flotteur avant de terminer par un primé. Le 11-1 avait redonné de l’air et la SIG entamait le dernier quart temps avec une avance retrouvée : 55-43.

    Les interceptions de Dobbins

    Diot récidivait dès la reprise (58-43), Dobbins interceptait deux ballons et filait au cercle : 62-45 (32e’). Le plus dur semblait fait, mais un brin de confusion, entre les frictions sur le parquet, un petit manque de lucidité et quelques décisions incohérentes offraient un 0-8 aux visiteurs : 62-53 (36e’). Jusqu’au bout, Sylla, Bokolo, Robinson et Dillard rendirent coup pour coup mais le leader restait solide jusqu’au bout.

    Les réactions

    Vincent Collet : « On a perdu les six premières balles de la deuxième mi-temps mais on est resté solide en défense. Et si on leur a donné des paniers tout cuits, mais dès qu’on a arrêté de perdre le ballon, on s’est remis en marche. Ça a un peu terni notre match, mais notre adresse a été intéressante. Après le traumatisme vécu mardi, on fait rarement un match parfait dans la foulée. On a commencé très sérieusement, déterminé, et c’était déjà très bien. Cela a permis à Matt Howard de retrouver du rythme et il nous a bien aidés à décrocher ce 18e succès. C’est un joueur très important chez nous ».

    Paul Lacombe : « Ça fait du bien de gagner pour plusieurs raisons. La semaine n’a pas été facile dans les têtes. C’était aussi la meilleure des manières de se lancer vers la Leaders Cup. La manière n’y était pas toujours mais il y a eu de la combativité et de l’envie. J’espère qu’on ira à Disneyland avec la même envie. On a retrouvé notre point faible à la reprise. Un relâchement qu’on ne comprend toujours pas. On ne l’a pas payé ce soir, heureusement, grâce à l’avance qu’on s’était construit et à notre défense ».

    Claude Bergeaud : « On s’attendait à cette réaction de la SIG. Une équipe comme Strasbourg qui rate aussi peu de matches, n’en rate pas deux de suite. L’adresse extérieure nous a vite très vite déstabilisés. Le résultat final est honorable mais on n’a jamais été en mesure de pouvoir s’imposer. On a été archi-dominés physiquement. Et à chaque fois que Dillard a dû passer sur le banc, on a dérouillé ».

    Yannick Bokolo : « On a manqué d’agressivité en début de match et l’écart était fait à la mi-temps. Après, on n’a pas manqué d’intensité, mais de rigueur ».

    Espoirs (SIG – Pau-Orthez 86-81 AP)

    Rien n’arrête décidément les espoirs de la SIG qui ont enchaîné une 16e victoire d’affilée ! Même si elle a été obtenue après prolongation face à l’une des deux équipes qui les avaient vaincus à l’aller. A noter l’exceptionnel triple double de Cédric Bah (23 pts, 13 rebonds, 10 fautes provoquées, 27 d’évaluation).

    (Jean-Claude Frey / Site officiel)
  • Septième victoire de suite en Pro A mine de rien c'est très fort
  • Qui pour succéder au Mans ?

    A quelques jours du début des quarts de finale de la Leaders Cup, petit point sur les forces en présence.

    http://www.francebleu.fr/sites/default/files/imagecache/623_remon...

    Strasbourg (18v-3d)

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    Leader du championnat à la veille de disputer la compétition, tout comme la saison dernière, la SIG file droit. Après un petit coup de moins bien fin décembre, qui avait vu les Alsaciens baisser pavillon deux fois de suite en Pro A, l’équipe de Vincent Collet est repartie de plus belle et reste sur une jolie série de sept victoires consécutives, la plus belle dynamique du moment. Portée par une défense de fer (64,1 points encaissés), de très loin la moins permissive de Pro A, Strasbourg a l’habitude d’aller gagner des matchs en dehors de ses bases (10v-1d) et se présente au complet avec les retours de Matt Howard et surtout Romain Duport, qui va effectuer à Disneyland Paris ses premiers pas sur le parquet cette saison. Tout irait donc pour le mieux s’il n’y avait pas eu cette élimination la semaine dernière en Eurocup, véritable désillusion pour les Alsaciens.

    Le joueur à suivre : Anthony Dobbins

    En difficulté sur le début de saison, l’ancien dijonnais retrouve des couleurs depuis quelques temps. Défenseur féroce sur les ailes, il tourne à 11,2 d’évaluation sur les 6 derniers matches (5,3 sur l’ensemble de la saison).

    Le Havre (11v-10d)

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    L’invité surprise, le petit poucet, la grosse cote… On a beau les nommer de mille façons, les Normands sont bien là. Présents à la Leaders Cup pour la première fois en trois éditions, le STB, d’ordinaire habitué à jouer les maintiens difficiles plutôt que les places en playoffs a déjà fait mentir pas mal de pronostics en s’invitant à Disneyland Paris. Alors maintenant qu’ils y sont, pourquoi ne pas prolonger la magie encore un peu ? Avec un effectif beaucoup moins fourni que la plupart de ses concurrents, Le Havre aura sans doute du mal à tenir la longueur trois jours durant, comme le reconnaissait récemment son entraîneur, Eric Bartéchéky. Mais au moins, les Normands ne risquent pas de faire place au calcul et devraient livrer toutes leurs forces dès la première bataille. S’ils ont du mal contre les équipes de tête (1 seule victoire face à une équipe du Top 8), ils peuvent opposer une vraie résistance, comme le week-end dernier à Limoges.

    Le joueur à suivre : Ricardo Greer

    Championnat, Coupe de France, Match des Champions… En plus de dix ans de carrière en France, Ricardo a tout gagné sauf… la Leaders Cup, pas plus que sa devancière, la Semaine des As. Inutile de dire qu’il sera motivé comme jamais pour cette édition.

    Dijon (13v-8d)

    http://s.lnb.fr/lnb/file/logoEquipe/615.png

    Bien que toujours 4e au classement, la JDA souffre ces dernières semaines. Depuis leur victoire lors de la 18e journée contre… le Paris-Levallois, les Bourguignons se sont incliné trois fois coup sur coup en championnat. La raison évoquée pour expliquer cette baisse de régime, une certaine fatigue physique provoquée par l’enchaînement des matchs, y compris sur la scène européenne, pour un effectif de qualité mais pas très fourni quantitativement parlant. Par le passé réputé pour sa défense de fer, Jean-Louis Borg s’appuie cette saison sur une attaque flamboyante (78,1 pts, 5e en Pro A) où cohabitent les deux meilleurs marqueurs du championnat, Erving Walker et Steven Gray. De quoi enflammer la Disney Events Arena, à condition de retrouver un minimum de jus. Mais la Leaders Cup étant une nouvelle compétition, avec des compteurs remis à zéro, l’occasion est parfaite pour repartir de l’avant.

    Le joueur à suivre : Jacques Alingue

    Très peu utilisé cette saison à Dijon (9,3 minutes), l'ancien de Souffelweyersheim devrait être mis en avant à Disneyland Paris puisqu'en raison de l'absence de Ferdinand Prénom sur blessure, Alingue devra sans doute dépanner au relai de Zach Moss sur le poste 5.

    Paris-Levallois (12v-9d)

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    Il est souvent question de momentum en basket et celui des Parisiens est tout simplement excellent. L’équipe coachée par Greg Beugnot reste en effet sur 5 victoires lors de ses six dernières sorties en championnat et, surtout, elle a réalisé le tour de force d’aller arracher sa qualification en 8e de finale de l’Eurocup la semaine dernière sur le parquet du Besiktas Istanbul. Pas le plus mince des exploits réalisé par ces Franciliens, seuls Français rescapés du Last 32. Les résultats sont là, le moral est à bloc, la Leaders Cup se présente donc sous les meilleurs hospices pour le PL, qui devra tout de même se défaire de Dijon, une équipe qui ne lui réussit pas cette année. De plus, raillée par son inconstance depuis le début de saison, la formation bleue et blanche va-t-elle enfin réussir à faire preuve de continuité dans la performance ? La réponse sera donnée très bientôt.

    Le joueur à suivre : Blake Schilb

    Cahin-caha depuis son arrivée dans la capitale en cours de saison dernière, Blake « The Blade » retrouve son niveau de MVP de 2012 avec Chalon. Sur les six derniers matches de championnat, il tourne à 15,7 points, 4,5 rebonds et 4,0 passes pour 17,2 d’évaluation.

    Nanterre (17v-4d)

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    Finaliste malheureuse la saison dernière, la JSF retrouve l’équipe qui l’avait battue à Disneyland Paris dès le premier tour. Un duel qui a déjà connu d’autres éditions cette saison encore puisque les deux équipes s’affrontent ce soir en EuroChallenge, trois jours avant le quart de finale de la Leaders Cup, qui constituera donc la 4e confrontation de la saison entre Le Mans et Nanterre. Si jusqu’à présent, l’issue du match a toujours souri à l’équipe évoluant à domicile, il sera intéressant de voir ce qu’il se passe sur terrain neutre. Mais Nanterre avance avec ses certitudes, matérialisées par une jolie série de 11 victoires sur les 12 dernières journées de championnat, dont 10 consécutives. Meilleure attaque de Pro A (84,4 pts), la JSF peut faire feu de tout bois dans un bon soir.

    Le joueur à suivre : TJ. Campbell

    Blessé en présaison pour toute la fin d’année 2014, l’ancien meneur de Dijon devait en plus marcher dans les traces de Keydren Clark, qui avait assuré un excellent intérim. Une mission délicate mais pour laquelle Campbell met du cœur (21 d’éval ce week-end contre Rouen).

    Le Mans (11v-10d)

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    Vainqueur de l’édition précédente, Le Mans aura la lourde tâche de faire tomber une malédiction, celle qui veut qu’une équipe ne gagne jamais l’épreuve deux fois de suite, que ce soit à la Leaders Cup ou du temps de sa devancière, la Semaine des As. Et avec un bilan tout juste excédentaire, des résultats médiocres ces derniers temps (1 victoire sur les 3 derniers matches), une incapacité chronique cette saison à faire preuve de régularité et des difficultés rencontrées face aux meilleures équipes du championnat, le MSB ne se présente pas forcément dans les meilleures conditions pour mettre à mal la tradition. Sauf que par le passé, le grand rendez-vous de mi-saison a souvent souri aux outsiders et Le Mans en est un cette année, surtout face à Nanterre, 2e au classement. Et le MSB, tout comme son entraîneur, Erman Kunter, ont prouvé par le passé qu’ils maîtrisaient les clés d’une compétition ramassée sur trois jours.

    Le joueur à suivre : Rodrigue Beaubois

    Revenu en France cet été pour se relancer, l'ancien des Dallas Mavericks est sur la bonne voie. Malgré quelques coups de moins bien par-ci, par-là, il demeure le meilleur marqueur du MSB (14,9 pts). La Leaders Cup pourrait le mettre en lumière encore un peu plus.

    Limoges (15v-6d)

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    Coleader durant une bonne partie de la phase aller, la champion de France s’est vu descendre au classement à la suite d’une vilaine série de trois revers consécutifs enregistrés entre fin janvier et début février. Une mauvaise passe qui s’est aussi traduite en Eurocup où, à l’instar de Strasbourg, Limoges avait les cartes en main pour assurer son passage en 8e de finale mais sans y parvenir. Fort heureusement, le CSP vient de retrouver le chemin de la victoire en battant Le Havre au termes d’un match plus compliqué que prévu mais qu’importe, la spirale a été stoppée. Il est donc temps maintenant pour repartir de l’avant, d’autant que les Limougeauds gardent un souvenir amer de la dernière Leaders Cup, où ils avaient été battus en quart de finale après prolongation par le futur champion, Le Mans. Comme quoi, l’obtention d’un trophée ne se joue pas forcément à grand-chose mais Limoges est cette fois averti.

    Le joueur à suivre : Mickaël Gelabale

    Après son passage en Alsace avec Strasbourg fin 2014, l’international multi-médaillé avec l’équipe de France n’arrive pas pour le moment à trouver ses marques à Limoges (2,8 d’évaluation en 19 minutes). Le contexte de Disneyland lui sera-t-il favorable ?

    Nancy (12v-9)

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    Pour leur première Leaders Cup la saison dernière, les Lorrains n’avaient pas été à la fête avec une élimination dès les quarts de finale face à Strasbourg. Un an après, c’est cette fois face au champion de France qu’ils débuteront leur compétition, tirage à priori difficile même si l’état de forme de Limoges n’est plus ce qu’il était il y a encore un mois. Le SLUC propose par ailleurs des résultats intéressants ces derniers temps avec 5 victoires lors des sept derniers matches de championnat bien que la dernière sortie, face au Paris-Levallois, s’est soldée par une défaite. Un revers à relativiser toutefois puisqu’il a été concédé sans Florent Pietrus, touché au nez début février en coupe d’Europe. Une absence de poids pour la raquette lorrainne quand on sait que d’ordinaire, Nancy est l’équipe qui capte le plus de rebonds en Pro A (39,0).

    Le joueur à suivre : Sergii Gladyr

    En délicatesse avec son jeu depuis son arrivée en Lorraine, l’international ukrainien, prévu pour être la première option offensive de Nancy cette année, est en train de retrouver des couleurs. Il reste en championnat sur sept matches à plus de dix points marqués.

    Le programme de la Leaders Cup

    Quarts de finale, Vendredi 20 février

    Strasbourg – Le Havre, à suivre en direct à 13h00 sur Canal+ Sport
    Dijon – Paris-Levallois, à suivre en direct à 15h30 sur Canal+ Sport
    Nanterre – Le Mans, à suivre en direct à 18h00 sur Sport+
    Limoges – Nancy, à suivre en direct à 20h30 sur Sport+

    Demi-finales, Samedi 21 février

    Vainqueur Strasbourg / Le Havre – Vainqueur Dijon / Paris-Levallois, à suivre en direct à 18h00 sur Sport+
    Vainqueur Nanterre / Le Mans – Vainqueur Limoges / Nancy, à suivre en direct à 20h30 sur Sport+

    Finales, Dimanche 22 février

    Finale de la Disneyland Paris Leaders Cup Pro B, à 14h30 et à suivre en différé à 20h45 sur Sport+
    Finale de la Disneyland Paris Leaders Cup, à suivre en direct à 17h00 sur Canal+

    (LNB)
  • Contre Le Havre, surtout ne pas calculer

    La SIG entame la Leaders Cup ce vendredi à 13h (en direct sur Canal+ Sport) à la Disney Arena de Marne-la-Vallée, face au Havre. Le quart de finale a priori le plus déséquilibré. Mais prudence… Les Havrais portés par Ricardo Greer joueront déjà leur ‘’finale’’ alors que les Strasbourgeois, très ambitieux, ne doivent rien laisser au hasard et se donner à fond. Trois fois de suite, de préférence…

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/02/sig-le-havre-banga...

    La Leaders Cup, tout comme son prédécesseur, la Semaine des As, excite Vincent Collet. Le coach de la SIG adore le format et sait que cette épreuve ne sourit qu’aux grandes équipes. La sienne a encore, dans ce domaine, tout à prouver. Finaliste en 2013, elle a échoué en ½ finale l’an passé face au futur vainqueur, et a aussi, encore tout chaud dans la tête, son récent échec en Eurocup, dans un match à gros enjeu. Or à Disneyland, il faudra savoir enchaîner trois performances de haut vol consécutivement pour soulever le trophée… « C’est aussi une répétition grandeur nature, en trois jours, de la fin de saison », complète Collet. Le sélectionneur est formel, « ce seront les mêmes, à une équipe près, qui se disputeront le titre en play-offs ».

    Une finale chaque jour

    Amateur de formules, l’entraîneur de la SIG en ajoute une autre : « Le Havre a 50% de chances de nous battre vendredi, beaucoup moins que nous de remporter l’épreuve… » Pour sa 11e participation à l’épreuve, un record pour un entraîneur – il a coaché cinq finales et remporté deux succès –, il sait mieux que personne qu’elle est particulièrement exigeante. Et dès le premier jour. « Il y a toujours des surprises quand les favoris veulent calculer. Mais il ne faut pas en garder pour le lendemain sous peine d’être éjecté dès le quart. Il faut être capable de jouer trois finales ».

    C’est bien là que réside le danger pour la SIG. Arrivés à Disneyland dans l’après-midi avec la pancarte de favoris – les Alsaciens ont choisi de s’entraîner au Rhenus avant de partir et de s’adapter à un horaire inhabituel – ils ne doivent pas penser trop tôt au samedi et au dimanche… « Le Havre cherchera l’exploit dès le premier jour et va tout donner pour déjouer les pronostics », se méfie Collet. Il sait aussi que les Normands ont les joueurs pour y parvenir. « Des joueurs expérimentés, de vieux routiers qui savent tirer les ficelles. Ils ne seront pas inhibés par le stress ! »

    Du solide en face

    Leur dernière performance à Limoges (courte défaite 84-77) sans Ricardo Greer et face à un duo Boungou colo/Moerman à près de 30 d’évaluation chacun, en dit long sur leurs capacités. Vincent Collet précise : « Ils sont portés par le trio Greer, King, Cox, mais pas seulement. Ricardo Greer est la plaque tournante qui fait un peu de tout, Shawn King a la meilleure évaluation (NDLR : 19,52, deuxième de la ProA derrière Moerman) et John Cox est très à l’aise. Il est fort individuellement et très libre, ce qui le rend très dangereux. Mais à leurs côtés, il y a aussi Hugo Invernizzi qui a franchi un palier cette saison, Brazelton de plus en plus opérationnel, Nick Pope qui a réussi deux bons matches en championnat contre nous, ou Wilfried Yeguete qui fait de très bons matches en ce moment ».

    Un trophée pourrait créer une formidable dynamique pour la suite

    La SIG, victorieuse à deux reprises du Havre, a bien sûr des arguments à faire valoir. On les a vus depuis octobre. Mais elle devra encore apporter la preuve de sa capacité à gagner des matches couperets. « Après les deux jours de repos bien mérités, nous en avons profité pour travailler des choses qui nous serviront contre Le Havre mais aussi dans les matches suivants », continue Vincent Collet. Le coach sait qu’un trophée, dimanche, donnerait une dynamique. « Ce serait formidable pour nous, pour la confiance. On ne sera pas rassasiés, bien sûr, mais on aborderait la fin de saison avec encore plus d’appétit ».

    Pas rassasiés, mais sûrement rassurés. Car la SIG se sera alors convaincue qu’elle a la capacité à hausser son niveau dans les grandes occasions. Elle aura aussi chassé tous les démons des dernières saisons et le match de Saint-Pétersbourg qui trotte encore dans les têtes. Mais il faudra d’abord se défaire du Havre. Se dire que le match de ce vendredi est le dernier. Et recommencer chaque jour à s’imprégner de la même formule. Le meilleur moyen d’aller le plus loin possible. Jusqu’au Graal…

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • Qualification de la SIG (victoire 73-57) qui affrontera Dijon en demi-finale ce samedi. On notera également les éliminations de Nanterre (face au Mans) et de Limoges (contre Nancy)...
  • Le Mans aura probablement du mal à tenir physiquement demain contre Nancy, après les 3 prolongations d'aujourd'hui.

    Avec les éliminations de Nanterre et Limoges, la SIG est plus que jamais favorite de la compétition.
  • Le problème c'est qu'à chaque fois que la SIG arrive en position de force, elle se casse les dents sur la dernière marche après avoir donné beaucoup d'espoir à ses supporters.. Espérons qu'en cas de qualif pour la finale de dimanche, elle aura enfin su tirer les leçons de ses douloureux (échecs) qui la privent de récompense depuis trop longtemps déjà, alors que le reste du temps elle fait preuve d'une régularité remarquable. Bref il serait temps que le Poulidor du basket français prenne sa revanche..
  • 4e finale (toutes compétitions confondues) depuis 2013 pour la SIG qui affrontera le tenant du titre ce dimanche, Le Mans. On croise les doigts pour que ce soit enfin la bonne, 10 ans après notre titre de champion de France.. Allez la SIG, Allez Souffel (en lever de rideau pour la finale de LC Pro B), puisse ce 22 février 2015 marquer l'histoire du basket strasbourgeois !!
  • Le Mans, équipe plutôt orientée extérieur, avec notamment le pivot Ignerski qui campe derrière la ligne à trois points. Attention à Beaubois, capable de prendre feu en attaque, ce qu'il s'est gardé de faire hier et vendredi.

    Souffel en différé sur Sport+ vers 20h45 c'est ça ?
  • La leader's cup, c'est considéré comme un titre majeur ou c'est anecdotique ?
  • La leader's cup, c'est considéré comme un titre majeur ou c'est anecdotique ?
  • La leader's cup, c'est considéré comme un titre majeur ou c'est anecdotique ?
  • La Leaders Cup c'est la coupe de la ligue du basket en quelque sorte, voire supérieur. La Coupe de France a moins de prestige qu'au foot.
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